L Universalisme Moral

de la population tels l'Espagne de Franco, ou le Portugal de Salazar) échouent à définir. Comme l'a bien montré Hannah Arendt, le totalitarisme, par sa « terrifiante originalité », « a pulvérisé nos catégories politiques et nos critères de jugement moral ». La validité d'un tel concept fait question. D'origine polémique, il recèlerait une valeur descriptive plutôt qu'explicative, et son caractère englobant effacerait les singularités qui distinguent nazisme et communisme. De telles limitent invalident-elles

dommage d'après http://www.livre-rare-book.com - page:3 Titre : droit civil tome 1er le droit polonais en vigueur. (A.) De Bersaques :L'oeuvre prétorienne de la jurisprudence en matière de lésion. (H.) Desbois : La conception française du droit moral de l'auteur. (P.) Esmein : Le culte des morts. Baron (L.) Frédéricq : Les réserves dont la Belgique a fait usage en introduisant la Loi uniforme sur le chèque (Loi du 1er mars 1961). (W. J.) Ganshof Van Der Meersch : Le droit de la défense, principe

de l’Homme. Mais renier les particularismes, irait surtout à l’encontre des nombreuses contestations faites par des états contre le caractère universalisme des droits de l’Homme. Pourquoi une telle contestation ? Pour deux raisons principales. La première repose sur le relativisme sociologique, selon lequel il n’est pas possible de déterminer une morale absolue ou universelle car il existe des frontières culturelles. Cette doctrine existe depuis longtemps mais n’est pas forcément la raison principale

classique. Le citoyen juste doit faire passer son respect de la Cité, ses lois fondamentales, sa dette à leur égard, le contrat qui le lie à son pays, avant sa révolte. Il lui faut obéir, pour dénoncer l’injustice. Sauver sa patrie, par une protestation morale. Aimer la loi, contre les lois.  Cet idéal classique a été magistralement exprimé par Montesquieu dans la Préface de son Esprit des lois : « si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince

imitation, quelque peu modifié du réel, a-t-il réellement un intérêt? Peut-il nous apporter un éventuel enseignement alors qu'il n'est qu'apparence? Un monde sans art ne serait-il pas meilleur? Mais cela est-il même concevable? L'art doit-il être moral? Nous tâcherons de réponde à ces questions au fil de ce devoir. Loin d'être une fausse question et une perte de temps, la question de savoir s'il y a un réel enseignement dans l'art témoigne d'un malaise grandissant chez l'Homme vis-à-vis de l'art

Lien social Socialisation Intégration Exclusion Pauvreté Anomie Déviance Individualisme Solidarité organique / mécanique État-providence Assurance / assistance Redistribution Risques sociaux Universalisme / communautarisme Problématiques essentielles : Comment peut-on expliquer la fragilisation du lien social ? Le travail permet-il l'intégration sociale ? Les modifications du marché du travail ont-elles un effet sur l'intégration 

plan politique et moral. Elle fournit en effet un critère moral qui n’est pas relatif à une culture, mais bien absolu puisqu’il consiste dans la nature commune des hommes. C’est pourquoi la Déclaration des droits de l’homme de 1789 affirme qu’il faut reconnaître et respecter la liberté en l’homme, en vertu de sa nature, quelle que soit sa culture ou sa communauté. Cette Déclaration a la prétention de valoir universellement, et au-delà des différences culturelles. Cet universalisme est un humanisme

connaître les questions d’ordre axiologique, ces questions sont inaccessibles à l’entendement. La raison objective (Kant = raison pure, opposée à raison pratique) est obstruée en matière de valeurs : elle ne peut pas expliquer tout ce qui relève du monde moral. Nous devons donc croire, et non connaître. Tout ce qui relève des valeurs est considéré comme une activité de devoir-être. On ne peut plus inférer les valeurs de la connaissance du monde : elles sont arbitraires, subjectives. Autre dogme selon

manifeste, celle de la fraternité (2)comme assistance au plus démuni. Ce sera notre deuxième temps d’analyse. L’enjeu se fait plus théorique au détriment d’une impuissance pratique : le débat sur la démocratie semble persister dans l’idéologie et son universalisme (3). L’économie y apparaît comme le retour du refoulé. Qu’en serait-il des conditions émergentes d’une démocratie, malgré et contre tout ? (4) - :- :- :- :- :- :- :- :- :- :- (1)Zygmunt Bauman, sociologue planétaire, dresse un bilan inquiétant :

nous demeurons le même, mêmes si un chgt nous affecte. Est-il pour autant évident que je sois le même maigres l diversité des changements qui se produisent en moi ? (je me sens différent en fonction de mon âge ms n avons pas l même identité sociale morale) Y a-t-il un « moi » qui puisse assurer la cohérence des différences de ttes ses dimensions ? B/ HUME : * pb de l’id personnelle Hume estime que tt H possède l’impression d’une continuité du moi. Il estime pourtant qu’il y a un fossé entre