La Bureaucratie En Afrique

gouvernement (administration, secteur public) n'a que peu d'importance. Par contre la qualité du gouvernement a beaucoup d'importance : les gouvernements qui causent l'hyperinflation, la distorsion des taux de change, des déficits excessifs ou une bureaucratie inefficace ont de très mauvais résultats. Il ajoute également que les économies plus ouvertes tendent à croître plus vite. Enfin, l'efficience des institutions est très importante : des marchés efficients, la reconnaissance de la propriété privée

derniers pays d’Afrique jusqu’alors toujours fidèles au système du parti unique. Ce processus s'accompagne d'une libéralisation du secteur des médias jusqu'alors totalement centralisé par les régimes de parti unique. Ce qui a facilité partout en Afrique l'éclosion d'une forte presse privée à côté de la presse traditionnelle souvent très proche du pouvoir. Cette presse privée, par la différence d'approche, par le travail d'informer vrai qu'elle exerce auprès des populations, a joué et continue de

Amérique ; MONTESQUIEU, L’esprit des lois. 2 Voir introduction PERRINEAU P. (dir), L'engagement politique : déclin ou mutation, presses de la fondation nationale de science politique, paris, 1994. 3 MBEMBE Achille, Les jeunes et l’ordre politique en Afrique noire, L’harmattan, Paris, 1985 4 Les anciennes étant la grève, des manifestations publiques telles que des marches…. 1 1 son intérêt. Il est possible d'avancer que cette situation n'a pas changé, sept ans plus tard : le président BIYA semble

l’idéal type, en particulier pour étudier la bureaucratie. = un idéal type. La bureaucratie n‘existe pas en soi. Il existe une réalité du fonctionnement de tel ministère, de telle préfecture, à telle date…Ainsi Weber a travaillé à partir du modèle Français mis en place par napoléon ou du modèle allemand mis en place en Prusse. Il dégage des théories comme celle selon laquelle la bureaucratie est une organisation hiérarchisée, … Ce modèle de la bureaucratie va permettre de réfléchir à d’autres organisations

elle ne règlerait pas pour autant le problème de légitimité politique de ces institutions. En dépit d'efforts réels au FMI, à la Banque mondiale et à l'OMC (mais pas à la BRI ou à l'OCDE), l'opacité reste la règle de fonctionnement de ces grandes bureaucraties. Les tractations de couloir entre Américains et Européens pour la nomination des dirigeants du FMI et de la Banque mondiale, au mépris de la compétence des personnes choisies, en sont une malheureuse illustration, comme l'a démontré le cas Wolfowitz[5]

1880 on voit une sans cesse augmentation du mouvement. 3ème phase : 1870-1920 est une période de crise, les grands vont tenter de faire fortune ailleurs (100éne de millier d’européen partent en Amérique du Nord, Océanie, très peu en Afrique) En 1900, 1 millions d’européens cherchent à faire fortune ailleurs. Ils partent donc surtout pour des raisons éco, pour améliorer leur situation. Conclusion : en tout, 50-55 million d’européens qui partent (1/3 de la population entre 1870-1914)

gouvernement du RCD-Goma, l’est du Congo a expérimenté une autonomie de gestion qui a conforté le sentiment « kivutien ». Le rétablissement d’une administration centralisée à partir de 2003 s’est très vite heurté à des résistances envers la lointaine bureaucratie de Kinshasa qui paralyse plutôt qu’elle ne favorise la gestion des affaires locales. La décentralisation, inscrite dans la nouvelle Constitution promulguée en 2006, accorde de larges prérogatives aux régions, mais elle n’est pas encore en place

toutes les étapes du cycle de passation des marchés publics. Ils devraient aussi s’assurer que les règles de passation des marchés publics obligent à, respecter un degré de transparence propre à renforcer le contrôle de la corruption sans créer de bureaucratie inutile, de manière à garantir l’efficacité du système. Deuxième dans la même optique il convient d’assurer une transparence maximale dans les appels d’offres et prendre des mesures de précaution pour renforcer l’intégrité, en particulier en cas

gouvernement (administration, secteur public) n'a que peu d'importance. Par contre la qualité du gouvernement a beaucoup d'importance : les gouvernements qui causent l'hyperinflation, la distorsion des taux de change, des déficits excessifs ou une bureaucratie inefficace ont de très mauvais résultats. Il ajoute également que les économies plus ouvertes tendent à croître plus vite. Enfin, l'efficience des institutions est très importante : des marchés efficients, la reconnaissance de la propriété privée

L’absence de la liberté d’expression. 21 2. Les différents types de régimes autoritaires. 21 a) L’autoritarisme patrimonial. 21 b) Les oligarchies clientélistes. 22 c) Les régimes « bonapartistes » et les dictatures populistes. 22 d) Les bureaucraties autoritaires ou semi-dictatures libérales. 23 B/ Les régimes totalitaires. 23 1. La notion de totalitarisme. 23 2. Les caractéristiques du totalitarisme. 24 SECTION 2 : LA PARTICIPATION POLITIQUE. 26 I. Eléments généraux relatifs à la participation