La Coutume Montaigne

s'indigne et refuse les terres qu'on lui offre (et les indiens qui vont avec...). Il assiste au génocide qui commence : violence, alcool, maladies et surcharge de travail tuent la population indienne à petit feu. En Europe déjà, des intellectuels comme Montaigne commencent à s'indigner. Mais, ces Indiens, sont-ils vraiment des hommes : ont-ils une âme ? Et sera-t-il possible

l'annexion française de 1552, François Rabelais, agent du roi Henri II, y séjourne de 1545 à 1547. Il y écrit en 1548 le Quart Livre, qui raconte des expressions venues en droite ligne du patois messin. On y trouve aussi des allusions aux usages, aux coutumes et aux légendes de la ville, notamment celle du Graoully. En 1547, le roi Henri II succède à François Ier. Jean du Bellay est maintenu au Conseil Royal, et obtient la surintendance générale des affaires du royaume en Italie. Vers juillet 1547, Rabelais

on peut considérer le début du deuxième paragraphe de la pensée 294 : « s’il la connaissait, il n’aurait pas établi cette maxime » : à qui Pascal fait-il allusion ? au souverain ? au prince ? Ou alors, s’agit-il d’une référence philosophique ? Montaigne ? Ou plutôt le « sens commun » ? Pascal laisse cela dans l’indétermination, il n’y a donc aucune réponse assurée. Le fond du problème est le suivant : faut-il chercher nécessairement une référence déterminée à ce « il » ? Ne convient-il pas plutôt

la force sous le prétexte de la justice, or celle-ci s’est confondue avec la précédente : « faute d’avoir fortifié la justice on a fortifié la force », et se fonde sur la coutume. Si Pascal n’est pas en faveur d’un bouleversement de l’ordre établi, il encourage néanmoins à réfléchir sur la vanité et la contingence des coutumes, qui justifient la guerre ; et la loi du plus fort (fr.76 et 94). La guerre est donc futile et artificielle, difficilement justifiable (fr 18 et 47). De plus, le caractère

lecteur/spectateur. Elle peut être trouvée sous plusieurs formes : Elle peut être directe, c’est-à-dire que l’auteur dénonce clairement un aspect, une personne et le dit dans son œuvre. Dans cet esprit on retrouve des œuvres comme Les Essaies de Montaigne où celui-ci dénonce avec fermeté la colonisation (« nous nous sommes servis de leur ignorance et de leur inexpérience pour les plier plus facilement vers la trahison, la luxure, l’avarice et toute sorte d’inhumanité et de cruauté »). On a aussi les

portraits, d'autres nouvelles de la condition des femmes, si bien que ce défilé de mœurs hétéroclites finit par faire songer à celui de Montaigne dans le chapitre XXIII du premier livre des Essais : « les lois de la conscience, que nous disons naître de nature, naissent de la coutume...» Ce relativisme paraît encore plus radical chez Rica parce que, comme Montaigne, il l'étend à l'homme lui-même, perdu et misérable dans l'univers (lettre LIX). A travers son style nerveux, Paris, « ville enchanteresse

ô temps, ô mœurs ». Les mœurs sont également attachées à une période déterminée et par conséquent sont inévitablement remises en cause ou adoucies au fil du temps ou de l'évolution naturelle de la société et de sa culture. Michel de Montaigne écrivait en son temps « Ici on vit de chair humaine, là c’est office de piété de tuer son père en certain âge, ailleurs les pères ordonnent des enfants encore au ventre des mères, ceux qu’il veulent être nourris et conservés, et ceux

commune. Les héritages littéraires grecs et latins à travers quatre exemples : 1) Le goût de l’histoire : la curiosité d’explorer, de comprendre et de démonter les mécanismes des évènements historiques, de se faire le témoin de son temps (mœurs, coutumes, héros…) pour la postérité est une tradition inaugurée par les Grecs. Il suffit pour s’en convaincre de considérer les œuvres d’Hérodote et de Thucydide, les deux grands fondateurs de la discipline historique. Le deuxième, plus que le premier, s’éloigna

dans la deuxième, nous aborderons le concept qu'un roman est surtout fait pour divertir. Nombreuses sont les raisons qui sont poussent à croire que la fonction principale d'un roman est d'instruire. En effet, certains romans tel que l'essai de Montaigne, extrait des Essais, où celui-ci cherche à montrer les limites de la raison humaine, en utilisant un exemple précis, celui du vertige, nous informent que les humains ont forcément des faiblesses et qu'ils ne contrôlent pas tout, voir qu'ils sont

Nature Culture -La culture sépare-t-elle les hommes? La culture c'est ce que l'homme ajoute à la nature. Distinguer subjectivement la qualité d'une personne cultivée, qui a étudié et réfléchi et d'un point de vue objectif l'ensemble des coutumes, des institutions, des oeuvres dans un pays donné. séparer = éloigner les uns des autres Celui qui se cultive se sépare-t-il de ceux qui ne se cultivent pas? (voir dans le Livre VII de la République de Platon ce qui arrive à celui qui redescend