La Cloche Felee Conclusion

------------------------------------------------- Lectures analytiques : ------------------------------------------------- -« Correspondances » VI ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -« La cloche fêlée » ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -« L’invitation au voyage » LIII 2ème séquence : Vérité et mensonge Objet d’étude : Convaincre, délibérer, persuader Perspectives

sur son hostilité et sur le caractère caché de son action.  Celle-ci, exprimée sous forme d'images réalistes et horribles (« mange la vie », « ronge le cour »).  Il se nourrit (« croît et se fortifie », v.14) des forces vives de l'être humain CONCLUSION Ce poème est révélateur du spleen Baudelairien, de l'angoisse qui étreint le poète, quand il constate les ravages du temps sur son organisme. L'écriture apparaît alors comme un remède à l'usure du temps. La vie antérieur : · Introduction

la dernière image du vers 24 : la figure de l’Antiquité (Égypte) chante au coucher du soleil (le chant du spleen) → il s’agit donc d’une poésie crépusculaire, malade. Le lien est par ailleurs évident avec un autre poème intitulé « La Cloche fêlée ». En conclusion, ce poème repose essentiellement sur les figures et c’est ce qui rattache Baudelaire à la tradition rhétorique. Le texte présente un empilement de métaphores dont la construction ne semble pas rationnelle. Il s’agit d’une projection de

« l’Angoisse » ; Le quatrième quatrain met en scène un coup de théâtre, une révolte contre la toute-puissance et l’emprise de l’humeur noire : « Des cloches tout à coup sautent avec furie ». Si ce sursaut est éphémère il révèle cependant ce désir de lutter qu’oppose le poète au sentiment de spleen. La référence à la « cloche » (v.13) fait référence au poème la « cloche fêlée » où se donne à lire une vision du poète maudit, dont la voix est brisée, comme vaincue par le Mal. - combat entre l’Espérance et

Or la volonté du poète est, à la source du travail permanent de transfiguration poétique du réel. Le spleen poétique fait donc obstacle au chant poétique, et change le poète en une « Cloche fêlée » dont le tintement ne s’apparente plus qu’au « râle épais d’un blessé qu’on oublie » comme énoncé dans « La Cloche fêlée » poème métaphorique du poète. Le poète ne peut ainsi poursuivre la transfiguration du réel fangeux qu’en demeurant dans une posture inconfortable, « piétinant dans la boue » et rêvant

qualifié de Poète Maudit comme Verlaine et Rimbaud, a marqué l’histoire de la poésie française avec son unique recueil Les Fleurs du Mal. Ce recueil contient la totalité des poèmes de Baudelaire, ainsi on peut voir les poèmes Harmonie du soir, La cloche fêlée, La charogne ou L’Albatros. A son époque, Charles Baudelaire est incompris et son œuvre sera condamné, c’est pour cela que six poèmes ont été retirés de l’œuvre. Nous étudions ici le poème l’Albatros, écrit en 1857, 10 ans avant la mort de Baudelaire

Hercules Se mêler à des Christs, et se lever tous droits Des fantômes puissants qui dans les crépuscules Déchirent leur suaire en étirant leurs doigts », ici Baudelaire décrit la chapelle Sixtine. Dans les trois derniers quatrains, Baudelaire fait une conclusion des thèmes essentiels tendant tous à affirmer la dignité humaine et à louer Dieu « l’éternel » : « Car c’est vraiment, Seigneur, le meilleur témoignage Que nous puissions donner de notre dignité Que cet ardent sanglot qui roule d’âge en âge Et vient

prépare la dernière image du vers 24 : la figure de l’Antiquité (Égypte) chante au coucher du soleil (le chant du spleen) → il s’agit donc d’une poésie crépusculaire, malade. Le lien est par ailleurs évident avec un autre poème intitulé « La Cloche fêlée ». En conclusion, ce poème repose essentiellement sur les figures et c’est ce qui rattache Baudelaire à la tradition rhétorique. Le texte présente un empilement de métaphores dont la construction ne semble pas rationnelle. Il s’agit d’une projection de

Dramatisation baudelairienne : la présence d’un combat et d’un La référence à la « cloche » (v.13) fait déchirement. Les Allégories montrent cette lutte entre « Espérance » « Espoir » et référence au poème la « l’Angoisse » ; Le quatrième quatrain met en scène un coup de théâtre, une « cloche fêlée » où se révolte contre la toute-puissance et l’emprise de l’humeur noire : « Des donne à lire une vision du cloches tout à coup sautent avec furie ». Si ce sursaut est éphémère, il révèle poète maudit

prépare la dernière image du vers 24 : la figure de l’Antiquité (Égypte) chante au coucher du soleil (le chant du spleen) → il s’agit donc d’une poésie crépusculaire, malade. Le lien est par ailleurs évident avec un autre poème intitulé « La Cloche fêlée ». En conclusion, ce poème repose essentiellement sur les figures et c’est ce qui rattache Baudelaire à la tradition rhétorique. Le texte présente un empilement de métaphores dont la construction ne semble pas rationnelle. Il s’agit d’une projection de