La Bonne Intention Kant

penser l’effet ; mais quand on nomme simplement une chose une œuvre d’art, pour la distinguer d’un effet naturel, on entend toujours par là une œuvre de l’homme. Kant, Critique de la faculté de juger (1790), § 43 (tr. A. Renaut) QUESTIONS : 1. Quel sens Kant donne-t-il ici au concept de « nature » (l.1) ? 2. À quoi, selon Kant, reconnaît-on une œuvre d’art ? 3. Qu’est-ce qui différencie un « effet naturel » d’une « œuvre d’art » ? 4. Pourquoi ne peut-on pas dire des abeilles qu’elles

du mal a quelqu'un.) , les engagements personnels ( injustice de sacrifier un projet personnel important qui ne cause aucun tord a autrui et que n'est pas mauvais en lui même), les sentiments ou le caractère (bienveillance, générosité), les intentions (« bonne volonté »).A la suite de Thomas Nagel on peut dire que ces facteurs sont des sources de valeur morale. Il estime que ces différentes sources de valeurs pourraient bien êtres inconciliables. Il faudrait pour éviter les conflits d'évaluation accorder

direction morale de l’action (KANT) 1/ La direction morale comme autonomie La direction morale unit les 2 dimensions de la liberté = la causalité libre et l’autonomie  Agir à partir de l’obéissance à la loi morale et non dans le but du bonheur = faire mon devoir Agir conformément au devoir = pas moral, ce qui m’importe c’est le résultat de mon action = impératif hypothétique = hétéronomie, influence des penchants sensibles et affectifs Agir par devoir = mon intention est pure : ma volonté a pour

philosophie antique on discutait l’éthique sous le terme de la morale. Considérée au Moyen-Âge[1] par Saint Thomas d’Aquin notamment, elle est apparue plus précisément comme une science de la morale avec les travaux de Descartes[2]. Finalement, c’est Kant[3] qui posera les bases de l’éthique telle qu’on la considère aujourd’hui, une étude sur « les conditions de possibilité de la morale », qui s’appuie notamment sur des notions telle que celle du devoir. Aussi, on peut définir largement l’éthique comme

morale : Peut-on juger une œuvre d’art d’un point de vue éthique ?Platon (427 – 347 av JC)Kant (1724 – 1804) Oui on peut juger, car dans La République de Platon imagine une société idéale déterminer que les capacités devraient être ce qui permet d’appartenir à des classes sociales justice. Prend l’analogie du corps un corps remplit chacune de ses fonctions et un corps en bonne santé c’est pareil pour les hommes. Famille des dominants s’arrangent être

direction et à s’y tenir, il faut faire preuve de volonté ferme et cela même dans les situations les plus douteuses. Malgré l’incertitude de la situation, il faut choisir une direction comme si nous étions certains, sans aucun doute qu’il s’agisse de la bonne. Rester sur place est la dernière chose à faire. C’est cette volonté qui m’arrache de l’aporie sceptique et la vertu qu’est la volonté a manqué aux sceptiques. La volonté est la 2ème catégorie de la pensée. La conscience, elle, précède toute volonté

infortunes, angoissés par l'incertitude de l'avenir, nous aspirons en effet tout naturellement à un état de sérénité de plénitude que tous nomment le bonheur : « Une prospérité constante, une vie satisfaite, un parfait contentement de son état » pour Kant[4] ; « une immense joie inébranlable et constante » qui apporte à l'âme « apaisement, accord, grandeur, alliée à la douceur » pour Sénèque, qui l'identifie au souverain bien. Le souverain bien c'est-à-dire à la fois le bien suprême, celui qui n'est

D’autre part, Kant a lui une conception de la morale excluant la notion de plaisir, décrite dans sa Critique de la raison pratique (1788). De prime abord, on ne peut pas selon lui atteindre le bonheur en suivant des règles prédéfinies et dictées car il est individuel et que chaque vision est différente dans le sens où c’est un concept personnel. Considérant ce premier argument, la morale du plaisir semble absurde selon Kant. De plus, L’action morale doit découler d’une bonne intention, et l’homme vertueux

sera le cas cinquante ans plus tard, qu'on tire contre elle avec son pistolet ?. Car, Nietzsche, si nous avons besoin de « beaux mots », si nous avons besoin d'idéaliser, d'inventer des « fictions », demande-toi si, peut-être, ce ne serait pas une bonne chose : ce qui nous donne la force d'être dignes et pacifiques ? Pose-toi la question ! Qu'est-ce qui succéderait aux mythes et serait « bon » pour l'humanité ? Et qui d'entre nous n'est comme le baron de Crac, quand, embourbé dans le marais, au lieu

présentant son « principe de différence », lequel propose qu’il est acceptable de tolérer les inégalités lorsqu’elles sont au bénéfice de tous, qu’il doit y avoir une égalité des chances et que le modèle social doit être « maximiné ». Malgré de bonnes intentions, le principe de différence de Rawls n’est cependant pas équitable. Tant dans sa tendance irrespectueuse envers les plus favorisés et leurs ambitions que dans la subjectivité des principes moraux la régissant, le principe de différence passe à côté