L Oralité De La Coutume

nécessairement l’interpréter. Son apport est de dire que la loi n’est pas complète : le CC ne dit pas tout. Il met donc fin au mythe de la complétude de la loi et du CC. Pour lui, il faut trouver d’autres sources du droit en dehors de la loi avec par ex la coutume, ou les grands principes. Donc la loi n’est pas la seule source des droits et libertés. Le plus grand représentant du positivisme est Léon Duguit qui s’est inspiré de Durkheim. Pour Duguit, le droit positif n’existe pas en raison de sa conformité

. . . . . . . . . . . 5.2.2.2 La construction du sch´ema corporel . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.2.3 L’exp´erience du mirroir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3 Le corps et l’affectivit´e, le corps et la sexualit´e : oralit´e et analit´e. . . . . . 5.2.3.1 Le corps, source de plaisir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.2 La phase orale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.3 La phase anale . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . 5.2.2.2 La construction du sch´ema corporel . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.2.3 L’exp´erience du mirroir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3 Le corps et l’affectivit´e, le corps et la sexualit´e : oralit´e et analit´e. . . . . . 5.2.3.1 Le corps, source de plaisir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.2 La phase orale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.3 La phase anale . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

évidente pour tous. On a alors atteint le stade de règle coutumière, au-delà de l’usage conventionnel. Est-ce que la coutume commerciale peut aller à l’encontre de la loi ? Si la loi écrite est supplétive de volonté, il n’y a pas de problème à ce que la coutume commerciale la surpasse. Quid du conflit entre l’usage de droit et la loi étatique impérative ? Selon certains, une telle coutume peut prendre le pas sur la loi étatique impérative. Une solution possible : dans un cas concret, où une règle du

temporairement et la perte durable, dès l’instant où il a perdu sa mère de vue, il se comporte comme s’il ne devait plus la revoir, et il lui faut des expériences consolatrices répétées pour enfin apprendre qu’à une telle disparition de la mère a coutume de succéder sa réapparition. La première condition d’angoisse que la MOI introduit lui-même, est donc celle de la perte de perception qui est assimilée à celle de la perte d’objet. Une perte d’amour n’entre pas encore en ligne de compte. Tout à

par les « ARRETS DE REGLEMENT » Cette justice de PARLEMENT est décrié parce qu’elle coute cher (système des épices) parce qu’elle est compliquée également , parce qu’elle débouche sur des solutions locales et notamment les conflits de loi et de coutumes sont fréquent : il y a besoin de SIMPLICITE et d’UNITE . Il va y avoir un système de MAITRE DES REQUETES qui vont être envoyés dans les provinces , prenant le nom D’INTENDANT ayant des compétences attribué par le roi qui leur donne des « COMMISSIONS »

littérature médiévale se construit donc sur la fiction d’un matériel disparu et sur la réalité d’un nombre restreint de documents rencontrés. Nous sommes donc confrontés à l’étude d’une littérature faite de textes fragmentés et incomplets. Littérature / oralité D’ailleurs, par une sorte de distorsion historique, on désigne la ‘littérature’ au Moyen Âge à travers d’un mot dérivé de “littera”, c’est-à-dire, la ‘lettre écrite’ lorsque la plupart du corpus littéraire -tout au moins jusqu’au XIIIème et XIVème

l’Autre Rive10, donne à voir une trajectoire contraire. Il est l’histoire d’une jeune femme : Marie-Madeleine Ngambou ou Marie-Eve. A travers divers procédés oraux, Marie-Eve raconte avoir vécu quelques années de vie maritale régentée par des coutumes désuètes et par sa belle famille. Excédée, elle disparaît une nuit et s’exile aux Antilles sous une nouvelle identité. Si elle y mène désormais une vie artistique et maritale plus épanouie, elle constate que les pratiques sociales demeurent les

. . . . . . . . . . . 5.2.2.2 La construction du sch´ma corporel . . . . . . . . . . . . . . . . . e 5.2.2.3 L’exp´rience du mirroir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 5.2.3 Le corps et l’affectivit´, le corps et la sexualit´ : oralit´ et analit´. . . . . . e e e e 5.2.3.1 Le corps, source de plaisir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.2 La phase orale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.3 La phase anale . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . 5.2.2.2 La construction du sch´ma corporel . . . . . . . . . . . . . . . . . e 5.2.2.3 L’exp´rience du mirroir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 5.2.3 Le corps et l’affectivit´, le corps et la sexualit´ : oralit´ et analit´. . . . . . e e e e 5.2.3.1 Le corps, source de plaisir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.2 La phase orale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2.3.3 La phase anale . . . . . . . . . . . .