La Chapelle Royale

dissimulés sous des prétextes religieux (cf. autoportrait en St Luc, années 1440 – Van der Weyden/Bouts à Anvers) (1440, chapelle du palais de Médicis, Benozzo Gozzoli). En Italie, la pratique des autoportraits intégrés dans les œuvres se répand. Autre exemple, Pérouse, Collegio del Cambio par le Pérugin, 1500. L’artiste est présent dans l’œuvre. Autres exemples, ville de Spello, 1501, chapelle Baglioni. Florence, église santa trinita, le miracle de la résurrection de l’enfant, Ghirlandajo. Le développement

France au Moyen ÂgeArticles détaillés : Royaumes francs, Mérovingiens, Carolingiens, Capétiens, Royaume de France, Capétiens directs, Maison capétienne de Valois et Liste des monarques de France. Le baptême de Clovis, représenté dans la Sainte-Chapelle à Paris (anonyme).La conversion au christianisme du chef franc Clovis fait de lui l’allié de l’Église et lui permet de conquérir l’essentiel de la Gaule au tournant des Ve et VIe siècles[e 21]. La fusion des héritages gallo-romains, des apports germaniques

les Carolingiens) Au temps des châteaux … … et des cathédrales (Seigneurs et chevaliers, le château-fort, les paysans, les bourgeois, les villes) (l’Eglise, les croisades, les cathédrales, lutte contre la peur) L’affirmation du pouvoir royal (Hugues Capet, Philippe Auguste, Jean sans Terre, Louis IX, Philippe le Bel, la guerre de Cent ans, Jeanne d’Arc, Louis XI) Ex. de problématiques : La symbolique du pouvoir ou quels sont les grands symboles du pouvoir monarchique ? L’usage de

Surtout l’Eglise se situe au cœur des stratégies politiques locales (siège d’évêque, prébende canoniale, oblation). Dans les royaumes de l’Est (Bourgogne, Saint-Empire, Provence), l’Eglise est étroitement associée à l’établissement d’un pouvoir royale hiérarchisé. HISTORIOGRAPHIE La question s’est longtemps réduite à la description d’une Eglise tombée entre les mains des laïcs, ce que démontraient la prolifération des églises privées et la multiplication des conflits entre les seigneurs ecclésiastiques

uniforme militaire, s’est imposé dans le Royaume de France. Certaines couleurs se distinguent. D'un côté, le gris (puis le blanc) qui constitue alors la couleur de l'infanterie. Parallèlement, le rouge et le bleu sont le domaine réservé de la Maison royale et de certains régiments étrangers ; ce furent les ordonnances de Louvois de 1670 et 1690 qui imposèrent l'uniforme, préconisant l'habit blanc-gris avec parements rouges, veste ou gilet et culotte bleues, rouges ou blanches, les trois couleurs des

théologie avec un zèle plus ardent » Guillaume le Breton, Gesta, cité par John Baldwin, Paris 1200, Aubier, 2006. Trivium : grammaire,rhétorique, logique ; quadrivium : arithmétique, musique, géométrie, astronomie. Doc 4 : une image de la Sainte-Chapelle ou de Notre-Dame. Doc 5 : Chronologie de Paris (11e -13e siècle) - 9e siècle : Paris possède une superficie de 20 hectares - 987 : Paris redevient capitale du Royaume de France sous Hugues Capet - 11e siècle : Paris est un centre intellectuel

comte de Troyes, surnommé le Tricheur, le gagna et le perdit plusieurs fois. L'archevêque de Reims finit par le donner en fief au fils du comte, pour un cens annuel de soixante sous. De ce premier domaine il ne reste aucun vestige ; peut-être la chapelle qui autrefois existait dans la basse-cour du château (voy. fig. 4, en A) était-elle un débris de ces constructions, antérieures au XIIIe siècle ; la forme de son plan et les débris retrouvés pourraient le faire supposer. Ce qu'on ne saurait contester

L'enfance semble se dérouler dans un milieu relativement aisé et éclairé, mais conservant des liens directs avec la paysannerie : le père, Isaac, d'une famille de laboureurs et de vignerons des environs de Laon, avait acheté une charge de sergent royal au grenier à sel (1595) et possédait plusieurs maisons, vignes, prés et bois à Laon et aux alentours. Des cinq frères, les trois cadets suivirent une vocation qui n'était pas tout à fait paradoxale à Laon, où subsistait, autour de la cathédrale et

par les fastes de Vaux-le-Vicomte, confia à Louis Le Vau la tâche d'adapter et d'agrandir le petit château initial des Gondi dont Louis XIII avait fait son pavillon de chasse. Le souverain, attaché à en faire le manifeste éclatant de l'absolutisme royal, participa personnellement à la conception de cet ensemble et il chargea les plus grands artistes de sa réalisation : André Le Notre remania les jardins (voir photo), l'architecte Jules Hardouin-Mansart prit à partir de 1678 la tête des travaux, Charles

jardinier Le Nôtre. Divers bâtiments sont créés aux alentours comme des écuries, des cuisines, des ménageries, des orangeries… La Chapelle Royale est la dernière construction du règne de Louis XIV, elle est élevée et décorée par de célèbres artistes de l’époque. Sous Louis XV un projet de reconstruction complète est lancé mais finalement seule l’aile nord de la cour royale est modifiée par l’architecte Ange-Jaques Gabriel. Enfin la salle de l’Opéra est construite entre 1778 et 1780, elle sera inaugurée