La Cogestion

est celle de la «cogestion» (l.24). C'est une politique qui consiste à partager la direction des entreprises entre tous les salariés, ceux du patronat mais aussi les ouvriers. Cette politique s'appelle la «Mitbestimmung» en langue allemande, elle est promulguée pour la première fois le 21 mai 1951 et ne cessera d'évoluer jusqu'à la fin des années 1970 où elle rentrera pleinement en vigueur en obligeant les entreprises contenant plus de 2000 salariés à suivre ce principe de cogestion. Le congrès

population des dix pays cités précédemment réside dans le bassin du Danube. Cette population se trouve alors affecté tant socialement qu’économique. Néanmoins, cette « cohabitation » est source de tension et probables conflits notamment à cause de la cogestion nécessaire au bon déroulement des activités fluviale. De plus, les vertus économiques du Danube sont d’autant plus conséquentes qu’il représente une source d’eau potable, d’énergie hydraulique et d’énergie nucléaire. En effet, le partage de l’eau

en 1977 : des étudiants, naturellement favorables à un principe de cogestion étudiants-enseignants devaient rédiger librement un texte prônant les avantages d'une telle cogestion, avec dans un premier groupe une faible rémunération et dans un deuxième groupe une rémunération plus importante. Ensuite, tous devaient lire un texte opposé à cette même idée de cogestion, puis on mesurait l'attitude des étudiants vis-à-vis de la cogestion. Kiesler trouve dans les résultats une confirmation du rôle de l'engagement

est celle de la «cogestion» (l.24). C'est une politique qui consiste à partager la direction des entreprises entre tous les salariés, ceux du patronat mais aussi les ouvriers. Cette politique s'appelle la «Mitbestimmung» en langue allemande, elle est promulguée pour la première fois le 21 mai 1951 et ne cessera d'évoluer jusqu'à la fin des années 1970 où elle rentrera pleinement en vigueur en obligeant les entreprises contenant plus de 2000 salariés à suivre ce principe de cogestion. Le congrès

des contrats précaires • aides sociales • reconnaissances sociales • etc. 4. Un point de vue européen 4.1. L’Allemagne Le modèle allemand de gestion des relations sociales est basé sur la cogestion. La cogestion implique que les représentants des salariés soient à parité avec les actionnaires dans les conseils de surveillance allemands (équivalent des conseils d’administration français). Elle est établie dans la loi allemande dès 1951 mais est limitée

« blocage » d’un époux sur les velléités de son conjoint de disposer d’un bien dont le consentement des deux époux est requis, autrement dit soumis au principe de cogestion. En l’espèce, le fait que les époux soient séparés de fait ; mais cela aurait été le cas si les époux étaient séparés de droits ; le logement familial est toujours soumis à la cogestion des époux et cela bien que le bien immobilier en lui-même n’appartienne qu’à un seul époux. En effet, la séparation de fait laisse subsister les obligations

l’autonomie. Cela a consisté pour l’essentiel à reconnaître à chacun des époux la libre administration et la libre disposition de ses biens propres ; elle a consisté ensuite à instaurer un système de cogestion conjugale pour les biens importants (de valeur) appartenant à la communauté (tous les actes ne peuvent être valablement conclus que s’ils sont conclus du consentement des deux époux) Certes, le mari demeurait le chef de la communauté

le démarrage d´une relation avec une Entreprise Allemande, de mettre tout en œuvre pour respecter ses engagements et fournir la qualité espérée. Organisations centralisées et représentation des salariés en France – Organisations cloisonnées et cogestion en Allemagne En Allemagne, il y a un cloisonnement des responsabilités et autorités. A la tête de l´Entreprise, chaque champ d´expertise (segmentation par métiers, produits, …) est sous la responsabilité d´une personne qui a autorité complète. La

Syndicats en France, La Documentation française, 2004). DOCUMENT 4 Impliqué dans la cogestion des entreprises, le syndicalisme allemand est puissant et, à la différence de la plupart des syndicats européens, a connu une faible désyndicalisation au cours de la dernière période. Près de 40% des salariés sont impliqués et les syndicats allemands regroupent en 1993 environ 13 millions d'adhérents. La cogestion est une pierre angulaire du système social. Elle concerne les entreprises de plus de 500

élabore des liens étroits entre l’enseignement et les entreprises. L’apprentissage y est très développé. Le travail de cette population allemande aboutit a des gains élevés des revenus et une forte épargne (partie non consommée d’un revenu) . La cogestion (système par lequel les représentants élu des salariés d’une entreprise participent aux décision de celle-ci) et le syndicalisme réformiste assurent une paix sociale dans l‘économie allemande. C - Un système économique performant L’Allemagne