La Compassion

caractère douloureux ou dramatique Mlle de St Yves est donc rendu héroïque par le narrateur. Elle est très ému mais aussi accablé par le remord d’avoir obéi au désir d’un homme qui n’est pas son amant. Mlle de St Yves provoque chez le lecteur la compassion, la pitié.  Le discours directe des lignes 17 à 20 rend réaliste les retrouvailles. Cela amplifie le pathétique. -Description précise de l’état d’esprit de la belle St Yves  « Confuse et charmée, idolâtre de l’ingénu et se haïssant elle-même

liberté et l'espoir.     Nous pouvons faire un dernier parallèle entre ces documents. On y trouve des personnages liées par des liens familiaux, des femmes qui finisse veuves, des enfants qui finisse orphelins afin de nous faire éprouver de la compassion ; dans le document un " remplir le monde de veuves et d'orphelins", dans le dixième document le poète veut nous faire transmettre de la pitié  d'un enfant "pieds nus sur les rocs anguleux !" et dans le dernier document le peintre nous montre une

où l'on comprend que devant sa mère « il se fit cadavre » ou bien que cette dernière « saisi avec rage le bras fluet de son fils ». Ici le mot « rage » reprend bien le sentiment de la terreur ainsi que la pitié. Donc le lecteur s'éprouve de compassion pour le pauvre Guillou. Aussi le héros est à lui seul un personnage tragique. Guillaume dit « Le Sagouin » et qui donne son titre au roman incarne cette échec, cette vie ratée. Au physique particulièrement sale qui aux yeux de sa mère est tout

le traita humainement, lui et les siens. L'un et l'autre de ces deux moyens m'emporterait aisément. Car j'ai une merveilleuse lâcheté vers la miséricorde et la mansuétude. Tant y a, qu'à mon avis, je serais pour me rendre plus naturellement à la compassion, qu'à l'estimation; si est la pitié, passion vicieuse aux Stoïques : ils veulent qu'on secoure, les affligés, mais non pas qu'on fléchisse et compatisse avec eux. Or ces exemples me semblent plus à propos : d'autant qu'on voit ces âmes assaillies

gratuits c’est-à-dire des situations on l’on agit en dehors de toute raison, de toute incitation et qui par conséquent est la marque de bienveillance envers autrui, de charité. On fait preuve de partage réel de sentiments réels, on fait preuve de compassion pour autrui. Il en donne alors une série d’exemples sous forme de questions rhétoriques où la réponse sous entendue à chacune de ses questions est : « personne ». Personne ne laisserait un homme en détresse écrasé par une bête, personne ne refuserait

et le bonhLes synonymes de bienveillance : 1 : altruisme, faveur, bonté, grâce, préférence, considération, gentillesse, complaisance, égards, indulgence, générosité, prévenance, amitié, amabilité, aménité, pitié, affabilité, humanité, charité, compassion, sensibilité, intérêt. sympathie, sollicitude, attention, compréhension, commisération, clémence, mansuétude, miséricorde, magnanimité, civilité, empressement, obligeance, serviabilité, tolérance, cordialité, chaleur, affection. Les antonymes

future. Ici le Kharma joue un rôle décisif. 2 sortes d’actions : - les actions kusala (habiles) sont celles qui sont exemptes d’avidité, de haine et de confusion mentale et qui, au lieu de cela, sont motivées par la générosité, par l’amour, la compassion et la compréhension. Elles tendent à avoir des conséquences positives pour nous ou pour les autres. - les actions akusala (malhabiles) sont celles qui prennent leurs racines dans les trois poisons de base: l’avidité, l’aversion et la confusion

dimension pathétique du récit. Par ailleurs, le fait qu’il se compare à des animaux montre qu’il ne se considère plus véritablement comme un être humain. La vision horrible de l’esclave vise donc le pathétique, Voltaire cherche à susciter la pitié et la compassion des lecteurs, qui seront surtout des Européens. Pour terminer, nous allons voir l’évolution d’un personnage. Candide interroge, écoute et réagit. [...]

Lumières ? ») pour la première et la dernière fois, puisqu’il est condamné à mort, et ne peut s’empêcher d’éprouver de la pitié en se disant qu’il ne pourra jamais en profiter. Et plus qu’un sentiment de pitié, ici, c’est vraiment avec un sentiment de compassion et d’approbation que l’on termine cette œuvre. Ainsi, bien, qu’à la base, le personnage principal n’était qu’un être apparaissant comme médiocre et banal, par son étrangeté et son absurdité, il devient attachant et ne peut s’empêcher d’intéresser

adeptes de l’Optimisme (philosophie de Leibniz, diffusée en France par le « parti religieux », notamment les Jésuites).  Les indices d’énonciation de ces vingt premiers vers du poème montrent que Voltaire prend position : d’abord en exprimant sa compassion et sa souffrance, ensuite en prenant à partie divers destinataires.    En effet, la présence d’un vocabulaire affectif (« effroyable » (v.2), « affreuses » (v.5), « malheureux » (v.6), « lamentables » (v.12) etc…) suffit à démontrer le caractère