La Beauté S Explique T Elle

araignées pour les regarder combattre. Simple cruauté ou fascination face au comportement instinctif des animaux ? Qui ne s’est pas dit un jour, devant le corps humain (le processus de cicatrisation, la procréation…) que le vivant était d’une grande beauté ? Mais qu’y-a-t-il de beau dans le vivant ? Ce sentiment esthétique suffit-il à lui seul à justifier le refus de réduire le biologique au mécanique ? Une machine créée par l’homme peut-elle remplacer une partie du vivant ? Dans une première partie

dépend de la connaissance que nous possédons sur l'art ? La jouissance esthétique n’est pas purement intellectuelle. Il est tout à fait concevable qu'un homme qui ne connaît pas la théorie musicale, ni son histoire soit cependant touché par la beauté d'un chef d'oeuvre du monde de la musique. Le plaisir esthétique peut aussi survenir devant le spectacle de la Nature. Il n’est pas évident que le savoir nous apprenne réellement à sentir davantage. Qu’est ce qui nous rend capables d’une appréciation

livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée son héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle de Chartres laisse présager un destin exceptionnel. I – Une incarnation de la perfection 1- Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait physique. Mais le narrateur se contente du terme « beauté » pour la désigner : « Il parut alors une beauté », « une beauté parfaite » avec l'emploi

Devoir n°1 Introduction aux grands courants de la pensée sociologique. 1ère Question (20 Lignes maximum) -Trouver un exemple de « fait social total » autre que ceux examinés en cours. Expliquer en quoi le fait que vous avez choisi est bien un « fait social total » Le sacrifice humain chez les Aztèques: Un fait social total. L’ethnologue Michel Graulich, dans son ouvrage: Le sacrifice humain chez les Aztèques, reste fidèle à la pensée de Marcel Mauss, quand à la légitimité du sacrifice; il dépeint

n’est pas la même chose, voir pas du tout. Très culturel sans doute. A en croire l’auteur, le beau pour un occidental implique la lumière crue, le brillant, la propreté éclatante. Pour le japonais, c’est l’ombre qui révèle la beauté en la cachant ou en atténuant les contours et en occultant la perception. Le vrai problème il me semble, n’est pas ici l’électricité ou les chasses d’eau à proprement parlé. Mais plutôt leur impact d’ordre culturel. La technologie influe

personnification de la beauté, ''Toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux !'' (l. 6-7). Cela insiste donc sur le fait que Dom Juan est attiré par les autres femmes, qu'il ne peut pas empêcher cette attirance et qu'il ne veut pas résister à ne serait-ce qu'une seule tentation. Il ne veut pas changer de mode de vie, il aime la débauche et la séduction. Dans un second temps, Molière montre la façon dont Dom Juan justifie l'infidélité en évoquant la beauté et le plaisir qu'il trouve

et «Par delà le soleil, par delà les éthers, par delà les confins des sphères étoilées» (vers 3 et 4) Effet : Répétition dans le but de donner un côté musical. * Comparaison : «Comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde» (vers 6) Effet : Explique et illustre, grâce à un exemple, la situation de l’objet de comparaison, soit l’esprit du narrateur. Le Guignon (P.16) Thème exploité : Les faits relatés : L’idée directrice : Les effets des procédés langagiers : A * Résumé du poème :

certes, comme celle d’un jeune garçon ému par la vision de la beauté, mise ici en évidence par la virgule, semblable à un soupir amoureux. Mais le fait qu’il avoue la voir « encore » laisse soupçonner au lecteur que le topos du coup de foudre est moqué par l’écrivain, alors même qu’il en a été victime, d’après lui. D’ailleurs, que voit-il, sinon « cette prunelle ardente sous un sourcil noir se fixer sur [lui] comme un soleil » ? Etrange beauté borgne évoquée par l’écrivain que l’on serait tenté de rapprocher

arrivée a Paris), Guillermo Lorca avait 16 ans lorsqu’il commença son apprentissage auprès du peintre chilien Sergio Montero. Le style de peinture de Lorca nous donne la sensation d’être sur un fil, à un point de basculement dans ses oeu-vres où la beauté rencontre l’horreur. Réalisme tranchant comme un rasoir côtoie de somptueux coups de pinceau de style baroque. C’est un curieux mélange qui nous attire et nous dégoûte en même temps: magnifiques et repoussantes à la fois, ou terriblement sublimes

de D.Rince, en commençant par montrer les différents aspects de la femmes et ses influences sur Baudelaire, et ultérieurement de prouver et expliquer la réelle dépendance qu’a le poète pour la femme, puis commenter la souffrance qui en résulte. Axe 1: La femme est incomprise de Baudelaire, et possède de multiples facettes. Je commencerai donc par expliquer l’incarnation du mystère de la femme, puis je parlerai des conséquences sur le poète, premièrement négatives car parlant principalement de