La Compassion

par le poète pour nous montrer la prise de conscience violente et douloureuse à laquelle il a du faire face. Si bien, Le Spleen mieux connu sous le nom de Slpeen Baudelairien est ressenti de manière puissante pour le lecteur qui éprouve de la compassion pour cette homme, surpris par un idéal féminin qui lui est aussitôt arraché. Le vers 12 : «  Ailleurs, bien loin d’ici ! Trop tard ! Jamais peut être ! » transmet sa douleur grâce à l’utilisation de point d’exclamation. Aussi, nous ressentons son

devrait l’être. « Que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main » ; « quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe ». Ces deux paroles nous montrent la terreur du nègre. Il cherche a provoquer de la peur, de la pitié, de la compassion au lecteur grâce ses termes. « Les chiens, les singes et les perroquets sont milles fois moins malheureux que nous ». En ce comparant à des animaux il se rabaisse et cherche une nouvelle fois à provoquer de la pitié chez le lecteur. Il le touche

Par amour je me sacrifie pour le "toi", le "on", le "nous", par amour je me dévoile en tant qu'être parmi tant d'autres, par amour je fais de mon corps une arme de donation, je fais de mes mains une marque de présence, et j'illumine mes yeux de compassion... Au nom de l'amour .. n'oublie pas Dieu, n'oublie pas tes proches, ne t'oublie pas. Parce que tu es la seule créature capable d'une telle générosité, et que que la vie terrestre n'est pas imprescriptible..

mers soit maudits=hyperbole, polemique maudit comme l'opprobe et comme le blasphème = metaphore, gradation sain, fecond, genereux=gradation qui fais le peuple libre et qui rend l'homme heureux=parralelisme Pathetique susciter la pitié, la compassion du lecteur sur la dureté du travail des enfants qui des lage de 8 ans sont victimes de ce travail forcé. Preuve= le cham lexical de la souffrance(morale et physique) oppositions nombreuses ( antithèses, chiasmes...) contre l'innocense ( la

(au moins 25 occurrences) Souvent suivi de « vous » : une tirade qui s’adresse à Andromaque et montre le pouvoir que le sujet « je » a sur le complément d’objet « vous » Associé à « moi » : qui montre les sentiments personnels (amour, sympathie, compassion, émotion) Deux fois remplacé par « nous » : (vers 10 et 14) le personnage rêve de pouvoir associer les deux noms, les deux vies, par le mariage. III – Les autres personnes : L’enfant, Astyanax, est « ce fils » (vers 1 et vers 28) : distance par

des phrases comme « juste un ami », « juste un lever de soleil » ou « juste une promesse ». « Juste un chien » apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et d’une joie passionnée. « Juste un chien » fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne. A cause de «juste un chien » je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur. Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas « juste un chien » mais

dans un essaie de saisie logique et d’interprétation de la guerre. Le témoignage peut avoir un impact de pitié, de peine, de haine ou de colère, selon les situations des personnes qui l’évoque. Les témoignages inspirent plus de pitié de peine de compassion car la personne qui témoigne est « réelle » et les faits sont alors plus concret. Le sujet élargit la méditation de Rouaud en engageant une à une analogie entre le témoignage originaire d’un vécu de la guerre et la fiction (sous toutes ses formes :

Mouret des amélioration sociales sur ses employés. Denise refuse les avances de Mouret qui est craint des vendeurs. 13 Ruine des petits commerçants qui se sont révoltés contre Mouret. Denise est partagée entre son amour pour Mouret et sa compassion pour les petits commerçants. 14 Inauguration de la nouvelle façade. Denise finit par avouer son amour à Mouret qui la demande en mariage.

qu’il (a) subit. Le mot digne l’élève dans son "rang" social, le faible étant usuellement considéré comme inférieur par la société selon un classement du plus faible au plus fort. Le faible est alors un homme digne d’obtenir la pitié, d’obtenir la compassion des autres, mais digne tout de même ; c’est pour lui, en quelque sorte, un honneur, parmi son malheur. Si ce faible est digne d’être pleuré, il mérite par conséquent d’être aidé par autrui, par quelque manière que ce soit. Selon Nietzsche,

cruauté et du ressentiment Se cache de mauvaises intentions Médiocre : Qui est sans intérêts - sans qualités – entre le bon et le mauvais – (imparfait, insignifiant, minime, passable...) Pitié : Traiter quelqu’un d’une manière différente, avec compassion et