La Coutume Fait L Homme

même en amour. On le verra dans le cas des foyers de Ramatoulaye et de celui de aissatou,deux amies de très longue date dont les maris s’étaient engagés en de nouvelles aventures amoureuses contre toute attente de leurs épouses réspectives.Ni la coutume ni la religion musulmane n’ont,ici,réservé aucun droit à ces deux femmes même au sujet de se qui les concerne très intimement chacune. Binetou est la petite Nabou les Co- épouses qui leurs avaient été adjointes au nom de ces sacrées institutions ne

considérés comme des esclaves, des sous-hommes par nature. Sépulvéda, soutient cette thèse. Il l'a défent en insistant sur ces connaissances justement, que ce peuple n'a pas et que les espagnoles ont. Ainsi, selon lui, avoir des coutumes ou un mode de vie différent de lui fait d'eu des Hommes inférieur. De plus, leur volonté d'apprendre les geste, de s'approprier ces choses nouvelles que ramène les espagnoles, le renforce dans son idée. Pourtant, ils ne cherchent qu'à découvrir, « cultiver leur jardin »

toute les règles sont liées les unes aux autre (par exemple le droit de propriété a une conséquence sur la manière dont on envisage les droits de succession, ou autre en fonction de comment on considère la chose. La famille a des droits oui mais qui fait partie de la famille? Cela dépend de la conception qu'on a de la famille. Cette famille la considère-t-on par un mode hiérarchique ou par mode égalitaire. En fonction de cela on ne calcul pas de la même manière les droits successoraux de la famille

Tout au long du récit, il s’attache à défendre les Indiens en expliquant qu’ils ont une âme et sont semblables aux humains d’Europe, reniant toutes théories, à propos de leur provenance et de leurs coutumes « diaboliques », données par Sepúlveda, parfois avec un peu trop de véhémence. C’est un homme de religion et c’est ainsi que l’on se rend compte qu’il défend parfaitement les indiens grâce à des explications détaillés, parfois choquantes. - Juan Ginés de Sepúlveda : L’un des protagonistes de

- Né à Tours dans une famille bourgeoise d’origine parisienne. - Rentre au sein de la pension Le Guay de Tours en 1804 et trois ans plus tard, il intègre le Collège de Vendôme. - En 1814, sa famille s’installe à Paris. - Il fait ensuite ses études à la faculté de droit puis il devient clerc de notaire en 1816. - Trois ans plus tard, il est reçu bachelier en droit. Il refuse de devenir notaire. - En 1822, il rencontre Madame De Berny qui deviendra sa protectrice

Si la définition d’« un homme » peut poser problème, c’est précisément parce que d’autres hommes peuvent ne pas le reconnaître comme tel. Cela reviendrait à nier l’humanité de l’autre homme. Dans son contexte, l’expression « être étranger à » veut dire que je ne me préoccupe pas du tout d’autrui, que son sort m’est indifférent. Je ne suis pas disposé à lui porter secours, ni même à lui adresser la parole. Le substantif de cette expression, c’est « un étranger » : c’est quelqu’un que je ne connais

ARBITRAIRE C. Les limites juridiques de l’absolutisme : le rôle de la coutume En dépit des difficulté avec ses Parlements, le roi est le législateur suprême. Mais il nepeut légiférer que dans le domaine de l'ordre public. En effet le vaste secteur du droit privé estrégi par des usages populaires répétés, par des coutumes. Situation qui, ici encore, s’apparentemal à l’idée que nous nous faisons de l’absolutisme monarchique.La coutume est un usage juridique oral qui tire sa force de la répétition, et

gouvernement d’un seul homme. Louis XIV a régné de 1661 à 1715 : monarchie absolue. Monarchie = despotisme ? Pas même signification. Monarchie absolue : limites, règles d’organisation et de fonctionnement, le Roi doit les respecter. Despotisme gouvernement arbitraire, gouvernement sans limites. Absolutisme monarchique est la cause et la conséquence de l’abaissement de l’aristocratie féodale. Cause : Le Roi en s’appuyant sur l’État en formation, et sur la société bourgeoise et paysanne, fait reculer et domestiquer

qu’il plaide ! Combien son geste hardi la fait-il paraître meilleure aux juges dupés par cette apparence ! » « Notre propre intérêt est encore un merveilleux instrument pour nous crever les yeux agréablement. Il n’est pas permis au plus équitable homme du monde d’être juge en sa cause. » 2) Justice déterminée par la coutume, jusqu’à l’absurdité. - Ce qui est juste, c’est ce que les hommes ont l’habitude de considérer comme juste : « La coutume fait toute l’équité, par cette seule raison qu’elle

ARISTOTE “ la politique”: A savoir : L’esclavage est un fait primordial chez les Grecs, comme chez tous les peuples de cette époque. Il n’y a aucun scrupule moral concernant l’esclavage. Ce qui est en revanche souvent critiqué, ce sont les mauvais traitements infligés aux esclaves Dans les Politiques, livre I, chapitres 4 à 7, Aristote défend l'esclavage, et construit toute une théorie de l'esclavage. Ce que veut faire A, c’est montrer que l’essence de l’esclavage repose dans la nature même