La Consommation Ne Dépend T Elle Que Du Revenu

En 2005, en France, la consommation représente environ 80% du PIB. La consommation est l’opération économique consistant à acquérir des biens destinés à être détruits immédiatement ou progressivement au cours de leur utilisation. La consommation des ménages représente la consommation finale, qui se répartit en trois groupes : consommation de biens et services par les ménages, consommation de services collectifs fournis par les APU (Administrations publiques) et consommation de services individualisables

des biens. Cet argent est le fruit du revenu disponible dont dispose le ménage. Ce revenu est lui-même conditionné par le contexte économique du pays où vit ce ménage. Il existe donc un lien entre la consommation des ménages et le contexte économique. Nous allons nous intéresser ici à la question suivante : comment la consommation des ménages agit-elle sur la croissance économique et réciproquement, la croissance économique influence t-elle la consommation des ménages ? Dans la première partie

Chapitre 7 : la consommation La consommation qui consiste à utiliser un bien ou à bénéficier d’un service revêt une grande variété de forme. Elle prend une place importante dans l’activité économique dont elle est en principe le but. La connaissance du cadre comptable établie par l’INSEE est un point de départ obligé si on veut situer la consommation entant que phénomène économique et sociale. I) la place et la mesure de la consommation Traditionnellement les économistes découpent l’activité économique

de l’emploi dans les services aux entreprises et des consommations intermédiaires de l’industrie 1.2. Evaluation comptable de l’évolution du processus d’externalisation 1.3. Synthèse des résultats : entre 20 et 25 % d’emplois industriels externalisés vers les services 2. L’impact de l’évolution de la structure de la demande et des gains de productivité sur l’emploi industriel 2.1. L’impact des gains de productivité sur l’emploi industriel dépend de la sensibilité de la demande en biens industriels

microéconomique basique, on mène une analyse statique, qui peut être définie soit comme une analyse atemporelle soit comme une analyse faite sur une seule et même période. Cela amène en particulier à poser que le consommateur dépense la totalité de son revenu au cours de cette période. Il s'agit ici d'introduire aux raisonnements que l'on doit tenir quand on lève cette hypothèse simplificatrice et que l'on admet que l'horizon temporel de l'analyse se décompose en plusieurs périodes, et que donc le consommateur

préférences et de les classer). Tout part donc des préférences individuelles. L’individu a la possibilité de consommer un certain nombre de biens x. On lui demande de définir ses préférences sur un bien. On définit des paliers de consommation / vecteurs de consommation sur les x. On attend de l’individu qu’il classe ses préférences sur toutes les combinaisons possibles de biens. Cette relation respecte le principe de rationalité : ▪ Relation complète : x1 préféré ou indifférent à x2. ▪ Relation

entre des situations où certaines personnes disposent d’un avantage et d’autres un désavantage. L'inégalité se mesure par rapport à une échelle de valeurs ( sociale comme le statut, ou économique si on pense au revenu). De nos jours, les inégalités font d’abord référence à celles des revenus et des patrimoines. C'est inégalités touchent essentiellement sur les conditions de vie (logement et loisirs,...), d’éducation, de santé (mortalité, natalité), ou de ressources relationnelles (le capital social

utilisés : l'Etat propose une production non marchande, alors que les entreprises effectuent une production marchande ( cf cours sur la Comptabilité Nationale ) c'est la distinction privé-public : est considérée comme publique toute organisation qui dépend de l'Etat L'Etat comprend donc les administrations : elles réunissent les 2 critères : production non marchande , relevant du secteur public On distingue 3 types d'administrations : administrations publiques centrales(APUC) qui relèvent du

la demande, c’est le rapport entre la variation de la demande d’un bien et la variation d’un critère retenu. Il existe différentes sortes d’élasticité, notamment l’élasticité-prix, l’élasticité-prix croisée et l’élasticité-revenu. 1) L’élasticité des prix pour un produit dépend de : c) La nature du produit vendu : si le produit vendu est un bien de première nécessité, l’élasticité-prix sera faible tandis que si c’est un produit de luxe, l’élasticité-prix sera forte. Cet effet est accentué s’il

(Jevons) : -Un bien n'a de valeur que s'il est désiré. -L'intensité d'un besoin décroit avec sa satisfaction. -L'utilité marginale : utilité procure par la consommation de la dernière unité d'un bien. -Tous les biens sont divisibles. L'utilité est la base de construction des mécanismes économiques : -Valeur des biens de production -Consommation -Intérêt et monnaie -Répartition Une conception de la société particulière Pas de classes sociales, donc pas d'affrontement pour la valeur ajoutée.