La Certitude Tue La Philosophie

Il est probable que même sur le plan professionnel, la recherche de la rentabilité à tout prix laisse petit à petit une place à la recherche du sens, car une société robotisée n’est pas viable. En ce sens, le regain actuel d’engouement pour la philosophie est un signe qui ne trompe pas… « Philosopher, c’est donner du sens à ce qui n’en a pas à priori » Eric Weil Contenu du cours Etat des lieux de la confusion et du désespoir contemporain. C’est lorsque tout semble être dénué de sens

déterminée par le hasard. La vie est donc absurde car il faut lutter contre hasard. Cependant, l’existentialisme n’a jamais existé en tant que courant littéraire en France. En effet, Camus a toujours refusé d’être catalogué d’existentialiste. Sa philosophie est basée sur l’absurde selon laquelle l’homme est confrontée à ses propres contradictions. Il doit donc se questionner tout le temps pour pouvoir donner du sens à sa vie. S’il n’en trouve pas, il doit alors se révolter contre le cadre religieux

Qu’est-ce que la philosophie ? Question posée au prof Lachelier par un de ses élèves. Il répond qu’il ne sait pas et cela suscite un étonnement et un caractère de provocation. L’étonnement peut être la naissance de la philosophie. En disant « je ne sais pas », il montre que l’ignorance est une autre forme de savoir car on se sait ignorant. La nature de la question de savoir en philosophie c’est l’ignorance. Quand il dit qu’il ne sait pas, il met en évidence son autre savoir, l’ignorance. Les

solitude de l’homme face au néant, le caractère nécessairement contingent de toute chose et de tout être ; sont autant d’angoisses que Camus décrira dans l’ensemble de ses œuvres. Dans un monde sans Dieu, devant l’insignifiance du réel, la seule certitude possible, c’est la mortalité de la condition humaine. Mais il ne prône pas pour autant un pessimisme universel, au contraire il s’y oppose. L’homme, qui prend conscience de son absurdité, dans sa « révolte solitaire », devient « solidaire »avec

regard agrandi à la dimension d'un ciel d'orage : "livide", "bleu gris".         Nous retrouvons là les deux composantes de l'amour baudelairien. Les sonorités de "douceur", de "fascine" et de "plaisir qui tue" donnent une impression de sentiments agréables, de glissement. Deux mono syllabes: "qui tue". III. Les réflexions du poète         Changement de ton: on passe du vouvoiement au tutoiement. Le poète s'adresse directement à la femme. La réflexion fait suite à la description. Au vers 9 s'établit

par la cupidité aux crimes les plus sordides 1890, La Bête humaine : folie de meurtre qui anime Jacques Lantier, chauffeur de locomotive, fils de Gervaise. I. LE ROMAN EXPERIMENTAL (1880) A. Le fondement de la théorie de Zola 1) La "philosophie expérimentale" de Zola se fonde sur l'idée d'un déterminisme sans faille qui régit l'homme avec la même rigueur que les phénomènes de la matière inerte. "Il n'y a pas de principes, il n'y a que des lois ; nous n'acceptons pas le libre arbitre

différentes époques de sa vie. La première partie s’attarde sur son enfance, la deuxième partie repeint la période de l’adolescence de Simone, la troisième partie nous présente l’auteur en tant que jeune femme étudiante passionnée de littérature et de philosophie et à la recherche de réponses à ses nombreuses questions, alors que la quatrième partie tourne autour de sa 20ème année où elle prépare ses examens finals et fait de nouvelles connaissances et c’est là qu’elle se retrouve enfin heureuse avec son

bête », la philosophie est une « prise de tête ». La science découvre autant sinon plus de questions que de réponses. Bref, nous retrouvons sur un autre plan la critique précédente : l’intelligence nous ouvre un horizon indéfini de recherches et d’interrogations, elle nous interdit le contentement, donc le bonheur. Rousseau, dans sa critique générale de la culture, ne manque pas de pointer « l’entendement en délire » des philosophes. Mieux vaut, pour être heureux, quelques certitudes solides et confortables

amènent indéniablement un discours (plus ou moins lisible) sur l'éducation et ses contenus : quel homme pour quelle société ? Les personnes auxquelles nous nous adressons, les enfants, de part leurs attitudes, nous interrogent et mettent à mal nos certitudes ! Il y a eu de grandes époques de l'école. Une marquée par la prépondérance de la continuité, un héritage ancestral à perpétuer, et, en même temps, une certaine méconnaissance des finalités individualistes. La seconde, depuis les novateurs

que Bengston tout comme un certain nombre d’autres auteurs font remarquer que les étapes ne sont pas forcement séquentielles, en effet il peut y avoir des sauts en avant, suivi de retour en arrière, etc. Troisièmement, Young vivait avec la certitude que si chaque étape de son processus était appliquée à la lettre aucun mauvais projet créatif ne pouvait en ressortir. Bengston quant à lui ne partageait pas réellement cet idée, selon celui-ci un bon projet pouvait naître du hasard et de la chance