La Bêtise Humaine

le « regard médical » de Flaubert le romancier, dont le « scalpel » s’attache à disséquer les tares humaines. Très jeune, Gustave a déclare qu’il allait écrire et qu’il avait déjà trouvé un sujet qu’une vie d’écrivain ne suffirait pas à épuiser : la bêtise humaine. À l’âge de neuf ans, il confie à un de ses camarades : « Comme il y a une dame qui vient chez papa et nous conte toujours des bêtises, je les écrirai. » lorsqu’il devient lycéen, il imagine le personnage du « Garçon », caricature du bourgeois

très agréable et incite de lecteur à se poser des questions sur divers thèmes comme la législation belge sur l’immigration, sur le racisme et la tolérance. Comment ne pas être heurté face aux incohérences de la politique en Belgique, face à la bêtise humaine et à l’horreur de la guerre. Pie Tshibanda, l’écrivain congolais, nous oblige à ouvrir les yeux sur la situation des demandeurs d’asile et sur le chemin qu’ils ont à parcourir pour obtenir la légalisation dans notre pays. Au travers de son

la Nature ne peut être conçue que dans sa totalité, hors des limites qu’impose la Bêtise humaine, qui veut toujours conclure. Outre l’anthropocentrisme, ce désir de réduire le Tout à une conclusion simple est la caractéristique essentielle du Bourgeois. L’Homme se veut un Absolu, et ainsi il rend l’humanisme narcissique. En allant de la Nature au Narcisse, l’auteur organise sa réflexion autour trois axes : la Bêtise concluante, l’autolâtrie comme synthèse narcissique et l’opposition de la partie

qui ont été aussi fabuleux les uns que les autres. La pièce Rhinocéros en fait partie. Elle a été mise en scène en 1959. OUVERTURE Il y a une grande ressemblance avec l’existentialiste : Prise de conscience dans l’absurdité de la condition humaine Démarche de l’homme se fait dans le noir EXPLICATION Bien qu'elle soit une farce, elle est surtout une tragédie. [...] Nous assistons à la transformation mentale de toute une collectivité: les valeurs anciennes se dégradent. sont bouleversées,

Coccinelle est datée de 1830 mais en réalité elle a été écrite le 10 octobre 1854 : Au moment ou Hugo termine un poème cosmogonique « Ce que dit la bouche d’ombre ». La Coccinelle est une contemplation d’une création métaphysique qui parle de la condition humaine. Ce poème n’est pas un « simple enfantillage », on a d’un coté un poète triste sombre, attiré par le néant et d’un autre coté un poète capable de créer une fantaisie au charme ironique. Ce n’est donc pas l’œuvre que le jeune homme aurait pu écrire

Parlement Européen, Strasbourg, 15 janvier 2011 Discours contre le racisme français par le député Michel Berry Je suis ici pour dénoncer... Dénoncer la bêtise humaine, ou plutôt, la bêtise française. Où voulons nous en venir ? Dans quelle sorte de société sommes nous en train de nous diriger ? Vous connaissez aujourd'hui la situation de la ville de Ste Olonne en région parisienne. Cette commune est divisée en deux parties, dûe aux problèmes liés aux différentes races qui y vivent. D'un

pensée, la raison, les sentiments, la sagesse, la réflexion, l’apprentissage, la découverte, la bêtise… Un pour la queue. C’est comme chez l’être humain Un cerveau pour la femme Un cerveau pour l’homme. Et si l’humain avait hérité du cerveaux des dinosaures? Pour la femme celui du corps, l’esprit, la pensée, la raison, les sentiments, la sagesse, la réflexion, l’apprentissage, la découverte, la bêtise… Pour l’homme celui de la queue. Dans ce cas l’Homme ne descendrait plus du singe mais du

resterons sur la terre Qui est quelquefois si jolie Avec ses mystères de New York Et puis ses mystères de Paris Qui valent bien celui de la Trinité Avec son petit canal de l'Ourcq Sa grande muraille de Chine Sa rivière de Morlaix Ses bêtises de Cambrai Avec son Océan Pacifique Et ses deux bassins aux Tuilleries Avec ses bons enfants et ses mauvais sujets Avec toutes les merveilles du monde Qui sont là Simplement sur la terre Offertes à tout le monde Éparpillées Émerveillées

réchauffement climatique pourrait mener l’humanité entière à une vraie descente aux enfers. Comment peut-on gâcher ce que la terre nous a offert de plus beau volontairement ? Car de nos jours la nature est en grave danger à cause des nombreuses bêtises de l’être humain. C’est pour ceci qu’il faut commencer à réfléchir sérieusement à cette situation dont nous sommes nous-mêmes fautifs. Quels sont les différentes possibilités et gestes à établir pour qu’à l’avenir nous y prenions soins pour notre propre bien

détruit progressivement et lentement. Tout porte en soi son propre ferment de destruction. Cependant la vérité essentielle du livre, c’est que l’idéalisme n’a pas sa place dans un monde ou triomphent les intérêts mesquins et la bétise. En effet, l’auteur dénonce la bêtise humaine tout au long de son œuvre. Emma est victime, les vrais coupables ne sont pas punis : Rodolphe n’éprouve aucun remords et dort du sommeil du juste, l’heureux n’y ajamais vu qu’une « bonne affaire ». Les coupables sont récompensés