La Coexistence Pacifique

Apparait alors une nouvelle étape de la Guerre froide : « la coexistence pacifique ». Elle s’affirme en 1956. III – La coexistence pacifique (1955-1962) Les deux Grands règlent les conflits asiatiques et instaurent un dialogue entre eux (téléphone rouge). Mais des crises très graves apparaissent comme la construction du mur de Berlin en 1961 ou la crise des missiles de Cuba en 1962. 1/ Les différents aspects de la « coexistence pacifique ». a) L’ouverture du dialogue. Après Staline, c’est Nikita

Image même du régime politique qui est atteint « théorie de la coexistence pacifique » Formulée dès 1952 par Staline, reprise par Malenkov en 1953 puis reprise dans le discours de Nikita Khrouchtchev en 1956 Relâchement des tens° Politique d’apaisement avec l’occident. 5 principes. Respect mutuel de l’intégrité des territoires et des souverainetés. Non-agression Non-ingérence Egalité et avantages réciproques Coexistence pacifique + coopération économique. Affrontement des deux blocs à travers le

sa famille ont quitté le pays la veille pour se réfugier en République Dominicaine sous la protection d'un autre dictateur, Rafael Leonidas Trujillo. Voir aussi : Dossier histoire fête nationale - Dossier histoire de la guerre froide : la coexistence pacifique (1953-1962) - Fidel Castro - Histoire de La Havane - Histoire de la Guerre froide 1959 [pic]16 février Cuba : Castro Premier ministre L'ancien "commandant en chef du Front révolutionnaire démocratique cubain" Fidel Castro devient

années 1970) Avec la mort de Staline en 1953, les relations internationales s’apaisent. C’est la « coexistence pacifique », pourtant heurtée de crises ponctuelles, qui va déboucher sur une nouvelle ère, celle de la détente. L’Europe quoique encore largement dominée par les deux Grands va y jouer un rôle non négligeable. A) L’Europe dans la coexistence pacifique L’Europe, à partir du milieu des années 1950, n’est plus l’enjeu unique de la rivalité

la Grande Alliance et la rupture de 1947. La logique des blocs et les risques majeurs d’affrontement. Les grandes étapes de l’affrontement Est-Ouest. La « guerre froide » (1947-1953). La « paix froide », « dégel » et « coexistence pacifique » (1953-1962). La « détente » II / Deux modèles idéologique opposées connaissent leurs apogées puis sont contesté. Le modèle américain. L’apogée dans les années 1950. Un modèle ébranlé et contesté dans les années 1960-1970

tournant au sein de la guerre froide : la guerre de Corée s’achève, l’URSS entre dans une phase de « déstalinisation » tandis qu’Eisenhower, bien que sans complaisance envers le communisme, souhaite la paix. C’est le début du dégel, de la coexistence pacifique entre les deux nations, c’est-à-dire d’une période où chacun reste hostile à l’autre tout en refusant l’escalade des tensions.  Déstalinisation et volonté de dégel La mort de Staline, puis l’arrivée au pouvoir de Khrouchtchev en septembre

aux marges des 2 blocs (au Moyen-Orient, et surtout en Corée, Asie du Sud-est) ; l’affrontement se fait alors par alliés interposés. - des périodes plus calmes, dites de « détente », permettant la coexistence, c’est à dire le droit d’exister ensemble, plus couramment appelées coexistence pacifique. Elle ne signifie ni la paix, ni la reconnaissance pleine et entière de l’autre camp mais simplement que l’affrontement, qui est permanent, se place sur d’autres terrains (économique, idéologique, scientifique)

conscience de l’autoritarisme de l’ancien régime (purges, terreur…) qui va entrainer une volonté d’appliquer un socialisme à usage humain, puis d’un point de vu extérieur avec Nikita Khrouchtchev leader d’une nouvelle politique : la coexistence pacifique avec les E-U. Cette coexistence exposée par Khrouchtchev permet la reprise d’un dialogue entre les 2 grands. Comme les 2 superpuissances possèdent un arsenal nucléaire capable de se détruire l’un l’autre, un équilibre de la terreur va se mettre en place et

peuples à disposer d'eux-mêmes, la souveraineté et l'égalité entre toutes les nations, le refus de toute pression de la part des grandes puissances et de toute ingérence dans les affaires intérieures des États. Elle réclame le règlement, par voie pacifique, de tous les différends, le désarmement, l'interdiction des armes atomiques. Le communiqué final de la conférence établit que les pays représentés se sont mis d'accord pour «déclarer que le colonialisme, dans toutes ses manifestations, est un mal

correction – reponse organisee ❑ SUJET : EN QUOI LA CRISE DE CUBA EST – ELLE UNE ILLUSTRATION ET UN PAROXYSME DE LA « GUERRE FROIDE » ET DE LA « COEXISTENCE PACIFIQUE » ? introduction ← Elle doit être rapide et poser le sujet – problématique ← La contextualisation n’est pas nécessaire ( Composition ← Annonce rapide du plan I. la crise de cuba : un evenement fondamental de la guerre froide A. L’ENJEU CUBAIN DANS LA LOGIQUE DU CONTAINMENT ← Mobiliser la chrono et la carte 2 p 45