La Culture Comme Fin De La Nature Kant

Il n’y a monde que du point de vue de l’Esprit. Ajoutons à cela, nous l’avons vu, qu’elle est ce que la nature a réalisé de plus haut : elle est en elle-même une fin de la nature, et donc une finalité du monde en lui-même. Le Monde a voulu la raison et la raison veut le monde comme elle-même. Or le but ultime de la Raison c’est la réalisation de la morale universelle, le bien absolu. Comme la raison détermine le monde, le but ultime de la raison c’est le but ultime du monde. Le monde n’existe

explique que la fréquentation des écoles crée un « besoin culturel » qui va redoubler à chaque tentative d’assouvissement tandis que l’ignorant sera indifférant à ces questions là. Comment appréhende-t-on des œuvres lorsqu’on est dépourvus de culture ? Apparaît alors l’utilisation de la sensibilité. C’est une notion ambiguë chez Bourdieu car la sensibilité est acquise et non pas innée. Elle évolue et s’éduque par le savoir. On va appréhender l’œuvre avec des catégories de la vie quotidienne

Platon, Galilée, Kant, Hegel…) en retracent l’émergence et les grandes étapes de la pensée philosophique. Il montre comment se sont petit à petit tissés les liens entre la raison et la liberté. Chapitre 1 : L’invention de la raison Le premier chapitre « présente » la raison. Et c’est sous l’interrogation d’Emile Noel : « La raison est-elle inhérente à la pensée ou bien a-t-elle été inventée? ». François Châtelet commence par la Grèce classique où tout à commencer, et prend comme repère Athènes au

conflit revient vite, avec la nécessité à nouveau de « faire » la paix, comme si la paix devait toujours être établie et que l’état naturel de la relation, c’était nécessairement la guerre. En matière de philosophie politique, Kant ne déroge pas à cette opinion, il admet lui aussi que la paix doit être établie, mais à la différence du sens commun, il y voit un projet à long terme, un idéal à atteindre. A atteindre comment ? Kant a-t-il en tête que pour que la paix soit présente perpétuellement, l’homme

exploser la terre. L’Homme dans ses ouvrages techniques est une puissance à la fois salutaire (bénéfique) et dangereuse. En soit la technique n’est qu’un moyen. Le vœu de Descartes à savoir que l’Homme doit « se rendre maître et possesseur de la nature » semble se trouver réalisé aujourd’hui grâce à la technique, nous maîtrisons l’eau (les barrages) ; le feu ; l’air … Si cette maîtrise est qualifiée de progrès, il nous appartient aussi d’en évaluer les conséquences (pyromane…). L’art dés le 18éme

l’histoire entendue comme fiction. Souvent au pluriel : « raconter des histoires » 2- comme l’ensemble du devenir passé et futur de l’humanité. On l’écrit alors souvent Histoire. 3- Comme l’étude de ce passé : la connaissance historique. Quels points communs peut-on repérer entre ces différents sens ? Seuls les deux derniers ont rapport à la vérité ; la première au contraire s’en démarque. Mais toutes les trois portent sur des processus humains, caractérisés par un début, une fin et une succession

du cours de l’histoire, de la fin de l’histoire. Quelles sont les significations de chacun de ces termes ? * Le sens de l’histoire : idée que l’histoire aurait une signification, une logique que l’on pourrait comprendre, et qu’elle ne serait pas soumise à un destin indépendant de la volonté des hommes ou livrée à la contingence, au pur hasard. * La fin de l’histoire : idée que l’histoire avancerait dans un certain sens, vers un certain but, vers une certaine fin. Conception d’une histoire orientée

un être culturel, c’est-à-dire que ses facultés se sont développées grâce au contact avec ses semblables. Ce qui reviendrait à dire que l’on ne peut pas être soi-même. Bref, peut-on ne pas être soi-même ? Soit on considère que certaines facultés comme le langage, la pensée, la conscience, etc. me permettent d’être moi-même, c’est-à-dire que je peux me diriger vers ce que je veux être, dans ce cas on peut être soi-même. Soit on considère que l’homme n’est pas un être naturel, c’est-à-dire qu’il suscite

Ne peut-on penser, en effet, que la paix constitue le bien souverain, la fin ultime, qu’il faut impérativement vouloir mais aussi instituer par tous les moyens, jusqu’au sacrifice d’autres biens, voire de tous les autres biens si nécessaire ? L’histoire effective des hommes n’en témoigne-t-elle pas puisqu’elle ne commence réellement que par un contrat social qui vise à instituer la paix comme étant susceptible de mettre fin à la guerre de tous contre tous qui figure le mal suprême, cette histoire

souffrance et qui a une dimension fortement négative. Par définition, le travail est unactivité de transformation de la nature qui a pour effet de transformer l'Homme lui-même. Pour Blaise Pascal, c'est un divertissement qui occupe une grande partie de la vie des Hommes et qui permet de masquer la problèmes essentiels de l'existence humaine. Nous définissons une contrainte comme quelque chose d'imposé par à l'extérieur contre la volonté d'un individu. Cependant, une contrainte doit être distinguée