L édit De Caracalla 212

lorsqu’ils prennent leurs fonctions ils publient un édit sorte de proclamation par laquelle le prêteur fait connaître la manière dont il entend régler les questions de sa compétences pendant toute la durée de son mandat, soit un an. Le prêteur pérégrin n’a jamais écrit cet édit, on a donc du mal à connaître le mode de fonctionnement particulier de cette charge. Celui-ci a surtout agit en tant que juge mais celui-ci n’a jamais pris la peine de publier un édit. Dans ces conditions on a pas de traces écrites

d’origine grecque sans en être sur féministe «  les institutes » invente un plan en 3 parties les personnes les choses et les actions ; PAPINIEN immense prestige de son vivant II-III° le « prince des juristes consultes » assassiné sous le règne de CARACALLA ; PAULUS II-III° originaire ; ULPIEN III° Idées vont être reprises par les rois de France pour construire la notion de souveraineté, droit public français antiféministe ; MODESTIN élève d’ULPIEN. 1° règle : l’opinion de ces 5 juristes consultes

Claude conquis la gaule insulaire 48 ap.j. l’empereur Claude faisait entrer des riches gaulois au Sénat de Rome 171 Blandine et ses copains sont torturés Prise de la tradition de torturer de romains que les gaulois n’avaient pas.) 212 ap. j. l’édit de l’empereur Caracalla accorda la citoyenneté romaine a tous les hommes libres de Gaule et de l’empire. 250 l’Eglise e Rome y envoya 7 évêques : a Narbonne, Arles, Limoge, Toulouse, Tours, Chaumont et Lutèce 330 les empereurs quitterent Rome pour s’installer

participe pas au vote = plebiscites qui n’obligent que la plèbe : textes votés par la plèbe = textes qui s’appliquent que pr la plèbe. Si le Sénat le ratifie, il s’appliquera au populus tout entier. Milieu rep : vex hortensia : loi d’hortensia (Hortentius 212 avt JC) : plébiscite obligatoire pr tout le monde. Aucune assemblée n’a le droit de se réunir de son propre mvt, c’est le magistrat qui convoque et ces assemblées sont muettes, aucun citoyen ne peut y prendre la parole. La tribune est réservée aux magistrats

persécutions générales dans le but d’éradiquer la religion mais elles ne vont pas avoir l’effet escompté : plus le nombre de persécutions va augmenter, plus le nombre d’adeptes chrétiens va grandir. L’empereur Constantin va donc reconnaitre le christianisme. Édit de Milan (313 ap. J.-C.) : dès cette date l’Église va pouvoir se développer et commencer à amasser des

désirait ouvrir, aux élites des régions les plus avancées, la citoyenneté ainsi que l’ordre équestre et sénatorial. Il apparaît comme un innovateur qui fixa les modalités de l’intégration des provinciaux en vigueur jusqu’à la fin du IIe s (Edit de Caracalla en 212). Bibliographie : • J.C FREDOUILLE, Dictionnaire de la civilisation romaine, Larousse, Paris, 1992. • E. CIZEK, Mentalités et institutions politiques romaines, Fayard, Paris, 1990. • Y. PERRIN, T. BAUZOU, De la cité à l’Empire :

cadre des administrations romaines qui sont un moyen de gravir rapidement l'echellon social. Ces différents phénomènes contribuent à l'emergence d'une véritable symbiose des différentes éthnies. Cette symbiose connaitra son apogée en 212 ap JC où l'empereur Caracalla établit la constitution, texte qui accorde la citoyenneté à tous les habitants libres de l'empire. Chapitre 2: Les institutions romaines en Gaule. Section 1: le pouvoir politique: une monarchie absolue et divinisée. Le pouvoir

jeune esclave. 212 : Edit de Caracalla : L' Édit de Caracalla est un décret, également appelé Constitutio Antoniniana, par lequel l'empereur romain Marcus Aurelius Antoninus Bassianus dit Caracalla (premier fils de Septime Sévère) confère, en 211-212 apr. J.-C., aux habitants de l'Empire romain, le droit de cité romaine (la citoyenneté). Jusqu'alors, la citoyenneté (avec ses privilèges mais aussi ses devoirs fiscaux) n'étaient accordée qu'aux habitants de l'Italie. 313 : Edit de Constantin :

provinces essentielles et qui aura une influence sur les territoires même après la conquête des francs. Apparition de cité ou civitas qui va être le siège de la vie social et politique de l’empire romain et permettant en 214 que l’empereur Caracalla puissent prendre un édit selon lequel tous les habitants seront des citoyens romains. Les romains tout en construisant un empire ne sont pas impérialiste, ils laissent aux populations autochtone une certaine autonomie. L’administration dans les cités fonctionne

est une réussite car on assiste à une fusion des élites, l’élites Gauloise se confond progressivement avec l’élites romaine. On pourra parler d’une élites Gallo Romaine toute fois si il y a une fusion des élites Gallo romaine, un édit important, l’édit de Caracalla en 212 permet de conférer la citoyenneté romaine à tout les hommes libre se trouvant sur la terre romaine ce qui suppose que notre fameuse élites Gallo romaine, puissent occuper la place de magistrat. On trouve un sénat municipal ou encore