La Chrétienté Médiévale Révision

l’héritier des empereurs romains, se considère comme le souverain le plus puissant car les monarques ne règnent que grâce à une simple délégation de son pouvoir. ( Le Pape, chef de la chrétienté d'occident fonde sa toute puissance sur le caractère universel de l’Église face à l’extrême fragmentation de la société médiévale et se reconnaît le droit d’investir et de déposer les monarques. Or c’est contre ces deux tentatives universalistes que va s’effectuer la rupture créatrice de l’État moderne.

........ 37 tice Travail à partir d’un site Internet ............................................. 37 Bilan .......................................................................................................... 38 Chapitre 3 La chrétienté médiévale (xie–xiiie siècles) .............................................................................................................. 39 Introduction ........................................................................................

objectifs d’un tableau sont didactiques. Il engage chaque spectateur dans une relation spécifique, nous sommes engagés dans la représentation + idée de désir qui doit surgir à partir de la sainteté des époux. 1. Jugements derniers 1. Un genre médiéval La peste noire au 14e décime 1/3 population. Le squelette apparaît comme thème pictural : la mort emporte tout le monde. Des peintres qui connaissent bien le travail de VE (Hans Memling, Jugement dernier. Rogier van der Weiden, Polyptique du jugement

les tables claudiennes. – L’extension de la citoyenneté à l’ensemble de l’empire : l’édit de Caracalla. Thème 3 – Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du xie au xiiie siècles (8–9 h) Question obligatoire La chrétienté médiévale Mise en œuvre La question traite de la place fondamentale de la chrétienté dans l’Europe médiévale en prenant appui sur deux études : – un élément de patrimoine religieux au choix (église, cathédrale, abbaye, œuvre d’art…), replacé dans son contexte historique;

latin donnera naissance aux langues romanes. Forte majorité de pays d’origine romaine [français, italien, espagnol]. Cette diversité linguistique était perçu comme un frein à l’unité. Aujourd’hui, on la voit plus comme une richesse. Latinité et chrétienté La religion chrétienne s’étend au II en occident et en Gaule et progresse de façon continue. Dans un premier temps, l’Empire romain ne se montre pas a priori hostile au christianisme. Le Dieu des chrétiens est un dieu exclusif et ce sont

l’influence de la civilisation grecoromaine joue essentiellement sur la partie méditerranéenne de l’Europe du sud. Et touche d’autres régions que l’Europe puisqu’on va trouver une influence dans l'Afrique du nord & le moyen orient. B - Le fondement médiéval : le christianisme Il est né dans la partie asiatique de l’empire romain et il faut attendre la fin du IIe siècle pour voir se développer des églises en Europe. En 313, par l’édit de tolérance, dit également «édit de Milan 470», l’empereur Constantin

l’Europe. On parle plus volontiers de chrétienté. Deux hypothèses pour expliquer cette mutation progressive dans le vocabulaire. D’abord elle n’apparait plus comme une unité politique depuis la dislocation de l’empire romain traitée de Verdun. D’autre part à partir de ce qu’on appelle la réforme grégorienne Grégoire 7 entre le 11ème et 13ème s les papes ont réussis à imposer la prééminence de l’Eglise au dépendant de l’empire. En fin on parle de chrétienté qu’à cette époque le monde chrétien déploie

règles D’Aménagement et D’urbanisme - Les instruments D’urbanisme en Algérie * PDAU et POS - Définition - Élaboration - Documents graphiques - Contenu - Objectif - Révision Les instruments D’urbanisme en France * SCOT - Définition - Contenu - Objectif - Echelle * PLU - Définition - Contenu - Objectif

Enseignants responsables de la mobilité internationale : Katerina CHRYSSANTHAKI-NAGLE, Christian JOSCHKE et Natacha PERNAC > Les enseignants titulaires Chrystèle BLONDEAU, MCF d’histoire de l’art médiéval Brigitte BOISSAVIT-CAMUS, PR d’histoire de l’art médiéval Véronique BOUCHERAT, MCF d’histoire de l’art médiéval Marianne COJANNOT-LE BLANC, PR d’histoire de l’art moderne Katerina CHRYSSANTHAKI-NAGLE, MCF d'histoire de l'art et d’archéologie du monde grec Thierry DUFRÊNE, PR d’histoire de l’art contemporain

droit : Déclin des sources traditionnelles : D'une part, les assemblées du peuple sont de moins en moins actives. Dautre part, l'édit du préteur se fige à partir du premier siècle après JC : "l'édit perpétuel" déclaré en 130 par Hadrien abolit la révision annuelle des édits par les préteurs, qui se bornent alors à recopier les consultations. Ce déclin suppose l'essor de sources nouvelles. Développement de sources nouvelles : D'une part, l'empereur s'empare peu à peu du pouvoir normatif. Pour préserver