La Conscience Sensible Et Intelligible

leur opposant des constructions contraires possibles ou en montrant que ces constructions ne sont pas fondées. Les mathématiques et les autres sciences parce qu’elles sont des constructions intellectuelles en rapport à des réalités plus ou moins sensibles verront leur validité relativisée. Les sceptiques aujourd’hui auront facilement des arguments pour mettre en cause la soi-disant efficacité des technosciences (voir notre leçon Le progrès a-t-il des limites ?). Leur critère de validité sont efficaces

DÉFINITIONS GÉNÉRALES Positivisme : Il désigne un ensemble de courants qui considère que seules l’analyse et la connaissance des faits vérifiés par l'expérience peuvent expliquer les phénomènes du monde sensible. La certitude en est fournie exclusivement par l’expérience scientifique. Il rejette l’introspection, l’intuition et toute approche métaphysique pour expliquer la connaissance des phénomènes. Il a fortement marqué la plupart des domaines de la pensée occidentale du XIXe siècle. Il est associé

perpétuel selon un certain « rythme » Xénophane Dans toute sensation :sorte de relatif : ns invitant a distinguer la chose en ELLE-MEME et la VISION que NOUS en avons . distinction science et opinion mm si ne se précise pas comme tel . LA CONSCIENCE DANS LA CITE Les Sophistes Sophistes :tels que Protagoras , Gorgias , Antiphon :Grands intellectuels font monnayer leur savoir .Usage de la rhétorique et de la dialectique .Faisaient table rase tout ce qui faisait office d’absolu :mythes

toute expérience ou en dehors d’elle). L’arpentage peut avoir engendré la géométrie, les transactions commerciales le calcul. Mais les mathématiques atteignent la forme qui les caractérise seulement lorsque : 1. on s’y détache de la représentation sensible (cf. texte de Kant, manuel, p. 282) 2. on y poursuit des démonstrations au lieu d’y appliquer des recettes. Elles sont alors exemplaires à la fois par leur objet et leur méthode, mieux par l’exacte convenance de la méthode à l’objet. Or si le raisonnement

Grecs, relève d’un savoir empirique sensible, qui est le premier degré de la connaissance humaine. En effet, les premiers savoirs que l’on acquiert sont des opinions, des points de vue sur les choses, des avis qui nous sont donnés par le monde sensible, tels que les images, le son et le palpable. C’est en partant ainsi à la découverte du monde sensible que l’enfant découvre les choses et se découvre lui-même. Pour Platon, ce n’est que dans le monde intelligible, soit ce qui est perçu par l’intelligence

puisqu' il mélange l être et le néant en niant ce que l' on sait être ou en affirmant ce que l' on sait ne pas être. Ainsi, si il est possible de mentir, le mensonge serait contraire a l' ordre des choses. Si le langage désigne les essences du monde intelligible, son utilisation pour mentir le pervertirait par définition, car il fausserait le vision du réel.    Le mensonge peut devenir au delà du langage, un comportement dissimulant ce que l on est pour paraitre ce que l on est pas. De ce point de vue

conventionnel? Platon=>Cratyle Dialogue sur la nature du langage Cratyle=>mot n'est que l'image de la chose.ex: sonorités imitent ce qu'on décrit. Nous imitons ce que la chose est . Si on se contente des sens , le langage ne sera qu'une apparence du sensible . De plus, si le langage est une copie du monde , il n'y aurait qu'une seule langue. Hermogène=> langage posé comme convention par les hommes . Les mots ont un rapport arbitraire aux choses (repose sur décret de la volonté)indépendemment de la nature

[I] A l'opposé de notre conception suivant laquelle l’État est la réalisation de la liberté, [1] nous trouvons l'opinion que l'homme est libre naturellement, [2] mais que, dans la société et dans l’État dont il fait partie nécessairement, il doit restreindre cette liberté naturelle. On entend par là la façon d'être de l'homme dans son existence naturelle, immédiate. [3] En ce sens, on suppose un état de nature et l'on s'imagine que l'homme y vit en possession de ses

chose et plus que cause : Dieu. Cependant la faillibilité de l’intelligence humaine est aussi un fait d’expérience. En témoignent aussi bien les itinéraires personnels que l’histoire des sciences. Si même la connaissance de l’être sensible est soumise à l’erreur, comment imaginer celle de Dieu en sa transcendance ? C’est ici que Dieu lui-même vient au secours de l’esprit humain. Expérience collective et individuelle de la transcendance. La révélation est un fait et se pose alors la

eime siècles, la métaphysique (la discipline qui étudie les causes, les substances et la nature du divin) est au sommet de la connaissance même s’il reconnaît l’autonomie et l’objectivité des savoirs fondés sur les mathématiques ou sur l’expérience sensible. Pourquoi l’apparition d’une supernova dans le ciel en 1604 vient-elle remettre en questions les acquis de la métaphysique? L’apparition de cette nouvelle étoile est incompatible avec les dogmes de la métaphysique. Le dogme en question veut