La Consommation Ne Dépend T Elle Que Du Revenu

SOMMAIRE 1. Définition de la consommation 2. Les facteurs qui influencent la consommation 3. Lois d’Engel 4. L’évolution de consommation de ces 50 dernières années 5. Les dépenses les plus touchées 6. Conclusion Document 1 : Les nouveaux arbitrages des consommateurs Français Source : http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/22/1611533-pouvoir-achat-francais-preparent-reduire-depenses.html Sondage 60 millions de consommateurs 2012 Après une baisse

décisions ; qui fait quoi, qui reçoit quoi ? La gestion des ressources est importante car on ne peut garantir à tout individu le niveau de vie auquel il aspire. 1. Besoin Besoin = sentiment de manque que la personne cherche à effacer par la consommation d’un bien & service. ≠ classes de besoins a. Les besoins primaires : nécessaire pour survivre (respirer, boire, manger). b. Les besoins secondaires : qui ont une dimension qualitative & psychologique c. Les besoins fondamentaux : besoin

avant tout en une baisse du taux de l'intérêt, destinée à rendre attrayants les investissements privés. Cependant, on doit envisager aussi l'acroissement des investissements publics, l'augmentation de la propension à consommer par redistribution des revenus au profit des classes aux ressources les moins élevées. Enfin le protectionnisme douanier apparaît comme un moyen légitime de relever le niveau de l'emploi. La pensée keynésienne innove tout particulièrement, en ce qui concerne la la méthode de l'analyse

des utilités» dont dépend la maximisation du bonheur global. Cette tradition réduit cependant le bien-être à un phénomène quantifiable et son calcul à une sommation des utilités. À première vue, le bien-être correspond certes à (UN) sentiment procuré par la satisfaction d’un besoin. Mais cette satisfaction peut-être procurée par des biens et services marchands ou par des biens et services non marchands, comme par exemple, des relations interpersonnelles et la consommation de biens collectifs

« consommer » ? La consommation se caractérise par l’utilisation de biens et services qui seront détruits immédiatement (bien non durables : produits alimentaires) ou progressivement (biens durables : automobile, mobilier, machine à laver). La consommation marchande et la consommation non marchande : La consommation marchande qui concerne tous les biens, qui sont par nature marchands dans la mesure où ils sont échangés sur un marché à un prix couvrant au moins leur coût de production. La consommation non marchande

- titres - monnaie En principe, on devrait étudier ces quatre marchés pour déterminer l’équilibre général mais il y a un marché qu’on peut éliminer, c’est le marché du travail qui a un rôle purement passif. Ce qui se passe sur ce marché dépend entièrement de ce qui se passe sur le marché des biens et services. On est en chômage keynésien : l’offre ex ante > demande ex ante = offre ex post. OA= F(K,La) Si on connait la demande de biens et de services, on connait la demande de travail

final, qui le remplace complètement et s’approprie sa valeur (minerai, énergie, matériau, etc.) Bien final : Les biens finaux sont le produit d’une combinaison de biens intermédiaires, et peuvent être subdivisés en deux catégories : Les biens de consommation (qui possèdent une valeur finie et ont pour vocation d’être utilisés tels quels, « consommés ») Les biens d’équipement ou d’investissement (leur valeur se projette au sein de leur capacité productive. Ils ont pour vocation de produire d’autres

Chapitre 2  Les ménages Offrir leur force de travail pour obtenir un revenu  Choix entre temps libre et temps travaillé  Utiliser ce revenu pour satisfaire leurs besoins  Choix entre différents biens et services =  structure de la consommation  Epargner   choix entre consommation immédiate et consommation future (épargne) I. L’offre de travail  Offre de travail ≠ offre d’emploi  Travail = facteur de production  Loisir = temps non consacré au travail rémunéré  Question de

un premier temps. Il se traduit par la déréglementation, la mise en concurrence, le libre-échange. Le libéralisme est un des facteurs de la mondialisation actuelle, mais aussi il est un facteur du développement économique mondial (hausse des revenus, etc...). Un contre-exemple : développement des échanges au sein de COMECON (CAEM, ) entre URSS, Europe de l’EST, Cuba, Vietnam… avant 1990, sans libéralisme (les échanges étaient planifiés). 2 - Composantes de la mondialisation On peut distinguer

l'inv. initial imprimée par l'état pour relancer L'économie, permet une hausse du revenu national (PIB), qui permet à son tour une hausse de la consommation ; cette hausse de la consommation permet à son tour une hausse de la production (donc du revenu national) et ainsi de suite On a donc des vagues successives d'aller-retour entre le revenu national et la consommation, qui entraînent une hausse amplifiée du revenu national donc de la croissance économique. Finalement, une augmentation de l'investissement