La Concurrence Imparfaite Est Favorable Aux Consommateurs

densifient progressivement, même s’ils restent concentrés sur un petit nombre de pays.   2°/ Les théories traditionnelles des échanges internationaux Les économistes classiques et néoclassiques sont partisans du libre échange qui selon eux est favorable au développement des nations : le libre échange est une doctrine économique qui vise à limiter les obstacles à la circulation des biens, des services et des capitaux entre les économies nationales. Pour les partisans du libre échange, l’échange international

services. Samuelson : «  Un marché est un mécanisme par lequel des acheteurs et des vendeurs interagissent pour déterminer le prix et la quantité d’un bien ou d’un service ». L’offre = producteur, entreprise, firmes, vendeur. La demande = consommateur, ménage, individus, acheteur. Les marchés sont de plusieurs types, on a le marché des produits (marché des biens et services), le marché du travail, le marché de la monnaie (marché monétaire), le marché des titres financiers (marché financier)

des autres bien, publicité, niveau dʼéducation, âge, sexe, religion... Dans la théorie microéconomique néoclassiques, pour un produit donné. Le consommateur compare lʼutilité (supposée mesurable) de la consommation dʼune unité supplémentaire dʼun bien au prix de cette unité. Le consommateur tient compte également des prix des autres biens. Le consommateur tient compte enfin de son revenu. Section 1: Analyse économique de la demande: La demande est une intention dʼacheter. Elle correspond aux quantités

------------------------------------------------- Dans quelle mesure depuis la fin du XIXe siècle la concentration des entreprises a-t-elle limité la concurrence ? Intitulé : Concentration verticale : lorsque la concentration se fait à l’intérieur d’une filière (amont et aval), depuis la matière première ou les étapes premières de l’activité jusqu’aux étapes finales, la distribution. La forme la plus exemplaire, c’est par exemple le pétrole « du puits à la pompe ». Concentration conglomérale :

facteurs : économiques, d’une part (I), et d’autre part des facteurs sociaux (II) I- Si l’innovation s’explique par les stratégies des acteurs économiques… A- L’innovation constitue une stratégie mobilisée par les firmes pour distancer la concurrence. A1- Il permet aux firmes devenir leader sur leur marché L’innovation, lorsqu’elle réussit, procure à l’entreprise un monopole, soit parce qu’elle offre un produit inédit, soit parce que les gains de productivité qu’elle réalise la rendent

l’économie de marché. L’éco de marché recherche le profit. * Marchés d’acteurs à la rationalité limitée car freinée par quelque chose. On ne peut pas vendre et acheter n’importa comment. Les entreprises sont freinées par la réglementation. Les consommateurs sont freinés par l’argent. * Marketing = philosophie ? * Ne se résume pas à la pub ! COMMENT ? * Une démarche, un état d’esprit, des hommes et des techniques. * Au service de la politique de l’entreprise. * Dans un environnement

bien la réalité des échanges : + le pays est riche, + il y a des échanges ; les pays qui échangent le + avec la France sont l’Italie, l’Allemagne et l’Espagne (correspondent à la distance géographique). La distance géographique est un indicateur imparfait : accords de libre-échange => aucune modification de la distance géographique mais modification des échanges. En pratique ce modèle explique très bien la réalité des échanges. Il peut servir à mesurer l’efficacité des accords de libre-échange ou

a de grandes disparités entre les nations en matière de productivité et de salaires (les pays technologiquement moins avancés s’inquiètent que l’ouverture de leurs économies ne conduise au désastre car leurs industries ne supporteraient pas la concurrence des pays technologiquement plus avancés alors que ces derniers craignent que cela ne fasse baisser leur niveau de vie). Néanmoins, il s’avère possible que le commerce international ait des effets importants sur la répartition des revenus (voir plus

Colloque international « Joan Robinson », septembre 2000, Université de Dunkerque Cahiers d’économie de l’innovation n°14, vol 2, 2001, L’Harmattan, pp. 55-67 DISCRIMINATION PAR LES PRIX ET CONCURRENCE IMPARFAITE : LES APPORTS DE JOAN ROBINSON Diemer Arnaud* Résumé : La théorie moderne de la discrimination par les prix a largement hérité des travaux d’Arthur Cecil Pigou [1920] et de Joan Robinson [1933]. En consacrant deux chapitres de son ouvrage «The Economics of Imperfect Competition »

Concurrence pur et parfaite 1) Dans toute société il existe un ordre juridique qui contrôle et offre des libertés (contrôlées) aux sujets. En économie les lois sont strictes. Chacun dispose de droit économique lui permettant de s’approprier, de louer, de gérer des biens. Les règles instaurées par l’état permettent en fait de créer l’activité commerciale. En effet elles donnent le droit de s’associer avec d’autres « entrepreneurs » et de fonder une entreprise. Chaque individu a le droit de créer