La Chrétienté Latine

l’Europe. On parle plus volontiers de chrétienté. Deux hypothèses pour expliquer cette mutation progressive dans le vocabulaire. D’abord elle n’apparait plus comme une unité politique depuis la dislocation de l’empire romain traitée de Verdun. D’autre part à partir de ce qu’on appelle la réforme grégorienne Grégoire 7 entre le 11ème et 13ème s les papes ont réussis à imposer la prééminence de l’Eglise au dépendant de l’empire. En fin on parle de chrétienté qu’à cette époque le monde chrétien déploie

comporte un verbe encore : Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine Dans le second tercet (ou le second "mouvement" du sizain), l'ellipse affecte le verbe, et chaque vers comporte une comparaison : Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Les comparaisons sont en elles-mêmes "inégales" et fortement subjectives. Ainsi la première oppose-t-elle" le séjour qu'ont bâti mes aïeux" au "front

fait la synthèse entre le "pèlerinage à Jérusalem" et la "guerre juste" contre les ennemis de l'Église. Pour le pape, c’est aussi le moyen de rassembler sous la bannière de l’Église la chevalerie d’Occident et d’imposer sa prééminence sur toute la chrétienté et ce dans un contexte de lutte de pouvoir entre la papauté et l’ensemble des pouvoirs laïques occidentaux. Par ce fait le pape espère peut-être aussi reprendre une prééminence sur l’église d’orient en la rendant redevable d’une aide apportée.

des gens est de réduire l’autre à l’état de nuisible, d’animal qui faut détruire ( juifs pdt la 2GM=rats) La controverse de Valladolid : voir si les indiens devaient etre considéré ou non comme des humains. Les hommes d’eglises décident pour la chrétienté si cette pop sont vraiment des hommes comme nous. De plus, ils sont anthropophages ( ils mangeaient leurs ennemis) puis ils font des sacrifices humains en très grand nombre (environs 10000 personnes ont été sacrifié pour la construction de la pyramide

Sources…………………………………………………………….p22 Introduction : Le XVIe siècle est un siècle de transitions dont l’histoire mouvementée est riche d’événements considérables : l’humanisme introduit une nouvelle vision du monde, la Réforme détermine l’avenir de la Chrétienté, la conquête du Nouveau Monde modifie l’équilibre des sociétés européennes et l’image qu’on se fait de l’univers. En France, ce siècle commence par les guerres d’Italie et se termine par les guerres de religion : tous ces critères se ressentent

la deuxième croisade, c'est à dire une expédition militaire entreprise sous l'impulsion de l'Eglise catholique -dans ce cas ci sous l'impulsion de la chrétienté latine et des Francs- pour délivrer les lieux saints de Palestine des mains des musulmans notamment. On peut relever deux mouvements de croisés différents: celui à destination des Etats latins d'Orient se terminant par un échec en 1148-1149, et l'autre mené en parallèle en Espagne et en terres slaves majoritairement victorieux. Ce projet est

bouillonnante, quand les autres solutions ont échoué... Mais l’Eglise ne s’arrête pas en si bon chemin : elle cherche également à imposer son pouvoir aux souverains européens. Le Pape se considère comme le personnage le plus important de la chrétienté, et souhaiterait que les rois, empereurs, princes et autres dirigeants reconnaissent son autorité et se soumettent. Bien évidemment, cela ne fonctionne que modérément en matière de politique intérieure, cependant, l’Eglise a toujours la possibilité

division du droit privé et de l'unité du droit public. Paragraphe 3 : La décadence progressive de l'empire romain. A- La chrétienté et l'église. L'église chrétienne se veut unique, elle a pour objet de remplacer les valeurs romaines par les valeurs chrétiennes (les valeurs barbares aussi par la suite). Ce n'est que progressivement que la chrétienté va devenir une réalité institutionnelle. Le pape est toujours un homme d'état à la tête du Vatican, on peut encore le voir aujourd'hui

populations de l’empire, une grande conversion à la culture grecque et latine. Inversement, en se confrontant à d’autres civilisations et cultures, les romains enrichissent leur propre culture puisqu’ils ne détruisent pas les éléments culturels des autres peuples, ne les détruisent pas en imposant leur vision du monde. Au IIIème siècle, parmi 300 religions ou plutôt sectes (vénérant chacune un dieu) on trouve celle de la chrétienté. En 212, l’Empereur Caracalla prend un édit (‘’Edit de Caracalla’’)

2.1 Revues et articles en ligne + 7.2.2 Cours, expositions et outils o 7.3 Bibliographie Définition Le terme « Moyen Âge » fut pour la première fois utilisé par les humanistes. En 1469, cette expression figure en latin - media tempestas - dans la correspondance de Giovanni Andrea dei Bussi (Johannes Andrea Bussi (de Buxis)[1], évêque d'Aléria, premier bibliothécaire du Vatican et secrétaire du cardinal Nicolas de Cues. Flavio Biondo de Forlì le mentionne de même