La Coutume Au Moyen Age

Rome et du christianisme primitif. A titre divers, par une réflexion morale, pragmatique et spirituelle, ces sociétés ont porté les bases d’un droit public et privé particulièrement élaboré. Ces différentes influences croisées ont contribué, au Moyen-âge à la formation et à l’éclosion d’une vaste tradition juridique marquée par le pluralisme du droit : droit coutumier et droit savant (droit romain médiévale, canonique et droit médiévale). Cette tendance diversifié des sources du droit se trouve

hébraïque, islamique) ¬ Usage (éducation, bienséance pour social, mais ici juridiquement -> produits d’une évolution lente, de génération en génération, oralement) ¬ Volonté (droit est le produit de la volonté d’un législateur) 2. Il en existe quatre : ¬ Coutume : les règles de droit non écrites qui se dégagent des faits, de pratique, en dehors de l’interdiction d’un législateur -> source la plus ancienne du droit. ¬ Loi (appelée « loi positive », dans le sens loi posée par le législateur Notion grecque 7ème

encore une fois, l’envoyé de Dieu. Néanmoins, les devoir du Roi ne reste que moraux, rien de plus. Ensuite viennent les barrières juridiques. Ce sont les lois fondamentales du Royaume qui ont été édictées par d’autres Rois ou sont validées par la coutume tels que les principes de masculinité, d’indisponibilité et d’inaliénabilité de la couronne, le Droit des autres pays, la franchise des villes, les différents privilèges du royaume, … Le Roi doit se plier totalement à ces diverses lois sinon il ne

empêchement au mariage dans ce cas là. Les romains n’aiment pas l’inceste. La structure de cette famille romaine est complexe car elle est composée de trois cercles concentriques : on a le plus petit cercle qui est la familial ou domus, le cercle moyen qui est la famille agnatique, puis le cercle plus grand qui est la « gens » ou famille gentilice. Cette structure aura une importance fondamentale car elle va être le pilier du droit des successions. a. La familial ou « domus » La domus est

un précédent. L'exigence de répétition s'inscrit dans l'adage « une fois n'est pas coutume ». Si l'usage découle de la contrainte, on parlera de mauvaise coutume. En tout état de cause, le non-usage c'est-à-dire la désuétude met un terme à la coutume. - Cet usage est oral. Ce caractère engendre des problèmes de preuve. On recourt au témoignage individuel ou de groupe en fonction des régions à moins que la coutume soit notoire, ce qui est le cas lorsqu'elle a été transcrite dans des recueils. -

droit français ordonne la rédaction du Code d'Henri III , rédigé en 1587 et publié en 1601. A l'imitation de Justinien, le Code d'Henri III est un abrégé des ordonnances et coutumes, annoncé par l'ordonnance de Blois en 1580 – où l'art. 207 définit la création d'un volume unique qui puisse condenser les arrêtés, ordonnances et coutumes de chaque province – dont l'impact n'a pas été à la hauteur de ses ambitions. La mort d'Henri III laisse place a de nombreux conflits tels que la Guerre de Trente Ans ou

manière droit . Le droit lui n'est pas confondu avec la règle elle-même car cette dernière sert à trancher entre les conflits . Ainsi ce n'est pas le droit qui est tiré de la règle mais c'est la règle qui est tirée du droit . La règle est donc le moyen employé pour trouver la solution la plus adaptée à chaque conflit particulier : la règle esrt donc source de droit I-B- Les sources du droit Cette expression vient d'un romain ( le plus grand avocat de tout les temps ) : Cicéron . C'était également

trois buts: 1° elle doit être une règle de conduite, 2° elle n'est pas simplement une solution pratique à la différence de ce que pensent les anglais, mais doit permettre à chacun de savoir quels sont ses Droits et ses devoirs, 3° doit porter les moyens de sa mise en œuvre, permettre aux citoyens de défendre leurs Droits. Pour Bentham, caractères de la Loi et ses finalités ne peuvent être atteints que si la Loi est codifiée. Accessibilité et intelligibilité de la Loi >>> préoccupation qui apparait

juridique ; • Et le droit coutumier que les autorités du Protectorat français s'étaient efforcées à l’époque au XX éme siécle. A côtés des sources historiques, il y a des sources modernes comme par exemple, la loi, la jurisprudence, les usages et coutume … Ces sources constituent l’un des résultats du contexte social et politique vécu par le Maroc depuis plusieurs siècles. Pour ce faire, nous allons traiter le sujet en deux sections. Dans une première section, nous allons développer les sources historiques

(parlement). * La coutume : usage qui par sa représentation prend force de loi. * Doctrine : ensemble de commentaires sur du droit existant. * Jurisprudence : ensemble des décisions émanant des tribunaux. →Attention : il ne faut pas confondre juridique, en rapport avec le droit et judicaire, en rapport avec la justice. →Rappel chronologique. * -3000 : écriture : début de l’Antiquité. * +476 : fin de l’antiquité (Empire Romain). * 5e siècle : début du Moyen-âge. * 15e siècle :