La Concurrence Est Elle Toujours Favorable Aux Consommateurs

stratégique. II) La concurrence intra-sectorielle. II-1) Le cycle de vie d’un produit. II-2) Le PIMS (profit impact of market strategy). II-3) L’effet d’expérience.  Chapitre II : L’analyse de la concurrence II-1) Les modèles d’analyse stratégique de portefeuille d’activité. 1- La matrice du Boston Consulting Group (BCG). * La version 1. * La version 2.  2- La matrice de MAC KINSEY. 3- La matrice d’ARTHUR.D.LITTLE. Chapitre III : L’analyse de la concurrence élargie 1- La

l'interface entre l'offre et la demande. C’est son principe de base. [pic] a) Le premier âge du marketing : l'optique de la production : Situation générale : il y a peu d'entreprises, et en face il commence à y avoir beaucoup de consommateurs (des gens qui ont envie de consommer), l'offre est inférieure à la demande. Historiquement, c’est une période de domination de l'offre sur le marché (l’entreprise est sûre de vendre son produit ). Dans cette optique, les entreprises vont

6. Classification par fréquence d'achat * Biens banals * Biens anomaux 7. Classification par degré de nouveauté: produits nouveaux, produits anciens Un bien est considéré nouveau quand il est nouveau pour le consommateur. C. Les nomenclatures Une nomenclature est une liste ordonnée et exhaustive de produits. C'est un outil de classification des produits extrêmement précis. Les nomenclatures peuvent être d'origine statistique, fiscale (celle des Douanes)

pays cités ici ? Pourquoi ?  Dans cet exemple quels sont les produits échangés dans le cadre du commerce international ? Problématique Le commerce international n’est donc pas uniquement constitué d’échanges de produits à destination des consommateurs finaux (exemple : des voitures japonaises pour des clients français). Une partie importante des échanges se fait dans le cadre du processus de production. On peut alors de demander : Le commerce international désigne l’ensemble des échanges

produit de façon à satisfaire les besoins des consommateurs étrangers ciblés. Le prix : L'entreprise doit fixer des prix et des conditions générales de vente qui rendent le produit accessible financièrement aux consommateurs étrangers et qui permettent, par ailleurs, de générer un profit suffisant. La distribution : L'entreprise doit, à travers sa politique de pénétration et de sélection des réseaux de distribution, rendre disponible le produit aux consommateurs ciblés. La communication : L'entreprise

construit objectivement (qualité, technique d’un produit) * Connotation : valeur subjective liée au signe (valeur symbolique) Un signe associe toujours ces deux éléments, mais l’un sera prédominant par rapport à l’autre. Communication interpersonnelle : les aspects psychologiques Trois types de comportements favorables chez un consommateur : * Acquiescement : le récepteur est d’accord avec le message * Identification : le récepteur s’identifie à l’émetteur * Internalisation :

------------------------------------------------- Dans quelle mesure depuis la fin du XIXe siècle la concentration des entreprises a-t-elle limité la concurrence ? Intitulé : Concentration verticale : lorsque la concentration se fait à l’intérieur d’une filière (amont et aval), depuis la matière première ou les étapes premières de l’activité jusqu’aux étapes finales, la distribution. La forme la plus exemplaire, c’est par exemple le pétrole « du puits à la pompe ». Concentration conglomérale :

du ministère de la Recherche. Les activités du CEPREMAP sont réparties en cinq programmes scientifiques : Politique macroéconomique en économie ouverte ; Travail et emploi ; Économie publique et redistribution ; Marchés, firmes et politique de la concurrence ; Commerce international et développement. Chaque programme est animé par un comité de pilotage constitué de trois ou quatre chercheurs reconnus. Participent à ces programmes une centaine de chercheurs, associés au Campus Jourdan de l’École normale

acteurs. Avec le développement des moyens de communications et des supports audiovisuels, Canal + à due s’adapter à une demande toujours plus exigeante en matière de contenue et d’accessibilité, ainsi qu’aux technologies continuellement en évolution. A travers cet environnement concurrentiel, le groupe à due se démarquer de ses concurrents en adoptant des stratégies toujours plus audacieuses. C’est donc à cette stratégie que nous allons nous intéresser, en tâchant de répondre à la question suivante :

Merchandising Merchandising ou marchandisage. Définition : Ensemble de méthodes et des techniques de présentation et de gestion qui influencent le consommateur pour faire acheter davantage, et qui optimise la rentabilité du point de vente. Rapport au m2. Une rentabilité moyenne au m2 annuelle, 8000 – 9000 € en GSA. Super 4000 et 5000 €. La rentabilité est très variable selon les surfaces et l’emplacement. La base du merchandising « règle de KEPPNER ». Les 5 b : Le bon produit (assortiment adapté)