La Cloche Felee Conclusion

l'enfant est bercé par la mort. 2° vers : En effet, le choc du bois amenait l'image de l'échafaud, c'est maintenant celle d'"un cercueil" "qu'on cloue" "quelque part". Harmonie imitative avec les sons [k]. Même impression que dans la "Cloche fêlée" où le son extérieur résonne douloureusement dans l'âme du poète et suggère des images de mort. Le vers, comme l'idée, restent lyriquement en suspens avec les points de suspension. 3° vers : question qui rompt brutalement le rythme

lecteur » et « L'ennemi »Pour les poèmes « or », il y a «  La musique », « Le serpent qui danse »,« Correspondances », « Parfum exotique », «  Elévation », «  La chevelure »Pour les poèmes « boue », il y a «  L'Horloge », « Rêve parisien » « La cloche fêlée »II- Commentaire d'un poèmeLe poème « L'ennemi » fait parti de l'extrait de la section « Spleen et Idéal » des Fleurs du mal de Baudelaire et publié en 1857. Le sonnet parle du temps comme un ennemi, à la fois comme durée et comme de l'état de

l’appel au Néant pourtant le titre du poème « le gout du néant » semble évoquer par le mot « gout »(positif) la nostalgie d’un ailleurs, l’attente d’un monde nouveau, la promesse d’une vie antérieure ( poème : « La vie antérieure» poème 12) V) CONCLUSION Intérêt littéraire : Typologie du Spleen : - Perturbation physiologique, oppression, étouffement « Quand le ciel bas et lourd » - Perturbation psychologique : enlisement de l’esprit, impuissance à créer, stérilité ( « Spleen (Pluviôse) »

le poème "La Cloche fêlée" de la partie "Spleen et Idéal". Le poème est plein de contrastes et de comparaisons qui contribuent aux expliquations de la douleur. On y voit l'étouffement progressif par le son d'une cloche. Cette cloche évoque des "souvenirs lointains". Puis, le poète s'identifie avec la cloche. Il voit lui-même comme quelque chose de fêlé et blessé. D'abord, on entend le son très bien; on entend qu'elle "jette fidèlement son cri religieux". Au moment où le son de la cloche devient le

vraisemblablement, à titre de conclusion : "vous comprendrez maintenant", suppose qu'il vient de faire une démonstration. Le travail du candidat consistera à comprendre de quelle démonstration il s'agit. La phrase repose sur une opposition :
   - "œuvre entière, œuvre d'ensemble" : ceci fait référence à la structure d'ensemble du recueil étudié, au choix des parties ou sections, de leur titre, au choix de l'enchaînement des poèmes, au choix de certains textes en ouverture ou en conclusion, etc.
   - "quelques

et qui lui permet d’échapper au spleen. - En 1857, lorsqu’il publie son recueil en vers, les Fleurs du mal, il propose plusieurs sections dans l’œuvre. La première et plus importante se nomme « spleen et idéal ». - Le sonnet en alexandrins « la cloche fêlée » est le poème 74. Il précède 4 poèmes intitulés « spleen ». Exemple : Charles Baudelaire, à la charnière entre le romantisme et le symbolisme, publie en 1857 Les Fleurs du Mal, recueil qui met en lumière l’angoisse existentielle du poète tiraillé

naît parfois de sa difficulté à créer, des affres de l’inspiration. Et ce sont les nuits blanches ou l’inspiration perdue qui ont dicté à Baudelaire quelques-uns de ses plus beaux poèmes : dans « La cloche fêlée», il exprime son impuissance douloureuse à créer et à vivre: «Mon âme est ainsi fêlée […] LESSLC20206.QXD 23/08/02 11:34 Page 6 Il arrive souvent que sa voix affaiblie Semble le râle épais d’un blessé qu’on oublie Au bord d’un lac de sang…» De même les angoisses métaphysiques

situation personnelle douloureuse. Les « Poèmes à Lou » permettent à Apollinaire d'exorciser son amour malheureux ; Hugo dans « Demain dès l'aube », Éluard dans « Notre vie » surmontent la perte d'un être cher, fille ou épouse. En écrivant « La Cloche fêlée » où il déplore la perte de l'inspiration, Baudelaire retrouve l'inspiration et surmonte la réalité. Enfin, la poésie permet de s'éloigner d'un monde hostile et de la condition humaine. Baudelaire cherche à fuir la réalité malsaine, les vices

poétique Plus que la contrainte formelle, c’est souvent la fuite de l’inspiration qui paralyse le poète : Du Bellay se plaint que les « muses s’enfuient » ; Baudelaire se présente comme une « cloche fêlée » et qui meurt sans bouger. Là pourrait être l’entrave la plus grave à la création et à l’originalité. Conclusion La poésie est une alchimie, le poète exprime différemment le monde, et cette aptitude peut aussi bien s’exercer dans la contrainte que la liberté choisie. La seule vraie contrainte

rivages tropicaux. S'éloigner d'une situation personnelle douloureuse, en la sublimant. Amour malheureux : « Poèmes à Lou » d'Apollinaire. Perte d'un être cher : « Demain dès l'aube » (Hugo), « Notre vie » (Eluard). Perte de l'inspiration : « La cloche fêlée » (Baudelaire). S'éloigner d'un monde hostile et de la condition humaine S'éloigner du monde et de sa réalité malsaine, des vices des hommes, des siens propres aspiration à le quitter. Exemple : Baudelaire, déchiré entre le Spleen et l'aspiration