La Connaissance Rend T Elle Libre

Sans doute l’instruction se définit-elle nominalement comme la transmission de connaissances ; mais que l’on prenne cette définition nominale pour une définition réelle, qu’on la comprenne comme inculcation autoritaire d’un amas de connaissances éparses, et l’on n’aura guère de peine à démontrer que l’École faillirait à sa tâche en se donnant un tel idéal. On peut ainsi déprécier l’instruction au profit de l’éducation. Le résultat opposé sera tout aussi aisément obtenu pour peu qu’on assimile l’éducation

qui constitue le fond du temps, l’idéal à ce point incontesté qu’il déteint sur les intervalles de temps libre que l’on parvient, du moins dans les professions jadis libérales, de plus en plus difficilement à lui arracher. Essentiel Le loisir intérieur est menacé... «J'ai signalé il y a quelque quarante ans, comme un phénomène critique dans l'histoire du monde, la disparition de la terre libre, c'est-à-dire l'occupation achevée des territoires par des nations organisées, la suppression des biens

premières » que l’img° projette sur le donné - Bachelard : « psychanalyse » pour libérer l’appréhension du réel des « mythes premiers » Perception objective : encore l’img° mais comme fonction de synthèse des sens et pdt° de schème En dynamique : connaissance de la réalité par l’img° inventive (ex : hyp. scientifiques + leur test) Mémoire : img° aussi lui fournit un schéma dynamique (reconstituer le passé) + comble ses lacunes Donc img° : matrice de la perception et de la mémoire + condition des opérations

parait être élément constitutif du libre arbitre. Cette interrogation traverse l’œuvre des philosophes de l’Antiquité à nos jours, et est aussi illustré par un chat chez Aristote et par le géant Gargantua chez Rabelais qui ne sait s’il doit pleurer la mort en couche de sa femme Badebec ou rire de la joie de son fils nouveau-né. L’impossibilité du choix présente dans chacune de ces légendes, convoque l’image d’un homme soumis à lui-même,à son ambivalence, car être libre, selon Spinoza, c’est être renvoyé

LES MEDIAS COMMUNICATION : du latin « communicare » qui signifie « mettre en commun » = processus permettant la mise en commun d’informations et de connaissances. Mise en commun d’un émetteur à un récepteur par la mobilisation de différents moyens. A cet égard, les NTIC ont bien évidemment révolutionné le domaine. La communication peut poursuivre de multiples objectifs, notamment en fonction de sa cible : transmettre des messages, se construire une identité sociale, gagner en notoriété, influencer

suffisante) pour user de son libre arbitre.A première vue, il semble que l’on puisse se libérer sans pour autant avoir pris conscience d’un aspect déterministe du monde. En effet, décider de soi même de sortir dehors et de marcher ne donne pas l’impression d’impliquer une réflexion déterministe.Cependant, si l’on a pas pris conscience que nos actions peuvent être déterminées, comment peut-on affirmer avec certitude que notre choix de sortir pour marcher est dû uniquement à notre libre arbitre, et non au fait

l'homme, d'après Sartre, se fait lui-même. Il n'est pas déterminé à être ceci ou cela. C'est pourquoi pour l'homme l'existence précède l'Essence. Un être humain est une subjectivité libre et responsable. D'un objet, on peut dire il est ce qu'il est puisqu'il a une Essence déterminée. En revanche, si l'homme est un sujet libre et responsable, il n'est pas enfermé dans une nature déterminée d'avance, il a la capacité de changer. « L'existence précède l'Essence » SARTRE Le concept

donne. Car si l’on veut « tout » savoir, c’est notre choix. Mais encore une fois, il faut savoir utiliser les connaissances acquises. Rabelais et Montaigne sont tous deux des humanistes et s’inspirent, étudient,… les textes de l’antiquité. Mais, ils n’ont pas la même vision sur le sujet. Rabelais est contre le fait d’étudier sans cohérence mais il faut savoir utiliser ses connaissances pour pouvoir en parler avec sagesse. Il faut toujours avoir une réflexion morale qui vise aux biens de l’homme

difficile à définir, parce qu’il concerne des domaines apparemment différents (de la liberté de penser à celle d’agir), mais aussi parce que ses acceptions historiques sont variables. L’expérience simple d’un comportement libre enseigne qu’il n’est soumis à aucun empêchement : être libre, c’est faire ce que l’on voulait – au sens où l’on en avait l’intention, et non où il s’agirait de vouloir par exemple s’envoler par la fenêtre... On retrouve là une signification première du terme qui, dans l’Antiquité

fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts