La Cité des ténèbres

L'héritage de la pensée grecque et latine : Thème 1 1ère Partie : Les mythes grecs : Grecs dieux communs, mais chaque cité possédait des variantes et ses préférences. Religion basée sur sanctuaires Ex : Delphes, la Pythie, com. Avec Apollon (mythe Oedipe) Basée sur les récits : le muthos Homère et Hésiode : pères de la mythologie. Qu'est ce qu'un mythe ? Récit fabuleux, légendaire : transmis oralement par les aèdes jusqu'au 6e siècle av Jc Mythe toujours ''in illo tempore'' temps lointain :

auteurs agréables aux Tuileries, il malmenait les professeurs dont l'enseignement lui semblait louche, il se levait contre quiconque se montrait pour les ténèbres et pour la tyrannie. En lui brûlait le foyer sacré de la belle folie des vingt ans, lorsque toutes les espérances sont des réalités, et que demain apparaît comme le sûr triomphe de la Cité parfaite. Et, si l'on remontait plus haut, dans cette histoire des passions nobles, qui ont soulevé la jeunesse des écoles, toujours on la verrait s'indigner

laquelle toute chose comporte un double aspect, positif et négatif : « In Ja und Nein bestehen alle Dinge » (Toutes choses consistent en oui et non). C'est le non qui permet la révélation du oui. Ces contraires s'expriment dans la lumière et les ténèbres, la vie et la mort, la haine et l'amour, l'enfer et le ciel, etc. Nous avons dans le Diable amoureux plusieurs exemples de correspondance entre le monde matériel et le monde spirituel. Ainsi, pendant la scène de la collation et du chant de Fiorentina

différentes conceptions du travail à travers les civilisations * La conception maçonnique du travail Définitions du travail Parmi plusieurs définitions, j’ai noté avec intérêt celle de Karl Marx lorsqu’il détermine ce concept en ces termes, et je cite : « Le travail est un effort individuel ou collectif, physique ou intellectuel, conscient, délibéré, créatif, professionnel ou non dont le but tend à la concrétisation d’un projet, d’une idée ou d’un ensemble de projets ou d’idées, ne donnant pas nécessairement

auteurs agréables aux Tuileries, il malmenait les professeurs dont l’enseignement lui semblait louche, il se levait contre quiconque se montrait pour les ténèbres et pour la tyrannie. En lui brûlait le foyer sacré de la belle folie des vingt ans, lorsque toutes les espérances sont des réalités, et que demain apparaît comme le sûr triomphe de la Cité parfaite. Et, si l’on remontait plus haut, dans cette histoire des passions nobles, qui ont soulevé la jeunesse des écoles, toujours on la verrait s’indigner

nuit s’écoule et s’enfonce dans les ténèbres mais s’avance en même temps vers un soleil neuf.» - Un appareil produit «le délicat bourdonnement dansant d’un moustique dans l’air, le murmure électrique d’une guêpe invisible tapie dans son nid rose et chaud.» - En entrant dans la chambre de Montag, «on aurait cru pénétrer sous la voûte de marbre d’un mausolée après le coucher de la lune. Une obscurité totale, pas un reflet du monde argenté du dehors, les ténèbres hermétiquement closes ; la pièce était

Mais quand celui de Victor Hugo se crée, il est beaucoup plus militant et a donc plus de succès.   Les principaux représentants et leurs œuvres principales : En littérature :  Les auteurs auquel on pense en premier sont René de Chateaubrillant cité auparavant ou encore Alfred de Musset  Avec son œuvre « la confession d’en enfant du siècle » En poésie : On attribue souvent L’isolement de Lamartine ou encore Victor Hugo avec son recueil Les Comtemplations  comme piliers de la poésie romantique

frustration. Les deux tercets sont essentiellement fondés sur des phrases exclamatives qui manifestent le saisissement du poète .Ainsi Baudelaire a su restituer , à travers le rythme, les mots , le caractère éphémère et frustrant des rencontres que la cité peut engendrer. Cette ponctuation exclamative scinde les tercets en phrases hachées, décousues , reflétant la vive émotion du poète : « Un éclair…puis la nuit ! » ; « ailleurs, bien loin d’ici ! » ; trop tard ! jamais peut-être ! ». Enfin, la répétition

divine, « émanation de l’absolu4 », utilisé exclusivement au singulier - acquises par l’expérience et l’enseignement du passé. Elle suggère aussi une vision manichéenne du monde, où l’« homme éclairé » s’oppose à la masse de ceux restés dans les ténèbres. La formule a donc bien tant une dimension sociale qu’une dimension spatiale. Sous la plume des philosophes, les Lumières désignent par métonymie les élites européennes ouvertes aux nouveautés, une « République des Lettres éclairées ». On trouve

se rendre compte qu’il est face à des repère géographiques brouillés. En effet, même le héros Ulysse ignore comment il est arrivé sur les terres où il aborde. Il dit par exemple : « Nous abordâmes là, quelque dieu devait nous conduire / dans les ténèbres de la nuit, car on n’y voyait rien ; / un brouillard dense entourait les bateaux, la lune / au ciel ne brillait pas, des nuages nous la cachaient » (chant IX, vers 142 à 144). Même le retour à Ithaque est confus car Ulysse dort lorsque les Phéaciens