La Beauté Sera Convulsive Ou Ne Sera Pas

SIBILLE Claire 11.03.10 Explication de texte Julien Gracq, Le rivage des Syrtes. « La beauté sera convulsive ou ne sera pas ». Cet extrait semble illustrer parfaitement cette parole d’André Breton. Ici le texte a cette beauté effrayante et menaçante. Le Rivage des Syrtes est avant tout un roman de l'attente, il retrace l’histoire d’Aldo est un militaire envoyé sur un poste-frontière, sur le rivage des Syrtes, pour observer l'ennemi de toujours, replié sur le rivage d'en face, Farghestan

écriture classique : prose, claire et limpide, effet stylistique mesuré, pas de vocabulaire riche et une seule intrigue. • elle transpose la cour de Louis XIV à la cour du Valois. Étude : I-Caractéristiques des Héros : - 2 rangs exemplatives / beauté naturelle ( toujours dans le superlatif ) - ils sont admirés - un coup de foudre discret / scène de rencontre - plébiscités par le roi et la reine - occasion particulière ( bal , Louvre , cour royale ) => admiration, ces deux êtres semblent

se retrouvent naturellement dans son oeuvre principale Les Fleurs du mal parue en 1857. Les thèmes abordés sont ainsi à maintes fois empreints d'accents romantiques. Avec application, Baudelaire aborde le thème de la Beauté : Cf : "Hymne à la Beauté" ou encore "La Beauté" : " Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre, et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière." comme l'aurait fait

Roman poétique, surréalisme, personnage allégorique. VII ) Découpage de l’œuvre Le récit débute par une affirmation autobiographique : " qui suis-je? "(P.9) et se clôt par une affirmation du projet esthétique poursuivi par le sujet : "la beauté sera convulsive ou ne sera pas." Tout laisse à penser que le personnage homodiégétique entend se définir à travers son projet poétique et que l'héroïne dont il tombe amoureux, son double dans le récit, est une allégorie de la poésie. 1) Préambule (P.9-69):

continue. Elle trompe le public et cela surprend. La musique est là pour appuyer la thèse que le film ne rentre pas dans les normes cinématographiques. 7. Ce film rejoint la conception de l'art d'André BRETON qui a écrit dan Nadja « la beauté est convulsive ou ne le sera pas », car un chien andalou exprime : - l'amour et la passion, quand la femme s'en va pour rejoindre l'homme qu'elle aime sur la plage. -l'érotisme et la violence, lorsque l'homme accompli ces désir sexuels sur la femme plaqué

cette brièveté s'apparente à une forme poétique japonaise appelée "HAIKU", c'est une forme poétique qu'Eluard avait beaucoup travailler dans les années 20 (voir sur internet). Il y a une puissance sujestive dans cette forme d'écriture, cette "beauté convulsive". Il a estimé qu'il s'accorderai avec les dessins de Man Ray. conclusion : Pour comprendre leur ouvrage "les mains libres", ceux sont celles du dessinateur et du poète qui travaillent dans un même esprit, c'est à dire qu'il se décompte tous

Proposition de corrigé pour la dissertation du bac blanc. Selon vous la beauté du texte poétique est-elle liée au sujet qu’il évoque ? .-Le sujet appelle donc un plan dialectique et impose de montrer que la poésie peut tirer partie du thème qu’elle se choisit pour créer du beau mais que cela ne saurait suffire. Le corpus invite également à montrer que la poésie peut a contrario s’intéresser au laid. Le poète et critique Jean-Michel Espitallier affirme : « Si la poésie peut parler de fleurs 

temps d’y penser, ce n’est pas rien d’élever au rang d’oeuvre d’art des performances sportives sur glace. Ainsi, tous les efforts de la patineuse tendraient à une forme d’ « Art » d’une conception romantique et que l’on pourrait autrement nommer Beauté ou Grâce. Sa chute en est d’autant plus cruelle et jubilatoire : des heures d’entraînement intensif, des années d’abnégation se voient d’un coup réduites à néant et le corps gracieux et athlétique que la patineuse s’est évertuée à maîtriser ne

Breton en 1924. Cependant, les surréalistes s'accordent tous pour dire que la découverte de la photographie tient elle même du surréalisme : le fait de pouvoir faire un arrêt sur image, sur le monde qui nous entoure... (une des idée de "la beauté sera convulsive".) De cela, on peut facilement comprendre que le surréalisme ne soit pas une école en soit mais plutôt une façon d'être, une manière de faire. Il s'agit d'un concept, d'une interprétation des éléments, du contenu... Loin d'être une école littéraire

la fontaine (1921), et des œuvres inspirées par la mythologie comme les flûtes de Pan (1923). L’année 1925 fut celle d’une rupture radicale dans la production du peintre. Il peignit des tableaux très violents montrant des créatures difformes, convulsives, prises dans les rets d’une rage hystérique : Femme dans un fauteuil (1926) et Baigneuse assise (1930). En 1926, il peint le Peintre et son modèle, qui marque sa rencontre avec Marie-Thérèse Walter, alors qu’elle est encore mineure. En 1928, il