L Universalisme Moral

la civilisation romaine. En même temps, va intégrer les influences germaniques. A l’époque des cités grecques, plusieurs valeurs ou culturels, propre à l’Europe, sont apparus, on peut citer l’humanisme, aussi a cette époque apparait la notion universalisme, ou idéale cynique. Rome a innové dans les domaine de ladminis et de l’organisation, c’est le droit romain qui nous allégué les traditions juridiques du droit privé, et qui correspondent à un droit laïcisé et professiossaliste ; tradition repose

limitée (III). Nous traiterons pour cela successivement les rapports de force des acteurs et réseaux : entre domination et exclusion culturelle (A), les interactions pouvant être motrices d'un équilibre culturel (B), ainsi que la primauté d'un universalisme culturel sur-diffusé par l'industrie, témoignage des limites de la circulation transfrontalière des biens symbolique (C). I./ L'attractivité des biens symboliques, un moyen efficace de circulation transfrontalière des œuvres. Nous verrons dans

loi sociale divinisée. La religion est indispensable aux sociétés naissantes car elle sacralise un ordre lui-même naissant et donc encore fragile. A l’origine la religion organise la vie sociale et consacre l’ordre social en imposant aux hommes une morale indiscutable (définition manichéenne du bien te du mal). La religion contribue à civiliser les hommes en édictant un nombre impressionnant de règles et d'interdits qui supposent une maîtrise des instincts et des pulsions. L'actuelle sécularisation

tous les hommes de son époque. En imitant et réinventant les œuvres antiques, le classicisme se veut «la recherche d’un naturel idéalisé et la postulation d’un universalisme psychologique». Cependant, ce mouvement ne se limite pas à une reproduction des Anciens : il implique une multitude de règles et de contraintes esthétiques et morales. Se basant sur la Poétique et la Rhétorique d’Aristote, la doctrine classique implique un texte soigné, clair et bien organisé mettant en scène les personnages

question était : " Suffit-il pour être vertueux ou moral d’obéir aux lois et coutumes de son pays ? " que la moralité ou la vertu n’est pas dans le comportement extérieur mais dans l’intention, et que l’obéissance n’est jamais qu’un comportement extérieurement conforme aux lois et aux coutumes. Ce comportement extérieur peut avoir une apparence de conformité ou même d’ailleurs de vertu sans que l’intention soit le moins du monde vertueuse (hypocrisie morale). Or on demande la condition suffisante pour

repose-t-elle ? Quels en sont les arguments ? Ces arguments sont-ils valables ? Quelles objections peut-on formuler ? Sur quelles distinctions ou identifications repose-t-elle et sont-elles pertinentes ? - Chercher ses implications théoriques, morales, et matérielles. S’il en est ainsi alors quelles sont les conséquences ? Sur quoi débouche la thèse ? Est-ce tenable ? Bref, il s’agit de cerner un débat, de le délimiter et de le formuler le plus clairement et le plus rigoureusement possible.

raison des erreurs produites par les guerres de religion. C’est dans cette dernière perspective que John Locke rédige sa Lettre sur la tolérance, dont est extrait le texte que nous allons étudier. Ce texte s’inscrit dans le domaine de la philosophie morale et politique et a pour objet particulier la tolérance religieuse. L’interrogation posée par ce texte, en vue de répondre au problème exposé ci-dessus de la notion de tolérance, porte sur les raisons et les conditions de mise en œuvre de la tolérance

d’association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé » où le contrat social donne la solution. Le pouvoir politique fondé sur le contrat social représente un acte d’association qui produit un “corps moral et collectif composé d’autant de membres que l’assemblée a de voix“, forme ainsi l’existence même du peuple. L’engagement total est le même pour tous et personne n’a d’intérêt à rendre caduque cet acte car c’est avant tout un moyen de conserver

montagnard qui émane de ce goût pour la verticalité des romantiques. Ecosse, Italie puis Orientalisme= î fort pour la Méditerranée et le monde musulman. Goût pour les civilisa° inconnues mêlé de fantastique. Civilisa° pas encore marquée par l’ordre moral bourgeois= sexualité libre (Ingres, Le bain turc). Romantiques redécouvrent Shakespeare: LA pièce romantique par excellence= Hamlet. Fascina° pour le suicide Renée de Chateaubriand. B. Le culte des origines 1°. Les cultures populaires James

notion polysémique 1. La culture au sens anthropologique et sociologique (et non savante) La culture au sens anthropologique (définition de Tylor) : «  la culture ou la civilisation est cet ensemble complexe qui comprend l’art, le droit, la morale, les coutumes et toutes les autres aptitudes qu’acquiert l’homme en tant que membre d’une société » (1871)La culture au sens sociologique (définition de Guy Rocher) : « ensemble lié de manières de penser de sentir et d’agir plus ou moins formalisés