La Conscience Nous Rend Elle Libre

son libre-arbitre, une volonté dénuée de toute contrainte constituant une faculté innée pour chacun de nous. Dans son texte, l’auteur va au-delà de la critique du traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel la notion même de libre-arbitre

La découverte métaphysique de la conscience : 1ère découverte de Descartes  le cogito ergo sum Le « daïmon » invoqué par Socrate était une sorte de voie intérieure, philosophique, qui était en réalité la voix de sa conscience. 1) Les étapes du doute cartésien : Le 1er doute doit porter sur les choses sensibles, CAD sur la réalité. Concernant les sens, ils peuvent être trompeur (ex : illusion d’optique) il faut donc douter de nos sens. « Pourquoi ne puis-je être fou » : rejet de cette

besoins naturels. Le travail devient donc une nécessité pour l'homme. Elle est une activité sociale qui permet à l'homme de mieux s'intégrer à la société. Travailler fait partie de la nature de l'homme. Le travail permet à l'homme de dégager du temps libre pour ses loisirs. On peut dire que le travail est le contraire du temps de loisir. Le travail en tant que nécessité et la liberté sont probablement deux notions qui s'excluent l'une de l'autre. Travail provient du mot latin «tripalium», qui était

intellectuel, l’on peut remettre tout en question jusqu’à nos valeurs fondamentales comme la vérité ? L’Homme peut-il vivre dans une société dépourvu de limites, où le mensonge pourrait régner et conduire au chaos ? Devant ces interrogations, le positivisme rend indubitable une réalité des faits qui émanerait d’observations et d’expériences répétées montrant les relations constantes qui unissent les phénomènes tandis que les sceptiques et les relativistes nous invitent avec une vision contestataire à renoncer

tutelle (les mineurs) qui ne développent pas leur capacité à prendre leurs propre décisions et à oser savoir et qui vivent sous la paresse et la lâcheté sont condamné à être prisonnier (mentalement et physiquement) donc ils ne pourront jamais devenir libre (majeur). Pour défendre convenablement sa thèse, dans un premier temps, l’auteur va nous présenter la définition et les causes de l’état de tutelle, dans un deuxième paragraphe il développera les éléments qui poussent un homme à être dépendant d’un

obtenir un objet quelconque. Il serait un effet de notre conscience, et plus spécifiquement de notre conscience réfléchie. 2) Nous retrouvons ici la thèse de Descartes à propos de la nature de la conscience (ici comprise comme conscience réfléchie), et, de là, de la nature du désir. Dans le Discours de la méthode, il souligne que le désir fait partie de « ce qui dépend de nous », c’est-à-dire qu’il est une donnée de la conscience parmi d’autres, et c’est en tant que telle que nous pouvons

disposition régulière, une organisation logique : l’ordre est partout car il est d’abord dans la raison ! Si l’homme veut que le monde soit en ordre (le monde, l’Etat, son bureau, la ville …), c’est parce qu’il imprime, dans le réel, la marque de sa conscience. L’homme décalque sa raison dans le monde ! Le désordre, le chaos, l’anarchie, tout cela dérange l’homme (car il est rationnel) ; sa raison est un facteur d’organisation, de compréhension et de cohésion (= qui donne sens et cohérence), donc le monde

La conscience de soi apparaît dès que nous sommes capables de nous représenter à nous-mêmes. Nous nous regardons donc, comme notre reflet dans un miroir et, étonnés par notre découverte, nous étudions ce reflet pour très vite nous rendre compte que ce miroir ne renvoie pas les images auxquelles nous pourrions nous attendre. Est-il seulement possible de nous reconnaître nous-mêmes face à cette image déformée, inattendue de nous-mêmes ? Encore faudrait-il que cette image ne soit pas un mirage...

Fiche synthèse 1 : La conscience Est-ce que la conscience qui nous définit ? La pensée établit la certitude de notre existence 1) La pensée établit la certitude de notre existence conscience = exprime l’idée d’une connaissance. Latin = cum (avec) science (savoir) Conscience = vois intérieur qui reflète l’image de ce que l’on est. L’animal se différencie de l’Homme car il ne dispose pas d’une conscience mais juste d’un instinct Dénégation = processus psychologique pour traiter la névrose

Qu'est-ce qu'un esprit libre ?   Introduction      Ce qui immédiatement constitue un obstacle pour l'esprit libre, ce sont les préjugés, les illusions et ces obstacles sont d'autant plus difficiles à surmonter que l'esprit n'en a pas toujours conscience. Dans la vie de tous les jours, nous entassons les déconvenues, nous jugeons à la hâte et souvent nous formulons des pensées non de manière autonomes, mais nous répétons ce que nous avons entendu, ce que nous avons lu. Notre pensée est