La Beauté La Laideur

(Gallimard, Tel). Ordinairement, c’est à l’éclat de sa beauté, et non, par exemple, à son utilité, qu’on s’accorde à reconnaître, d’une œuvre, qu’elle est bien une œuvre d’art. Le philosophe interrogera donc l’origine, ou le fondement de cette beauté. Remarquons ici que l’art n’a nullement le monopole de la beauté : nous disons aussi bien d’un paysage, que d’un tableau par exemple, qu’il est « beau ». La nature, tout autant que l’art, peut susciter la beauté. Et c’est en effet une question pour la philosophie

notre vie, dans tous les domaines, en amour comme au travail, notre apparence conditionnera nos relations aux autres. Poussant son analyse, le sociologue démontre combien la beauté est un formidable outil de discrimination sociale que les élites imposent aux classes les plus basses. Dans le monde entier, les canons de la beauté ne sont-ils pas ceux des Blancs américains diffusés par la télévision et le cinéma : blondeur, minceur, jeunesse. Que l’on s’y résolve ou que l’on se révolte, nous n’en sommes

et apprécie avant tout la beauté. Avec ce souhait, le thème « Faust » est introduit. Au moment où Dorian a fait le souhait qu’il ne pensait pas que ce contrat lui apporterait autre chose que la beauté de la jeunesse et que ce qu’il paie en échange de cela est en fait son âme. Il vend véritablement son âme au diable. « L’idée que le portrait s’occupe des péchés d’un homme est une parabole parfaite, consciente ou non, de la corruption et de la cruauté au cœur de la beauté et du pouvoir de l’art de

et le laid est donc soumis à notre « sentiment du beau », c’est-à-dire nos opinions. Il critique ceux qui veulent dissocier la notion de beauté et de laideur au plaisir que l’Homme éprouve pour son être, car ceux-là, ne peuvent comprendre cette idée où l’Homme y est central. Pour Nietzsche la place de l’Homme est si importante que le « beau en soi » : la beauté en elle-même, n’existe pas, elle n’est qu’un mot sans idée car elle n’existe que par la vision de l’Homme et non de nature. Le beau soumis

l'accord des sujets ; c'est pourquoi le beau est défini comme « ce qui plaît universellement sans concept » ; « la beauté est la forme de la finalité d'un objet en tant qu'elle est perçue en lui sans représentation d'une fin. » Thèse : 1.Le beau est à l'origine de la Poésie et demeure important dans l'inspiration du poète 2.On peut évoquer une ''autre muse'' du poéte qu'est la laideur Le beau est à l'origine de la Poésie et demeure important dans l'inspiration du poète. Apollon, Orphée, Dyonisos

affirmation ? SUJET 2 : Dans son essai poétique Rester vivant (1991), l’écrivain Michel Houellebecq donne ces conseils aux apprentis poètes : « L’envers du décor. Insistez sur la maladie, l’agonie, la laideur. Parlez de la mort, et de l’oubli. De la jalousie, de l’indifférence, de la frustration, de l’absence d’amour. Soyez abjects, vous serez vrais. » Pensez-vous que ces propos sont adaptés au recueil des Fleurs du mal de Baudelaire

est un recueil de poème écrit par Baudelaire englobant la quasi-totalité de sa production de 1840 jusqu’à sa mort. Baudelaire à sublimé la laideur du monde et de son entourage dans ses poèmes grâce à la magie et l’enchantement. Alors nous pouvons nous demander si le poète est un être pouvant transfigurer la laideur du monde afin d’en faire ressortir toute sa beauté en utilisant la dimension magique de la poésie.Afin d’y répondre nous verrons dans un premier temps que le poète est en décalage avec la

vous de ce discours trouvé sur Internet à propos de la laideur ? «Certes, il y a des gens complexés sans raison, des gens qui se ressentent laids alors qu’ils ne le sont pas... Mais il y a aussi des gens objectivement, concrètement, indiscutablement laids.. Point à la ligne. Ce n’est pas le fameux «regard des autres» qui fait que quelqu’un est grand ou petit, ou mince ou grand; c’est comme cela, c’est la nature.. C’est pareil pour la beauté... Comme il y a des gens qui sont intelligents et d’autres

péjoratifs  : sale, immoral, laideur Termes : mélioratifs :« Fleurs » Alchimie « boue » La débauche (sous-sol humain) (avant le « mais ») « Non seulement le poète descend dans le sous-sol humain où grouille un monde de stupre et de honte »I. Le poète Puise son inspiration dans le sous-sol humain la laideur et le mal« Mais il prend sur lui de montrer

Dans son film La Philosophie de la Beauté, Roger Scruton présente la beauté comme ayant été, avant le 20e siècle, une valeur aussi importante que la bonté et la vérité l’étaient. Elle était omniprésente dans la pensée des gens. Il explique que les artistes de cette époque étaient conscients que le monde dans lequel ils vivaient était mal et injuste, mais que leur remède à ces maux était la beauté. L’art et les chef-d’œuvres donnaient donc une raison de vivre dans ce monde de souffrance. Elle ne serait