La Beauté Artistique

Dissertation Philosophie Peut on convaincre autrui de la beauté d'une œuvre d'art ? On dit souvent que « les goûts et couleurs ne se discutent pas », mais la popularité même de ce dicton devrait nous le rendre suspect. On assiste bien souvent au contraire à des discussions passionnées entre amateurs de musique, de littérature ou de cinéma : de quoi s’agit-il lors de ces échanges sinon de chercher à convaincre autrui qu’une œuvre d’art est belle, sublime, voire plus belle et plus sublime

L’Art n’est-il que choix ? Conclusion Introduction Un impérieux désir de beauté habite le cœur de l’homme. Que cette beauté nous apparaisse comme une promesse de bonheur ou comme une simple valeur d’ordre sensible, peu importe ! Nous en subissons l’attrait et en éprouvons l’intime exigence. C’est pourquoi la plupart des artistes et des critiques d’art se sont demandé quel est le sens des formes artistiques, pourquoi elles naissent et meurent, comment elles évoluent. Avec Diderot, Mme de

L’art 1. 1 Art, savoir-faire et beaux-arts a) L’art comme manifestation de la beauté Lorsque Bacon définit l’art comme « l’homme ajouté à la nature », il désigne encore ce qu’évoquent le latin ars et le grec technè : tout savoir-faire produisant un objet, satisfaisant de quelque manière que ce soit. À partir du XVIe siècle, peintres et architectes revendiquent le nom d’artistes, pour se distinguer des artisans qui ne décident pas librement de leurs productions : l’artiste est alors celui qui

positive, il explique que tous les peuples ont chacun un imaginaire qui leur permet de produire une œuvre d’art. Mais est-ce une religion de cette sorte secréterait des critères de beauté qui ne seraient à la ressemblance de ceux dus à une religion objective ? Dans une religion objective, il est possible que le critère de beauté puisse être tel qu’une intervention de la raison soit possible à l’occasion d’un embellissement par l’art. En effet, c’est une religion objective qui peut conférer au beau des

nouveau type de représentation, hors du commun. Peut-être la naissance d’un nouvel art ? « Simple artiste dans son atelier, il devient vite un divertissement artistique »Dans cette œuvre on voit une femme nue, entre deux hommes habillés avec un veston. Cela choque totalement le public alors que Claude vise juste une nouvelle approche artistique. Il a représenté une forêt avec un lac dans laquelle se baigne une femme en arrière-plan.Claude Lantier est un artiste sincère, volontaire, enfiévré par son

nécessaire, -définition que les artistes contemporains contestent- . Mais l’œuvre d’art doit-elle être belle ? Est-ce une obligation de représenter la beauté ? Existe-t-il une échappatoire à la beauté pour l’œuvre d’art ? Belle vient du latin « aesthesis » qui symbolise une harmonie dans nos perceptions, une notion qui stimule nos sens. La beauté peut être soumise à deux problèmes, tout d’abord, est-ce une propriété naturelle de l’objet ou bien alors un jugement de valeur que l’on porte à l’universalisme

: la beauté. Cette beauté est-elle dans la chose-même, ce qui supposerait qu’il y a des choses belles et des choses laides en elles-mêmes ou dans notre façon de voir et de représenter les choses alors n’importe quoi peut devenir beau ou laid, selon notre sentiment ou selon la manière de présenter les choses ? Nous verrons que ; Le beau est apprécié selon les différentes conceptions de l’homme ? Dans un premier lieu nous verrons les différentes conceptions que l’homme a de la beauté. Ensuite

éléments d'une approche capitaliste de la production artistique :Le meilleur exemple de l'extraordinaire talent de Léonard de Vinci est sans aucun doute son tableau le plus célèbre, la Joconde, qui fait désormais partie de la conscience collective mondiale. Mais dans quelle mesure la peinture reflète-t-elle un système socio-politique qui incorpore des éléments de méthodes capitalistes dans la production artistique ?La renaissance est un courant artistique entre le XVe et XIVe siècles. Art religieux par

Dissertation : l’activité artistique relève-t-elle du travail ou de jeu ?Nietzsche le devenir de l’œuvre Alain artiste et artisan Introduction : L’art est connu comme le pouvoir de la création, c’est le moyen pour l’Homme de se détacher de la nature si c’est en effet le cas il semblerait qu’il n’y ait alors aucune règle et contraires de la technique dans le monde du travail. L’artiste est spectateur de son œuvre, et cherche à ce que son œuvre elle aussi sois contempler par d’autre spectateur et

nécessairement quelques uns, et que la création propose un nouveau monde qui n’est plus incohérent mais unifié. Cette unification qui « manque » au monde, Camus l’apparente à une révolte, qui malgré son inscription dans le réel n’est pas historique mais artistique et métaphysique, car dans l’Histoire cette révolte deviendrait révolution ; elle doit rester « à l’état pur » et anhistorique, autrement dit « primitif ». La réponse offerte par Camus à la tension entre art et politique et plus largement art et