La Comédie Divertissante

présente aussi « à la niaiserie son C'est la comédie de caractère qui prend pour sujet les comportements ridicules de certains individus, et grossit jusqu'à la caricature des défauts qui ont existé de tout temps : le dramaturge latin Plaute dans sa comédie Aulularia (la Marmite) met en scène un avare, que Molière reprend ensuite dans son personnage d'Harpagon. Les personnages de niais sont légion au théâtre : ce sont par exemple des maris cocus, dans la comédie grecque d'Aristophane La Nuée des cocus

|2e texte : p. 41-42 - “ Le mot de “peste”|Comment une forme | |littérature p.322 | | | |(l.1) … dix mille visages ? (l.60) |divertissante, la fable, | | | | | |3e texte : p.82-84 - Mais le matin (l.1) |permet-elle de porter un |La justice sociale dans |Jean de

fascinés par la dramaturgie antique, puisent leur inspiration chez des auteurs de la Grèce antique. I. La comédie au XVIIe siecle A L'histoire littéraire de la comédie 1 La commedia dell'arte Bien que ce ne soit pas la première forme de comédie (on en trouve déjà durant l'antiquité grecque avec Plaute et Aristophane), la commedia dell'arte est la principale source d'inspiration de la comédie classique telle qu'on la connaît au XVIIe siècle. DÉFINITION La commedia dell'arte désigne un genre

avec leur double déguisement des maîtres en valets et des valets en maîtres – comme dans Le Jeu de l’amour et du hasard – entraînent le spectateur dans un imbroglio étourdissant, dont il doit démêler les fils et prévoir les développements. Il est divertissant de voir Silvia et Dorante pris à leur propre piège, construit sur leur changement volontaire d’identité, et bien embarrassés dans cette intrigue compliquée à loisir. 3. Divertir en créant l’émotion : « Il pleure et il rit » Il s’agit aussi

Premier intermède La complainte de Polichinelle est émouvante car elle conte un amour non réciproque : « mais si vous dîtes non,ma belle ingrate,je mourrai. ».L’utilisation de l’italien dans ce passage peut se justifier par la figure de la comédie italienne qu’incarne Polichinelle. Le changement de registre est marqué par le changement du champs lexical :de l’amour « aime », « amour »à celui de l’infidélité et de l’hypocrisie « dragonne », « diablesse qui te rembarre », « fou », « fallacieux »

philosophiques, afin de s'exprimer à visage masquer. Ainsi Beaumarchais dans sa comédie le Mariage de figaro dénonce l'injustice de la naissance en faisant dire à son valet Figaro: «Parce que vous êtes un grands seigneur, vous vous croyez génie!... Vous vous êtes donné la peine de naitre et rien de plus, tandis que moi...» Par conséquent il remet en question l'ordre social de son époque il se cache derrière son personnage de comédie mais il ose se révolter, annonçant le souffle de la révolution. Dans «Les

Valère ait un amour fort et vrai pour Elise car il dit ce qui est plutôt romantique a mon avis. Cléante est amoureux jusqu’a le point qu’ ‘il finir par prêter de l’argent afin de donner Mariane le soutien qu’elle a besoin. La chose qui ajoute a la comédie de la situation des amoureux dans cette pièce est souligne par les sentiments de Harpagon. Il a un rapport fort avec l’argent. Il personnifie l’argent en disant, ceci est digne d ‘intérêt, car cette citation met en lumière le contraste entre tout

le contraire de l’apologie : Dire non à la peine de mort. L’analèpse : C’est un retour en arrière Prolèpse : C’est une anticipation Déterminisme : Etre conditionné à agir de telle façon plutôt que telle autre . Comédie : C’est un genre Littéraire divertissant (rire) : Le malade Imaginaire Drame : C’est un genre littéraire qui n’est pas dominé par la fatalité Fatalité : c’est un fait irrémédiable contre quoi l’homme ne peut rien Déictique : pronoms, indices spatio-temporels

trois auteurs cités se situe par rapport aux grands problèmes de la vie. A cet égard nous verrons d’abord en quoi consiste l’attitude d’avertissement des semblables adoptée par les écrivains. Ensuite nous verrons quelle peut être cette attitude divertissante prônée par une frange d’écrivains. Enfin, nous verrons comment certains conjuguent ces deux attitudes. L’écrivain, le philosophe, le poète et l’artiste composent pour le genre humain une sorte de conscience, de repères et jouent le rôle de phares

ces affirmations de René Bray : « Molière nous dit qu’il veut corriger les hommes et la critique s’évertue à justifier cette affirmation de circonstance. En vérité, il ne pense qu’à nous faire rire. Le théâtre n’est pas un moyen, c’est un but. La comédie n’a pas sa fin hors d’elle-même, dans une moralisation par le rire à laquelle personne ne peut ajouter foi […] : elle est une création autonome qui se justifie par sa seule existence, par la force avec laquelle elle s’impose au spectateur ». (Molière