La Compassion

qui s’apparente à des didascalie. -logue replique qu-> tirade (1 de chaque pers) - la position des corps –W a genoux presque une mise en scene hyperbolique qui s’ouligne l’intensité de la scène elle vise à susciter chez le lecteur la pitié la compassion . comme le souhaite aristote dans les tragédie « la pitié la terreur « on emploie des thermes de la tragéeoie asis sans oublié qu’il s’agit d’un roman. ( cela peut s’apparenter à un comique de situation) B un marie aapparemenet extraordinaire

et de peine : la souffrance qu'il éprouve, j'en connais le sens puisque je suis moi aussi capable de l'endurer. La pitié est donc la cause unique de cinq effets, qui sans elle demeureraient inexplicables : « c'est elle » qui nous rend capables de compassion ; « c'est elle » qui, en l'absence de lois positives, vient limiter nos désirs égoïstes ; « c'est elle » qui nous incite, non à préférer le bien d'autrui au nôtre, mais à ne pas préférer absolument le nôtre au sien, en cherchant autant qu'il est

Sell, de Shambhala Publications, qui les a revues pour en faire cet ouvrage. Tout ce qui est dit dans ces pages ne reflète que ma compréhension — encore très limitée — des enseignements que mon maître Chiigyam Trungpa Rinpoché m'a transmis avec compassion et beaucoup de patience. Puisse ce livre être utile. UN La bienveillance Il existe un malentendu général chez tous les êtres humains nés sur cette terre : la tendance à croire que la meilleure façon de vivre est d'essayer d'éviter la douleur

est un mot grec qui signifie « souffrance, passion ». C'est la partie de la rhétorique qui traite des moyens propres à émouvoir l'auditeur. Dans les arts et en littérature, qualité de ce qui fait naître la pitié, la tristesse, ou la profonde compassion chez le spectateur ou le lecteur

lexique du désordre et de la confusion : « tous les habitants en alarme », « tumulte », « confusion », « désordre » + l’affluence des spectateurs : « spectacle », « spectateurs ». • Registre tragique : « une chose qui faisait horreur et compassion », définition première de la tragédie : spectacle qui inspire la terreur et la pitié + référence aux larmes : « fendre le cœur », « pleurer ». • Mise en abyme : la « curiosité » des bons paysans ainsi que la « curiosité » du narrateur (Renoncour)

haïr » où elle utilise une litote. Cette figure de style sous-entend qu’elle adore ses vertus. Ensuite, elle se fait passer pour une victime et fait croire qu’elle est condamnée. Ainsi, en utilisant le registre pathétique elle suscite la pitié et la compassion chez le roi. Puis, au lieu d’imposer son amour au roi elle lui demande gentiment la permission à l’aide d’une interrogation. Bien qu’elle se « reproche » de ne pas venger son père, une fois de plus elle se fait passer pour une victime en posant

sépare de son âme de femme remplacée par celle d’un animal. « Allons dit elle vendons le reste » design le corps de Fantine comme étant un objet, son corps ne lui appartient plus. B.Fantine un personnage héroïque et tragique qui suscite la compassion du lecteur 1.Fantine se dévoue pour sa fille -elle consacre son corps au travail, -elle délaisse son statut de femme pour cosette 2.Sa mort est inévitable -elle est atteinte de la tuberculose -son corps ne supporte plus cette vie 3. L'issus

de désespoir conduisent parfois au suicide. Pourtant des amitiés indéfectibles vont se nouer, qui aident à vivre. Si nous sommes d'abord frappés d'horreur par ce qu'il y a de monstrueux dans la mutilation de ces hommes, si nous éprouvons aussi compassion et pitié, nous découvrons peu à peu un autre sentiment qui doit être de l'admiration. Car la souffrance révèle les caractères et certains d'entre eux, malgré les périodes d'abattement et de découragement, réagissent avec courage, dignité et même

n’oublie pas ce qu’il a vécu. En revanche, il arrive que le moi s’ouvre à plus grand que lui-même, par delà le don, par delà l’acceptation, dans la re-connaissance de ce que nous partageons avec l’Autre. De cette seule compréhension peut naître la Compassion ».

exacte car un être humain est alors capable reconnaître et de comprendre un sentiment, chez autrui, sans même l’éprouvé  également. Dans le cas contraire, c'est-à-dire si les deux personnes éprouvaient le même sentiment, alors cela serait de la compassion plutôt que de la pitié et nous ne pourrions pas être totalement dévoués à autrui puisque nous nous attarderions sur notre propre sentiment. 7. A quoi Watson compare-t-il l'être humain dans sa théorie sur le comportement ? Pourquoi ? Dans se