La Conscience Sensible Et Intelligible

HUSSERL, le fondateur de la phénoménologie affirmait également que, dans notre perception, il y a toujours quelque chose qui est perçu par nos sens, et derrière ce perçu, le transcendant, c’est-à-dire ce qui est de l’ordre de l’essence et que notre conscience peut concevoir. * L’existentialisme a pour objet principal l’existence (= manière proprement humaine d’être). L’existentialisme est une philosophie de l’action : l’homme doit s’engager dans son existence, prendre en main le cours de sa vie

vivre dans le doute. 3) Science sans conscience n’est que ruine de l’âme L’art : un quatrième discours essentiel l’art 1) Qu’est-ce que l’art? : L’art est la marque de l’esprit 2) Mais en quoi se distingue-t-il de la technique? : Le travail, la plupart du temps tourné vers la production de bien de consommation nécessairement périssable 3) Qu’est donc une œuvre d’art? : L’art est à la fois et une réalité objective, un fait matériel sensible et le résultat d’un jugement. L’art est

discours. Il y a selon lui une réalité vraie qui ne s’oppose pas tant à une « réalité fausse » qu’à une réalité dégradée et aux apparences qui la constituent. Le monde sensible, auquel nous sommes attachés en raison de notre corporéité, est un monde ayant un faible degré de réalité en ce sens qu’il est peuplé de copies des Idées intelligibles. Or ce sont bien ces dernières qui constituent la vérité et cette vérité n’est pas une propriété de la pensée mais bien un autre être, un autre monde, le monde des

de notre monde. Contre les Sophistes, Platon veut marquer l'exigence de la philosophie dans sa radicalité anticonformiste aux certitudes faciles de l'opinion ainsi qu'aux confusions engendrées par nos sens. Y parvenir c'est parvenir aux Formes Intelligibles; c'est sortir du monde de l'illusion pour contempler celui de la vérité. Résumé de l'allégorie - Il nous faut imaginer des prisonniers dans une caverne souterraine, qui ont derrière eux un feu, et sont maintenus d'une manière qu'ils ne peuvent

Socrate - Se détacher la vie sensible, On vit aujourd’hui dans un monde dirigé par les désirs. L’ambition et les désirs sont pour la plupart ce à quoi se résume la vie. La société dans la quelle on vit n’est rien d’autre que capitaliste. Elle ne cherche qu’à consommer et à surconsommer. Cependant, la question à savoir s’il faut se détacher de la vie sensible afin d’atteindre la sagesse ou même si cela serait possible est une question qui risque de poser pas mal de problèmes dans cette société

nécessité de limiter le désir comme le fait Épicure, il propose une sublimation du désir. Il s'agit de le diriger vers ce qu'il y a de plus pur : la beauté. Également, selon lui, il y a une opposition métaphysique entre 2 mondes : le monde sensible et le intelligible, soit le corps et l'âme. Hélas, voici encore un paradoxe. Ce ne sont pas forcément le corps et l'âme qui s'opposent, mais, à l'intérieur de l'âme, deux sortes de désirs. Les désirs issus de son lien avec le corps et le désir propre de l'âme

regroupe autrement des objets dans le réel intérieur ou extérieur. Le problème, c'est que nous ne voyons pas ce que veut dire "rectitude des noms". De plus, la réalité que visent les noms, qu'est-ce que c'est ? Les choses sensibles, dans leur individualité pure ? Le monde sensible ? Le flux changeant des apparences ? Si la rectitude des noms veut dire que chaque nom désigne une chose particulière, on tombe devant des difficultés insurmontables. Certes, il y a bien des exemples de mimétique du langage

conditionnement socio culturel qu’à l’enfant. En effet, si ce dernier est inscrit dans une famille qui le produit à son image, la famille est, elle inscrite dans une société caractérisée par une culture. Or, tant que l’homme n’est pas en situation de prendre conscience du fait culturel, il le subit, le reçoit par sa seule immersion dans une culture, une vision du monde qui détourne à son insu la totalité de ses représentations. Par la suite, le philosophe athénien nous décrit leur attachement forcé à la paroi

des sciences de la nature qui parient pour une accumulation progressive du savoir et, par là, pour la maîtrise progressive de l'objet. Le raisonnement polymorphe consiste à chercher et à découvrir la vérité cachée. L'objet naturel, phénoménal est intelligible dans un progrès indéfini de la connaissance augmentant incessamment. Il y a des degrés, des dépassements de degrés. Le moi humain est pour une telle attitude un objet naturel répété pour une connaissance singulière proportionnelle. L'homme y est

matière, appelé récepteur universel, l’autre agissant, comme une cause, qu’il rattache à la puissance du dieu et du Bien. Platon développe une réflexion sur les Idées communément appelée théorie des Formes ou théorie des Idées dans laquelle le monde sensible est considéré comme un ensemble de réalités participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est, selon le contexte, tantôt le Bien, tantôt le Beau. La philosophie politique de Platon considère que la Cité juste doit être construite selon