La Conscience Rend Elle Malheureux

pouvant écrire toute la biographie de l’auteur j’ai repris 3 points qui me paraissaient important. Tout d’abord, le fait qu’il soit né en Algérie : l’histoire se passe en Algérie, l’auteur connais bien ce pays car il y a vécu, il y a été heureux, malheureux, il y a appris des choses, il y a connut le soleil méditerranéen or celui-ci a une grande place dans le livre, bref il s’y est forgé. Ensuite j’ai repris le fait qu’il était journaliste mais surtout qu’il était chargé de rendre compte des procès

handicapée et sa grand-mère, son père étant mort au début de la guerre, en 1914. Il est très vite remarqué pour son intelligence, ce qui lui permet de poursuivre des études malgré la pauvreté de sa famille. Pendant la deuxième guerre mondiale, Camus se rend en France pour participer à la lutte contre les Allemands, mais sa mauvaise santé l’empêche de s’engager dans l’armée. Il prend alors part à la résistance en devenant le rédacteur en chef du journal Combat . Après la guerre

Vous offensez les dieux auteurs de votre vie, Vous trahissez l'époux à qui la foi vous lie, Vous trahissez enfin vos enfants malheureux, Que vous précipitez sous un joug rigoureux. Songez qu'un même jour leur ravira leur mère, Et rendra l'espérance au fils de l'étrangère, A ce fier ennemi de vous, de votre sang, Ce fils qu'une Amazone a porté dans son flanc, Cet Hippolyte... PHEDRE Ah ! dieux ! OENONE Ce reproche vous touche ? PHEDRE Malheureuse, quel nom est sorti de ta bouche

incident vient le troubler plus profondément encore : il apprend qu'un malheureux, arrêté sous le faux nom de Jean Valjean, passe en ce moment même en cour d'assises. Le malheureux se demande s'il doit laisser s'accomplir la condamnation de l'innocent, condamnation qui assurera son avenir et affermira sa personnalité empruntée, et sans se décider, poussé par une sorte d'instinct, il se rend à la cour d'assises. Là, il voit le malheureux, propre image de l'ancien Valjean, balbutiant d'un air hébété des

disposer dans toute société que d’un pouvoir limité. Il y a donc des désirs absurdes. Pourquoi les ressent-on ? Parce que je suis malheureux, c’est-à-dire malade, troublé. Donc je ne désire plus naturellement, je désire -pour me divertir de mon malheur- toutes sortes de choses vaines et irréalisables qui ne me viendraient même pas à l’idée si je n’étais pas malheureux, comme être le plus riche, l’homme le plus honoré … Je ne peux être heureux, c’est-à-dire profiter des plaisirs que je ressens dans

disposer dans toute société que d’un pouvoir limité. Il y a donc des désirs absurdes. Pourquoi les ressent-on ? Parce que je suis malheureux, c’est-à-dire malade, troublé. Donc je ne désire plus naturellement, je désire -pour me divertir de mon malheur- toutes sortes de choses vaines et irréalisables qui ne me viendraient même pas à l’idée si je n’étais pas malheureux, comme être le plus riche, l’homme le plus honoré … Je ne peux être heureux, c’est-à-dire profiter des plaisirs que je ressens dans

impératifs et, tacitement, des exclamations. Le temps doit, en fait, calmer « les malheureux » et leurs « soins », donc, on observe l’action de bienfaisance de la durée. La répétition « coulez, coulez » scande le rythme et, quand Lamartine dit « oubliez les heureux », il nous donne l’impression que ces heureux sont, effectivement, en nombre restreint. Le parallélisme construit entre « les heureux » et « les malheureux » montre la puissance du temps de détruire les plaisirs éphémères. L’adverbe « en

pas : une fois l’argent dépensé, il faut se remettre au travail. Ce n’est pas la une véritable libération mais plutôt un instrument amenant à la prise de conscience. En effet c’est là que l’Homme se rend compte que même si c’est contraignant de travaillé au bout du compte quelque chose d’agréable l’attend. Kant nous parle de cette prise de conscience dans son ouvrage « Traité de pédagogie ». En effet il explique l’importance qu’il y a d’apprendre aux enfants de travailler « On doit accoutumer l’enfant

choses, mais dans le besoin qui s’en fait sentir. Le monde réel a ses bornes, le monde imaginaire est infini ; ne pouvant élargir l’un, rétrécissons l’autre ; car c’est de leur seule différence que naissent toutes les peines qui nous rendent vraiment malheureux »[20]. « En général, la vie dure, une fois tournée en habitude, multiplie les sensations agréables ; la vie molle en prépare une infinité de déplaisantes. Les gens élevés trop délicatement ne trouvent plus le sommeil que sur le duvet ; les gens

constitué également de différents chapitres. Dans cet écrit, le philosophe propose diverses possibilité qui sont susceptible d'être des facteurs du malheur. L'auteur commence son premier chapitre avec la question suivante : Qu'est-ce qui rend les gens malheureux ? Russell démontre dans la globalité du livre, que la majeure partie du malheur a pour cause, nous même. Il aborde alors dans ce chapitre les aspects tels que la souffrance, le narcissisme, les lunatiques, les mégalomanes etc. Il développera