L édit De Caracalla 212

d’un dème, c’est-à-dire une circonscription territoriale de l’Attique territoire d’Athènes, ici, le mot désigne ceux qui ont été désignés pour cette tâche qui consiste à inscrire les nouveaux citoyens sur les registres. Document 2 L’édit de Caracalla, 212 après Jésus-Christ « L’empereur César Marc Aurèle Sévère Antonin Auguste déclare : […] je peux manifester ma gratitude envers les dieux immortels qui me gardent […], je considère donc que je peux […] rendre service à leur majesté […] en faisant

citoyen de sa cité mais citoyen du monde. Sennec est séduit par cette philosophie stoïcienne, il était conseiller de Néron. L’empereur Marc Aurel 161 av JC dit clairement qu’il se considère comme citoyen du monde. L’empereur Caracalla en 212 après JC publiât un édit (L’édit de Caracalla) qui va accorder la citoyenneté à tous les habitants de l’empire « Je donne à tous les pérégrins qui sont sur terre le droit de la cité romaine en sauvegardant le droit des cités, sauf pour les déditices » (Déditices =

collectives, voire en fixant certaines conditions légales dont la réalisation emporte automatiquement l’accès à la citoyenneté romaine (normes, remplir les conditions). La pus grande concession de la citoyenneté romaine, aura lieu avec l’Edit de Caracalla en 212. La notion d’État à Rome s’établi sous la République. Et cette notion est définitivement conceptualisée au 1er siècle avant notre Ère. La définition de l’état est donnée par Cicéron= c’est la Res Publica, c ‘est à dire la Res Populi

de la papauté. 212 : édit de Caracalla qui accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l’empire. Bas empire avec l’empereur Dioclétien qui fonde le dominat. 306 : Constantin le grand qui fondera la seconde Rome qui portera le nom de Constantino polis = Constantinople. Avec lui rupture car il devient chrétien. 313 : édit de Milan avec lequel Constantin considère que chacun pourra adorer la divinité de son choix : édit de tolérance religieuse. 380 avec Théodose : Edit de Thessalonique

de la république (IIème avant JC) les pérégrins désignent tous les habitants de l’empire qui ne sont ni latin ni citoyens mais qui ne sont pas barbares parce qu’ils habitent à l’intérieur de la frontière, ce statut s’appliquera jusqu’en 212 par un édit de Caracalla qui va étendre la citoyenneté à tous les habitants de l’empire. Il y a deux grandes catégories : - Les pérégrins ordinaires : En fonction du degré de résistance des populations Rome accorde des droits différents, les gaulois ont reçu

des sanctions communes d’ou la naissance du prêteur pérégrin. Ces règles communes à tous les peuple sont appelé jus gentius : droit des peuples. B) L’édit de Caracalla (212) Désormais tous les pérégrins habitant l’Empire romain deviennes des romains sauf à certaines cités qui sont privilégiés et ceux qui de sont rendus. L’édit de Caracalla a été pris pour plusieurs raisons : - raison fiscale - raison juridique —> Il s’agit d’achever la romanisation des provinces qui ont été conquises par Rome, en

qui ont des politiques plus ou moins favorables face à la diffusion citoyenne et selon les régions. C’est un mouvement inégal mais de grande ampleur ce qui explique l’Édit de Caracalla qui généralise la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’empire : ça marque un accomplissement et c’est un geste fort car dès 212, la citoyenneté romaine est une citoyenneté universelle, tout le monde est Romain dans l’Empire donc les Romains se sont les hommes libres de l’Empire. Le premier facteur

personnes. C'est à partir du I° siècle avant notre ère qu'on assiste à l'élargissement de la citoyenneté romaine : intégration des italiens, 1 millions de personne, puis elle sera accordé à des notables des provinces conquises. En 212 après JC : un édit, l'édit de Caracalla, accorde la citoyenneté à tous les ressortissants de l'empire à une exception près. Magistrature inférieure : elles ne sont pas accompagnées de l'impérium et qui sont le début du cursus honorom, accessible vers 24-25 ans :

droit très peu formaliste (peu de formules officielles) c’est un droit fondé sur des réalités sociales qui se rencontrent dans toutes les sociétés humaines. 2. l’édit de de Caracacala En 212, l’empereur Caracalla prend un édit qui fixe la poElitique de Rome vis-à-vis des territoires conquis. Cet édit confère la citoyenneté romaine à presque tous les habitants de l’empire « Je donne à tous les pérégrins qui sont sur la terre le droit de cité romaine, tout genre de cité demeurant par ailleurs

s'arrête désormais aux Alpes. Cette dernière limite est fixée au trophée des Alpes mais est ensuite déplacée. Rome attribue la citoyenneté romaine à l'ensemble des Italiens dès -89, elle ne l'étend à tout l'Empire que trois siècles plus tard (édit de Caracalla, 211-212) Rome et son empire  Romulus et Rémus nourris par la louve, mythe fondateur de la civilisation romaine. À l'origine, la louve était représentée seule, c'est seulement à la Renaissance que les jumeaux Rémus et Romulus ont été ajoutés.