La Beauté La Laideur

 «La laideur, au même titre que la beauté, peut-elle être source d'inspiration du poète ?». L’éloge d’une beauté physique ou morale sont les thermes les plus rependus dans la poésie. Mais la question posée est pouvons-nous vraiment nous demandés si la laideur est au même titre que la beauté, si cela est bien réel. Nous allons donc traités cette problématique en deux grands axes l’un qui est « la poésie peut-elle s’inspirer de la laideur ?» et le second «La beauté des femmes est donc une source

Pourquoi la laideur éveil-t-elle de l'intérêt ? "Dans la nature, ce sont les hommes qui décrètent de la beauté ou de la laideur." Jean Arp La beauté est injuste. Elle crée des inégalités entre individus qui, bien que non dites, ont de très fortes implications sur la vie en société. L’histoire des représentations de la beauté et de la laideur confirme le fait. De tout temps, l’imaginaire de la laideur fut associé au mal, en correspondance avec les monstres, le diable, le pervers, le malade ; elle

Sujet de dissertation : la laideur est- elle une source d’inspiration au même titre que la beauté ? La poésie peut-elle s’inspirer de la laideur ? En effet, le rôle de la poésie et de donner un regard critique sur le monde qui nous entoure. Par conséquent, certains poèmes peuvent aussi bien parler de la beauté que de la laideur. La laideur physique est donc évoquée en poésie, mais souvent en poussant le lecteur à regarder plus loin que ce physique. On peut citer à ce propos ‘’ J’aime l’araignée

L'art doit il s'interesser à la laideur? La laideur est un terme qui est le plus souvent utilisé dans le langage courant pour évoquer ce qui est inesthétique, désagréable à la vue, et donc opposé au beau. Il peut également s'appliquer dans un sens moral pour désigner la bassesse, l'horreur. Le terme art quant à lui, possède un sens plutot vague. En effet il est difficile de trouver une définition exacte, on peut pourtant s'en approcher en disant que l'art est l'expression de la créativé. Cette

Introduction A l’encontre de la beauté, la laideur dans l’art n’a que rarement été traitée par les sociologues, les philosophes et les critiques d’art. La laideur n’a pas fait problème[2]. On l’a bien souvent réduite à être « manque de », « privation de », « simple trace marquée par la déception ou le regret »[3] , comme s’il suffisait d’énumérer les critères du laid pour le renvoyer au non-être ou au domaine négatif du beau[4]. Pourtant, si pour Passeron « il n’est pas sûr, que la chose laide

représentation d’une chose, cette chose peut-elle être laide ? La représentation de la laideur peut-elle être une œuvre d’art ? L’art ne doit-il pas représenter la beauté pour être réussi ? Pour répondre à ce questionnement, il faut en premier se demander qu’est-ce que la laideur ? Le laid est quelque chose dont l’aspect heurte le sens esthétique, l’idée que l’on a du beau comme par exemple, un objet laid. La laideur peut être dans un sens physique, mais aussi moral. Qui s’écarte des bienséances ou

maintenant. Les poétes utilisent la poésie afin de nous montrer la beauté, la laideur et aussi pour nous offrir une nouvelle vision sur notre monde,sur notre époque ou sur leur propre époque. Nous pouvons alors nous interroger, si la poésie doit-elle nécessairement représenter la beauté. Tout d’abord, nous allons constater que la poésie représente essenctiellement la beauté , mais que cependant certains poètes modernes dépeignent la laideur. Enfin nous verrons que la poésie cherche à nous donner un

------------------------------------------------- La laideur La laideur est d'abord conçue comme malformation ou déformation de la nature, comme si la nature ne respectait plus ses propres règles et produisait un être inachevé (« avorton »). Comment articuler […] ce qui met nullement en péril la beauté du tout dans la mesure où elle est le socle de la philosophie […] Aristote : discours un peu différent. En tant que scientifique, il a étudié la nature. D'après Aristote, la nature n'a jamais le projet de la laideur. Elle a toujours

Mais la provocation par rapport à la poésie classique se fait surtout sur le fond et le thème traité, puisque ces trois poèmes font la description et l'éloge de la laideur, thème prosaïque, très éloigné des nobles sources d'inspiration utilisé par la poésie classique. Dans ces quatre textes, les poètes utilisent le thème de la laideur pour faire la description de plante, d'animaux ou d'objet rejetés et marginalisés. Ainsi, dans son poème commençant par « J'aime l'araignée », Victor Hugo, utilise

Baudelaire se considère comme un alchimiste qui transforme la laideur du réel en beauté : « J’ai pétri de la boue et j’en ai fait de l’or », écrit-il dans son poème « Orgueil ». Baudelaire est un poète français du XIXème siècle, essentiellement connu pour son recueil « Les Fleurs du Mal », paru en 1857. Cette œuvre novatrice, divisée en 6 sections de poèmes, relate une sorte de parcours moral et spirituel du poète, dont la première s’intitule « Spleen et Idéal ». Le recueil connaît immédiatement