La Bêtise Humaine

Les Essais « De la Vanité » de Montaigne Dans les Essais, Montaigne aborde toutes les questions qui peuvent concerner l’être humain (l’éducation, la mort …) en menant toujours une réflexion ouverte. Cette œuvre, à laquelle il consacra une grande partie de sa vie, est composée de trois livres, retouchés, annotés au fil des années. Le troisième livre contient un chapitre intitulé « De la Vanité » dans lequel il évoque les voyages qui sont pour lui une occupation très importante (voyage pour combattre

palimpsestique et qui présente de ce point de vue une véritable homogénéité. Certes mais quel est le point commun entre ces « secondes » écriture ? Et quelle est leur finalité ? Flaubert ne s'est jamais réellement caché de son aversion pour le genre humain et a fait bien souvent preuve d'un cynisme grinçant. Il est alors surprenant de voir cet écrivain si noir s'attaque à l'écriture d'une œuvre hagiographique ; qui a priori ne peut être autre chose qu'une ode à la vertu et à la morale chrétienne. Or

Coccinelle est datée de 1830 mais en réalité elle a été écrite le 10 octobre 1854 : Au moment où Hugo termine un poème cosmogonique « Ce que dit la bouche d’ombre ». La Coccinelle est une contemplation d’une création métaphysique qui parle de la condition humaine. Ce poème n’est pas un « simple enfantillage », on a d’un côté un poète triste sombre, attiré par le néant et d’un autre coté un poète capable de créer une fantaisie au charme ironique. Ce n’est donc pas l’œuvre que le jeune homme aurait pu écrire

personnification des grenouilles 2. La critique des comportements humains Les leçons de la fable 1. La comparaison des différents régimes politiques 2. La leçon de Jupiter Conclusion Poète français du XVIIe siècle, Jean de La Fontaine (1621-1695) consacre sa vie à la poésie. Il prend souvent pour modèle des écrivains grecs ou latins comme Esope ou Phèdre pour écrire des récits mettant en scène des animaux dotés de caractères humains, qui lui permettent d'exprimer une morale. Dans « Les grenouilles

dénonçant le pessimisme de la nature humaine. Dans cette œuvre on retrouve Argant, un hypocondriaque qui va tout faire pour se soigner. Ainsi son comportement et celui de ses contemporains révéleront la véritable identité de la nature humaine. Mais au sujet de la pièce, un critique parle d’une « fin virevoltante mais profondément pessimiste sur la nature humaine ». Que pense-t-on de cette analyse ? Pour traiter ce sujet nous verrons tout d’abord nous verrons l’être humain, une nature imprévisible puis nous

l'Ingénu défend la thése du relativisme (individualisme religieux par rapport au lieu de naissance) alors que les Bretons défendent la supériorité d'une religion sur une autre. → Dénonce la pression de la religion pour convertir l'Ingénu (dénonce la bétise). C'est la fin du premier chapitre du conte philosophique. Il complete la cractérisation des personnage Bretons, cela lance l'action. En décidant de baptisé l'Ingénu la société engage un processus qui a des repercution evenementielle spycologique

À Charleville : marque historique et géographique: donne une valeur réaliste de témoignage (comme une chronique ou un journal). mesquines pelouses : adjectif inadéquat (à valeur humaine), connote négativement le caractère de ceux qui ont conçu cette pelouse, ou plus généralement la population locale ; l’antéposition valorise l’adjectif, le signalant à l’attention. Square : insistance sur le cadre par redondance d’un terme géométrique. Cette première strophe contient les termes généraux qui posent

l'être humain en général) : en effet selon lui, l'esprit humain est déchiré entre deux tendances simultanées : le « Spleen », correspondant à la dépression, au malheur ( exprimé par des images de platitude, d'horizontalité, de stagnation…) et l'Idéal, tendance à l'envol vers des contrées supérieures, les valeurs comme le Beau, le Bon, le Vrai… Cette tendance à l'envol de l'esprit est constamment contrariée, dans notre misérable condition humaine, par

et une morale. II – Les axes : Ce conte philosophique est un apologue (court récit qui contient une morale ex : les fables). Voltaire fait passer implicitement (sans être exprimée en terme direct) une condamnation des abus de pouvoir et la bêtise humaine. III – Etude du texte : Le rythme très rapide du récit ainsi que l’absurdité de l’histoire en font un texte plaisant. L’auteur joue avec le rythme. Le texte alterne des phrases longues et courtes dont certaines comportent beaucoup de ponctuation

donne l’occasion de fustiger la bêtise du peuple, qui est à l’origine de ce genre de programmes, les médias, qui relaient tout et son contraire en fonction des tendances, puis enfin les politiques, redoutablement falots et absents du débat. Nothomb prend donc le problème à rebrousse-poil, en vouant plus aux gémonies ceux qui sont avides de voyeurisme et d’abjection que ceux qui leur en fournissent la matière première. Par conséquent, si la plupart des êtres humains sont incapables de beauté, de