La Connaissance Scientifique S Oppose T Elle Aux Croyances Religieuses

juillet 1789 et la prise des Tuileries le 10 août 1792, qui marque la fin de la monarchie. Louis XVI est guillotiné le 21 janvier 1793. B-L’éveil de l’esprit philosophique La querelle des anciens au XVII marque l’aube du siècle des Lumières. Elle oppose les Anciens (Boileau, La Fontaine, La Bruyère) aux Modernes (Fontenelle, Perrault, Houdar de la Motte) sur la notion du progrès et de la tradition. Les Anciens sont partisans d’un respect de la tradition, qui parait la seule garante du Bien, du Vrai

La croyance est définie généralement comme une adhésion à une idée, un dogme, sans vérification et sans preuves. Croire, c’est donc accorder son assentiment sans réflexion, donc sans l’aide de la raison. La croyance peut aussi s’appliquer au domaine de la foi religieuse: elle est adhésion complète et sans borne à l’idée de l’existence divine et aux paroles de l’Ecriture. La raison, quant à elle, est une faculté de réflexion entraînant un bon jugement, un jugement sûr et concerté. Par conséquent,

premier abord est le caractère extrêmement assuré des jugements auxquels nous parvenons si nous suivons les principes et les règles de la rationalité. Cette perspective prendrait sa source dans l'Antiquité avec les premiers développements des connaissances scientifiques et l'ambition des philosophes de penser toute réalité à partir de la pensée rationnelle. La raison est cette faculté humaine qui nous permet de parvenir à des vérités aussi bien formelles que matérielles, au sujet du vrai comme du bien,

vérité. Même si certains considèrent que l'ignorance est source de bonheur, on la considère plus généralement comme un aveuglement. Les hommes ont donc tendance à vouloir à tout prix la vérité, comme le montre l'importance accordée à la recherche scientifique. Quelle raison justifie cette tendance des hommes à vouloir à tout prix la vérité ? Possède-t-elle une valeur intrinsèque, en tant qu'idéal moral ? N'a-t-elle pas également un rôle utilitaire ? Finalement, est-il vraiment toujours souhaitable

catégorie et Condorcet à la seconde. Dès qu'on parle en effet de laïcité, d'école laïque, de neutralité scolaire, on s'expose à se voir immédiatement rangé dans l'une des deux catégories suivantes: soit partisan de l'école libre, privée, cléricale, religieuse, «de droite» et, cela va de soi, réactionnaire; soit défenseur de l'école publique, laïque, positiviste, «de gauche» et, cela va sans dire, anticléricale. Les images simplistes sont fortes, et les habitudes mentales tellement rassurantes! Pourtant

–isme désigne la dimension historique d’une pensée. Néo-platonisme : interprétation encore plus éloignée de la pensée de Platon. Philosophes qui ont chronologiquement suivis Descartes : Spinoza, Leibniz, Hobbes. Tous les 3 cartésiens, mais se sont opposés a la philosophie de Descartes. Descartes est vraiment le philosophe connu comme étant le philosophe qui marque le début de la philosophie dite moderne. La France en a fait Le philosophe central ; pas pareil partout dans le monde. Que veut dire

religieux. Qu'est-ce que l'obscurantisme religieux ? L'obscurantisme désigne une attitude, une opinion ou une doctrine qui s'oppose à la diffusion des connaissances et au progrès de la science et de la raison, ce qui était contraire aux principes des  philosophes. Pourquoi s'oppose-t-on à la diffusion des connaissances ? On s'y oppose, parce qu'on est si convaincu de détenir la vérité que n'importe qu'elle autre apparition concernant la réalité nous parait inacceptable. Il a même eu un

avons négligé et perdu par le péché, et que nous devons recouvrer en croyant, et en témoignant de notre foi. Émile DURKHEIM, Les formes élémentaires de la vie religieuse, I, i. Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c’est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Église, tous ceux qui y adhèrent. Le second élément qui prend ainsi place dans notre définition n’est

vérité. Même si certains considèrent que l'ignorance est source de bonheur, on la considère plus généralement comme un aveuglement. Les hommes ont donc tendance à vouloir à tout prix la vérité, comme le montre l'importance accordée à la recherche scientifique. Quelle raison justifie cette tendance des hommes à vouloir à tout prix la vérité ? Possède-t-elle une valeur intrinsèque, en tant qu'idéal moral ? N'a-t-elle pas également un rôle utilitaire ? Finalement, est-il vraiment toujours souhaitable

sur sa condition d’être humain et sur sa raison d’être. Son besoin de connaissance est immense et va croissant. Dès qu'une question est résolue, une autre, dix autres surgissent. La Religion comme la Science sont nées et ont traversées les siècles alimentées par cette curiosité humaine intarissable à vouloir trouver « des réponses ». La religion, la première, a tenté d'en apporter sous la forme de certitudes fondées sur la croyance en l’existence d’une entité supérieure. Puis la science, par ses études