La Compassion

La pitié est un sentiment. Ce même sentiment consiste à compatir aux souffrances ou à la faiblesse des autres, à le considérer avec compassion. La présente dissertation portera sur la thèse de Rousseau voulant que la pitié soit un sentiment naturel chez l’être humain. Nous verrons en premier comment Rousseau voit celle-ci, par la suite Freud et pour finir, il y aura une comparaison des deux. Tout d’abord, selon Rousseau, la thèse selon laquelle la pitié est un sentiment naturel chez l’homme montre

s’étend entre les vers 1586 et 1604.Ce dernier traduit ainsi la souffrance qu’éprouve Arnolphe à ce moment là » * Amour -> pitié * L'amour que porte Arnolphe à Agnès lui parrait difficile à acquérir, cela sucite donc de la pitié et de la compassion pour Arnolphe de la part du lecteur, ce qui montre donc la souffrance du protagoniste. On peut ressentir l'impression qu'il se sent un peu surpassé, impuissant face à la situation et il demande à Agnès ce qu'il peut faire avec "quelle preuve veux-tu

à mon éducation, du moins que mes disgrâces, que mon esclavage, que ma douleur t'attendrissent. Tu peux ici m'outrager autant que tu le voudras ; je suis sans asile et sans défense, je n'ai que mon désespoir pour tout secours, j'ai besoin de la compassion de tout le monde, de la tienne même, Arlequin ; voilà l'état où je suis, ne le trouves-tu pas assez misérable ? tu es devenu fibre et heureux, cela doit-il te rendre méchant ? Je n'ai pas la force de t'en dire davantage ; je ne t'ai jamais fait

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------- L’amour de Phèdre est compliqué en cela qu’il comporte de la violence,de la haine et qu’il est victime de la fatalité, En même temps, le lecteur ressent de la compassion pour l’héroine. Racine nous plonge dans la tragédie de Phèdre qui va modifier le destin de beaucoup de personnages autour d’elle. A la fin de cette tirade, il y du suspense. le lecteur a envie de savoir si Phèdre va arriver à mourir et comment

comme si c'était nous-même qui expérimenté ce qu'autrui vit. Ainsi dans la pitié,nous pouvons faire l'expérience d'une telle identification puisque nous souffrons de ce dont souffre autrui. C’est ce dont témoignerairt également la sympathie ou la compassion, encore faut-il qu’elle soit véritable.C’est une compréhension affective d’autrui, nous pouvons saisir ses sentiments, sans pour autant les éprouver nous-mêmes. Nous pouvons ainsi compatir avec des sentiments que nous n’avons jamais éprouvès ou

pitié est un sentiment "convenable" et même "une vertu" (l.1), ainsi, par définition, elle représente une qualité pour la personne qui la manifeste et influe de façon positive sur ses décisions et ses actions. La pitié naturelle est synonyme de compassion, c'est-à-dire la capacité de s'identifier à quelqu'un, de ressentir de la sympathie suscitée par le malheur d'autrui qui pousse soit à lui venir en aide, soit à ne pas le faire davantage souffrir en profitant de sa situation. Cependant, ce sentiment

plus condamné par la pitié de l’autre. Oscar Wilde l’âme humaine sous le socialisme « Mais vos remèdes ne sauraient guérir la maladie, ils ne peuvent que la prolonger, on peut même dire que vos remèdes font partie intégrante de la maladie ». La compassion serait alors un sentiment blessant voir cruel. Car la générosité a besoin de la souffrance et de la misère, qu’il lui arrive d’entretenir tout en la déplorant. Emmanuel Kant dans la Métaphysique des mœurs assimile la pitié à un moyen de participer

la fin de la pièce Hamm demande pardon à Clov pour toutes ces souffrances qu’il lui inflige mais c’est un simple pardon sans aucune sincérité. Clov riposte en lui chantonnent une petite cantine de l’amour « emmerder ». Il n’y a plus aucune compassion ou de pitié entre les personnages, chacun s’éteint petit a petit dans leurs coins en attendant que cette mort viennent les chercher, seul Nagg pleure la mort de Nell. Avec « fin de partie » l’homme n’est plus au centre du système naturel, il est

pièce: Bérénice. Celle-ci utilise une « fausse résolution » au début de sa tirade: « Je ne dispute plus » vers 2, ou encore: « et pour jamais, adieu » au vers 8, Bérénice fait mine accepter la décision de Titus. Mais par la suite, elle demande de la compassion: « Combien ce mot cruel est affreux quand on aime? » au vers 10, et enfin, Bérénice montre son total désespoir: « Ces jours si longs pour moi lui sembleront trop courts » au vers 19. On retrouve cette situation dans la tirade d'Hermione où les

|[pic]Géranium :Sentiments contrariés | |Phrase Type : Vous avez tort de ne pas croire en mes sentiments. | | | |[pic]Giroflée :Compassion, constance, dignité | |Phrase Type : Mes sentiments sont toujours les mêmes. | | | |[pic]Hibiscus:Délicatesse