La Comédie Divertissante

Les fourberies de Scapin (1671) … mais aussi le Tartuffe (1664) dont nous nous proposons ici d’ étudier la scène 4 de l’acte I. Molière propose à travers cette pièce de renouveler le genre de la comédie dont il trouve le comique trop facile ou trop grossier. Ce dernier élève alors la comédie au rang de comédie de mœurs et de caractères. La satire de l’hypocrisie religieuse et des faux dévots tracée tout au long de l’ouvre, dans une France où la religion catholique est omniprésente, coûtera à Molière

Métamorphoses et enjeux du comique du XVIIe siècle à nos jours Corpus : | Genre Théâtrale(Type de comédie) | Résuméde la scène | Comique dans la scène | Ressources propres au langage théâtral pour produire l’effet comique | La fonction / visée du comique dans la scène | Acte III scène 2, Tartuffe ou l’Imposteur, 1669, Molière | Comédiede caractère (Satire) | Tartuffe apparait enfin dans cette scène. Dorine se moque de lui au moment que Damis est caché dans u n cabinet voisin. Le ton et les

plaisants pour traiter de ces sujets essentiels : La Fontaine ou Molière, l'un dans ses fables, l'autre dans ses comédies, Voltaire, dans ses contes philosophiques, ont pris le parti de « plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L'humour pour divertir La Fontaine s'en explique : « Une morale nue apporte de l'ennui ». Car l'humour, par son côté divertissant, détend, évite l'ennui et touche un public varié, peu enclin à lire ou à écouter de longs développements sérieux

utilisé dans tous les genres théâtraux et permet à un personnage de parvenir à ses fins, ainsi qu’à l’auteur de faire avancer l’intrigue tout en divertissant le spectateur. Marivaux est un écrivain et dramaturge français du XVII et XVIIIème. Il a écrit Les Fausses Confidences, sa vingt-septième pièce, en 1737. Cette comédie en trois actes met en scène Dorante, un jeune homme ruiné, amoureux de la jeune Araminte, riche et veuve. Avec l’aide de son ancien valet Dubois

il harmonise à la fois littérature et spectacle. Toujours vivant et en évolution constante ; même si ce n'est pas son but premier ; il permet dénoncer les problèmes de la société à travers certains genres dont la comédie, qui se propose de « corriger les vices des hommes en les divertissant » d'après Molière. Ainsi on en vient à se demander dans quelle mesure la mise en scène d'un texte théâtral contribue-t-elle à en révéler ou à en atténuer le comique ? C'est ce que nous proposons de démontrer

reflète plus la réalité. En effet, l’auteur conçoit la vie du personnage (évolution de Rastignac dans le Père Goriot) et en fait une suite d’événement forts et passionnants qui suscitent l’intérêt du lecteur. Le personnage a donc une fonction divertissante. L’auteur cherche à faire rêver son lecteur, par exemple en évoquant le thème de la chevalerie dans La Voiture Embourbée de Marivaux : « appelez-moi Timane, j’ai toujours eu de l’inclination pour l’honnête écuyer qui a porté ce nom », « vous agissez

l'amour et du hasard de Marivaux. L'auteur : Marivaux. ( 04/02/1688 – 12/02/1763 ) Auteur principalement de pièces de théâtre, Pierre Carlet de Chamberlain de Marivaux, inspiré par la commedia dell'arte, écrit surtout pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Ses pièces de théâtres remportent pour certaines un grand succès populaire : La Surprise de l'amour en 1722, La Double inconstance en 1723 et Les Fausses confidences en sont quelques exemples. Il y est le plus souvent question

du même sujet, il ne se répète à aucun moment et aborde les différentes manifestations de l’amour. Il dit : « J’ai guetté dans le corps humain toutes les niches différentes où peut se cacher l’amour lorsqu’il craint de ce monter et chacune de mes comédies a pour objet de le faire sortir d’une de ses niches. » Et c’est le cas dans Les fausses confidences, (1737), une pièce en trois actes et l’un de ses plus grands succès. L’acte II scène 13 met en avant deux personnages amoureux l’un de l’autre et

demande du roi Louis XIV qui désirait offrir à ses courtisans un divertissement dans lequel il serait question des Turcs, Molière se mit à la tâche pour composer avec Lully et le chevalier d’Arvieux ce qui est devenu le Bourgeois Gentilhomme. Cette comédie, qui constitue aussi un ballet, fut représentée pour la première fois à Chambord le 14 octobre 1670. Le titre donné à la pièce est révélateur. Il nous apprend que pour Molière le sujet de l’œuvre, c’est M. Jourdain et sa propension vaniteuse à gagner

spectateurs ? Même si le théâtre permet de dénoncer cette noirceur, il permet au contraire, dans certains cas, de la faire oublier et ainsi de divertir le public. Mais le théâtre peut également aborder ces aspects négatifs des hommes et du monde tout en divertissant son public. Les débuts du théâtre faisaient appel au registre tragique, avec, entre-autres, les œuvres d'Eschyle, Sophocle et Euripide. Le modèle antique fut longtemps la référence essentielle et il exerça une influence considérable sur l'histoire