La Dissimulation Admise Comme Cause De Nullité Du Mariage

obligations des parties sont interdépendantes et se servent mutuellement de cause Ø Néanmoins, un contrat unilatéral à l’origine, peut devenir synallagmatique ne cours d’exécution (= contrat synallagmatique imparfait) B. La distinction contrats commutatifs/contrats aléatoires 1. La distinction a. Le contrat est commutatif lorsque la prestation due par chacune des parties est certaine, déterminée à l’avance et considérée comme équivalente à celle que doit fournir l’autre partie (art. 1104 al. 1

droit civique par exemple qui n’utilise pas les lois). Définition : Les usages sont des pratiques, des règles non-écrites suivies par les habitants de certaines régions ou par des personnes qui exercent certaines professions et qu’ils considèrent comme obligatoires pour régler leurs relations. Il existe deux types d’usages : * Les usages conventionnels ou supplétifs : ils tirent leur autorité du contrat, il s’agit de pratiques commerciales courantes (= pratiques suivies pour la conclusion ou

naturelle lorsque le législateur ne l’a pas expressément reconnue, son exécution est laissé à la libre appréciation du débiteur qui peut l’exécuter volontairement mais que l’on ne peut contraindre à exécuter (les dettes de jeux ce n’est pas reconnu comme licite, le D e lui impose pas) L’O alimentaire des pères et mères envers l’enfant est réciproquement une O civile. L’O alimentaire des frères et sœurs est une obligation naturelle non formulé par le législateur. Dans les deux cas il y a obligation

engagement. Mais il y a aussi force obligatoire pour le juge. Le juge est tenu de respecter la volonté des parties, il est le serviteur de la volonté. Le contrat est obligatoire également pour le législateur. Celui-ci ne doit pas pouvoir mettre en cause un accord librement négocié par les parties. Par contre, le contrat ne peut pas créer d'obligation pour les tiers. Il s'agit ici du principe de l'effet relatif. Dans ce système, dans cette conception initiale, toute la réglementation est organisée

des philosophes grecs (Aristote « Le droit c’est attribuer à chacun le sien »). Cette définition d’Aristote a été reprise in extenso par les jurisconsultes romains. Dans les premiers passages du Digeste, les jurisconsultes ont défini ainsi le droit comme l’art d’attribuer à chacun le sien. Cette définition peut-être détaillée en prenant chacun des éléments de la définition. Le mot « chacun » correspond aux personnes. Le mot « le sien » correspond aux biens, et plus exactement, les biens extérieurs

................................................................................................................ 12 Les actes de naissance .......................................................................................... 13 Les actes de mariage ............................................................................................ 13 Les actes de décès ................................................................................................ 13 4. La nationalité .............

Partie 1 : L’obligation comme lien L’obligation est un lien de droit, qui dit lien dit contrainte, le créancier pourra contraindre son débiteur à fournir la prestation promise. Le but d’une obligation, n’est pas le lien en lui même, mais qu’elle soit exécutée. Une obligation est faite pour être exécutée, cette exécution (chose recherchée par le créancier) entraine sa disparition. L’obligation existe que pour disparaître. De plus, on parle d’obligation comme si elles se ressemblaient toutes

.............................................................................................................. 12 Les actes de naissance .......................................................................................... 13 Les actes de mariage ............................................................................................ 13 Les actes de décès ................................................................................................ 13 4. La nationalité ...........

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l’intervention ne devrait pas, en bonne logique, justifier la qualification de contrat. L’opportunité de l’intervention pourrait éventuellement servir à considérer que le tiers était en faute. En réalité, on voit bien que la Cour de cassation considère que comme l’intervention était inopportune, il n’est pas nécessaire d’indemniser la personne. La jurisprudence pose l’existence d’un contrat en fonction de l’opinion qu’elle a sur un résultat à atteindre. S’il faut que la personne soit indemnisée, il y aura