La Coutume Au Moyen Age

Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, 1578 Jean de Léry (livre p. 314) Les récits des voyageurs ont des origines bien lointaines. Au Moyen-Âge, on peut citer le récit de Marco Polo qui décrivait l’orient. Mais à partir de la fin du XV° siècle, les navigateurs vont rendre compte de leurs découvertes du nouveau monde (Amérique). Jean de Léry, qui a séjourné un an au Brésil, publie à son retour en France Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil (c’est un ethnologue avant l’heure)

le roi n’est pas assez puissant pour créer son propre droit. Le droit sous la royauté est représenté par la coutume « Mos majorum » ou « Mores gentis », ces coutumes correspondent a des usages répètes au sein des groupes familiaux. Dans la mesure où le roi n’est pas si important, il n’ya pas de lois. La seule chose présente se sont les coutumes, les coutumes des familles. Dans ces coutumes on trouve des usages répété, des décisions arrêté par les juges. Au sein de chaque geins on trouve un tribunal

cruciaux qui ont définit l’histoire et la vie des femmes pendant l’époque médiévale. En effet, cette époque est marquée par le rôle précis et les conditions strictes qui caractérisaient la vie des femmes. Limitée par d’énormes restrictions, la femme au moyen âge était distinguée et classifiée par rapport à la place qu’elle occupait en tant que femme, mère et fille. De ce fait, elle ne pouvait point se détacher de ces rôles sans subir de lourds jugements et une certaine marginalisation. En gros, « les femmes

se cristalliser au plan régional et local. Le droit à cette époque est un droit d’application régional et local. Pourquoi ? Avec l’effondrement de l’Etat central il n’y a plus personne pour édicter des lois et avec la dilution, la désuétude des coutumes transcrites et des lois nationales de l’époque Franque le droit va se remodeler spontanément, coutumièrement à l’intérieur des espaces de solidarité qui vont se constituer. Dans toute société organisée des règles émergent spontanément. Dix personnes

d’en haut, les coutumes sont issues de la base. PARAGRAPHE 1 : LES CARACTERES CONSTITUTIFS DE LA COUTUME La coutume est extrêmement diverse, elle s’inspire d’usage et de droit ancien étroitement lié à l’origine ethnique et géographique des populations concernées. L’apparition des seigneuries est le morcèlement territorial ne fait qu’accentuer cette diversité coutumière, tandis qu’avec l’insécurité ambiante, les relations entre les seigneuries se sont faites plus rare. La coutume malgré sa diversité

offrir à un autre convive la soupe qu'on a lampée à moitié ou le pain dans lequel on a mordu ; il ne faut pas se moucher bruyamment, s'endormir à table. Et ainsi de suite ». Histoire de la fourchette : « La fourchette apparaît à la fin du Moyen-Âge : elle sert surtout à prendre des mets dans le plat commun. (…) Au XIe siècle, un doge vénitien épousa une princesse grecque. Dans les milieux byzantins auxquels elle appartenait on se servait de fourchettes. Ce fait provoqua à Venise un éclat sans

la justice, par le moyen de l’Ordonnance de Montils-Les-Tours rendue le 15 avril 1454, qui est une grande ordonnance qui va changer le système juridique français. En effet, il s’agit là d’une codification, permettant de réunir toutes les coutumes du royaume de France. Cette ordonnance est extraite du ''recueil général des anciennes lois Françaises''. Au moyen âge, les coutumes étaient une des sources principales du droit français, et elles étaient simplement orales. Ces coutumes étaient alors floues

qui la bouleversent et finissent par clore le Moyen Âge. Par la suite, et comme conséquence de ces événements, la Renaissance se met en place. Durant cette époque, l’Europe se réveille et, comme son nom l’indique, les idéaux et valeurs intellectuels de l’antiquité renaissent : c’est l’Humanisme. Ce courant littéraire, philosophique, scientifique et même politique ébranle les principes mis en place par l’Eglise Catholique, qui a eu pendant le Moyen Âge un « monopole » des idées, où Dieu était le centre

civilisation : la notion d’Etat peut disparaitre. C’est ce qui s’est passé d’ailleurs en Europe à la fin du 5°s. Du 5° s jusque vers la fin du 15°s dans les années 1450-1500, les historiens ont qualifiés cette longue période de mille années de Moyen-âge de période obscur. C’est à la fin du 15°S de notre ère que réapparait que nait à nouveau la réalité sociale de l’Etat. Cette nouvelle réalité sociale et politique se dénomme la Nation (mot qui vient du verbe naitre). Ces nations qui vont naitre

appel à la générosité publique, sans être considérés généralement comme mendiants. Causes économiques et social Pénurie d’emploi ou chômage : sous-industrialisation,… Refus de la société Coutume ethnique : roms, gens du voyage Coutume religieuse : sadhu, moines mendiants de l’ordre mendiant en France au Moyen Âge. Aujourd’hui moines mendiants principalement dans les pays asiatiques. Besoin d’argent supplémentaire ou momentané : étudiants, ouvrier sous payé, vacancier fauché,… Contrainte : enfants