L Obéissance Libératrice

minorité et manque de moyens matériels. Par exemple : Le droit des femmes, mensuel de la Ligue française du droit des femmes). c) Métamorphose de la mode Dans les années 1920, la mode est celle de la « garçonne », elle est vécue comme libératrice par rapport aux vêtements féminins trop contraignants. Cette mode est une forme d’affranchissement car elle valorise l’androgynie (cheveux courts, silhouette longiligne, formes effacées). Ses caractéristiques sont : la minceur, les vêtements simples

en cause certains aspects des théories freudiennes de la conscience et de l’inconscient. Science et philosophe se rejoignent ici pour alimenter la réflexion sur la nature de la conscience humaine. Bergson III. La prise de conscience est libératrice. a) Sans conscience, le bonheur et la liberté ne seraient ni vécus, ni ressentis vraiment. b) En matière morale, la conscience donne un idéal à respecter, mais que l’on ne peut jamais parfaitement atteindre. c) La conscience nous donne un

déterminismes divers pesant sur nous n’incite pas au bonheur. Transition : Mais prendre conscience des déterminismes n’est-il pas un moyen de s’en libérer ? « Pour un être conscient, exister consiste à changer. » Bergson III. La prise de conscience est libératrice. a) Sans conscience, le bonheur et la liberté ne seraient ni vécus, ni ressentis vraiment. b) En matière morale, la conscience donne un idéal à respecter, mais que l’on ne peut jamais parfaitement atteindre. c) La conscience nous donne un projet

l’unité du Christ unique et d’une seule Église-com15 Vivre en communauté — Une nécessité irrésistible munauté. Dans le symbole sacré du mariage, la chasteté et la maîtrise de soi — ascétisme sévère de la vie sexuelle — deviennent une joie libératrice, le plaisir de participer à la vie de la création. Dans notre corps, la communauté est maintenue seulement par le sacrifice constant des différentes cellules. De même, seul le sacrifice héroïque de chacun permet à la vie en communauté de fonctionner

une entreprise libératrice envisagée de manière uniquement laudative : Montesquieu, Descartes, Renan, Kant. Le dernier groupement rappelle l’injonction de Jacquard (L.A.2 :« la science n’est pas un arbre autonome. C’est une entreprise collective. C’est à nous de l’orienter. ») : Quéré ; Nowotny, Scott et Gibbons ; de Duve ; Boulgakov. Montaigne, Essais, 1580, Livre II, 12. La première loi que Dieu donna jamais à l’homme fut une loi de pure obéissance ; ce fut un commandement nu et simple

l’invention de la marginalité. Tout le monde se représente le monde, chaque individu et chaque communauté. L’absolutisme ne déroge par à la règle et précise les contours d’une cité idéale ou régnerait un ordre social fixe issu de la volonté divine ; obeissance, travail et respect de la hiérarchie deviennent vertus naturelles. Mais la réalité est toujours mouvante (paysans s’appauvrissent fin 17e, transfert de richesses) : pour s’en débarrasser l’idéologie se tend, renforçant toujours plus le centre symbolique

l’unité du Christ unique et d’une seule Église-com15 ViVre en communauté — une nécessité irrésistible munauté. Dans le symbole sacré du mariage, la chasteté et la maîtrise de soi — ascétisme sévère de la vie sexuelle — deviennent une joie libératrice, le plaisir de participer à la vie de la création. Dans notre corps, la communauté est maintenue seulement par le sacrifice constant des différentes cellules. De même, seul le sacrifice héroïque de chacun permet à la vie en communauté de fonctionner

esthétique des tragédies de Césaire et de Soyinka. Autant tous deux mettent en scène des personnages qui éprouvent une passion immodérée pour la Faucheuse, travaillent à se « libérer de la vie »71 et entendent succomber aux appas de la mort libératrice, autant ils dépeignent des héros qui refusent de se considérer comme des êtres voués à une mort naturelle, s’adonnent à leurs préoccupations libidineuses et invoquent le droit au bonheur pour justifier leur détestation de la mort. On conçoit que

philosophiquement, un tel système est illusoire car il est contraire à la nature de l’homme ( avoir une propriété privée, quelque chose de propre à moi). C] La technique : Libération ou asservissement de l’homme ? 1/ La technique libératrice : La technique est libératrice pour l’homme en un certain sens. En effet, comme elle facilite le travail, elle permet de gagner du temps. Ce temps gagné sera un temps libre consacré aux loisirs, au repos. Elle permet à l’homme de se libérer et se de débarrasser

BACCALAUREAT TECHNOLOGIQUE : toutes séries sauf F11 et F12 - Groupement 2 Session normale 1996 Tous les problèmes peuvent‑ils avoir une solution technique ? La conviction d'avoir raison fait‑elle obstacle au dialogue ? Résistance et obéissance, voilà les deux vertus(1) du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre ; par la résistance il assure la liberté. Et il est bien clair que l'ordre et la liberté ne sont point séparables, car le jeu des forces, c'est‑à‑dire la guerre privée, à toute