La Doctrine Classique Et La Querelle Des Anciens Et Des Modernes

poétiques=> objet principal, c'est l'écriture de la pièce. Exception=Paradoxe sur le comédien de Diderot= première approche théorique moderne de l'art de l'acteur (1830) 1880=avènement du metteur en scène (le terme apparaît à avoir des années 1830) 1880= théories de la représentation Chapelain, d’Aubignac= régents du théâtre classique Théorie de Brecht Doctrine de Musset ou Claudel= usage personnel Les grandes théories du théâtre de notre siècle sont françaises (Copeau, Artaud..) Mais

Auteurs et ouvrages célèbres : Il correspond fondamentalement au XVIIIe siècle européen. La révolution anglaise de 1688 en constitue le premier temps. Artistiquement, il correspond à la période rococo puis du néo-classique, et musicalement, à la période baroque puis classique Les pricipaux philosophes sont les suivants: Diderot, Denis (1713-1784), philosophe et écrivain français, le maître d’œuvre de l’Encyclopédie et l’un des principaux représentants de l’esprit des Lumières. Montesquieu

Histoire littéraire Le théâtre classique (p178) Le contexte de la doctrine classique • Le XVII siècle, poursuivant le travail des poètes de la Pléiade au siècle précédent, veut défendre et développer le français, toujours concurrencé par la langue savante qu'est le latin. • En 1634, la création de l'Académie française par Richelieu encourage les efforts des grammairiens et gens de lettres, comme Vaugelas, Ménage ou Guez de Balzac, s'attachant à définir une langue claire, nette et élégante

et dont les auteurs ont le sentiment qu'ils répondent aux mêmes exigences. Les courants littéraires sont apparus au XIXème siècle avec la recherche universitaire: ainsi on a baptisé le XVIème, courant humaniste, le XVIIème, courant baroque et classique, le XVIIIème, siècle des Lumières. Au XIXème siècle, les choses changent lorsque Stendhal publie un essai Racine et Shakespeare (1823) dans lequel il établit des liens de la production de son époque autour de thèmes, d'approches communes. Il est

Borgo San Sepolchro, lui proposa de recevoir la couronne de lauriers à la Sorbonne où il professait. Les docteurs de Paris lui offraient cette distinction pour remercier celui qui permettait la renaissance des lettres, la redécouverte des textes anciens oubliés et ouvrait la voie aux humanistes. Le Sénat romain lui fit la même proposition. Pétrarque fut donc honoré dans ces deux villes. S’il opta pour la Ville Éternelle, ce fut avant tout pour être honoré par Robert d’Anjou, roi de Naples et comte

nomme « classique » recoupe le règne de Louis XIV, soit la seconde moitié du XVIIème siècle. Le Roi Soleil encourage l’effervescence artistique dans tous les domaines et veut concurrencer le baroque italien. Le culte de la perfection antique des « classiques » rejoint donc la volonté de grandeur et de prestige du monarque. Les valeurs classiques. Les auteurs et artistes « classiques » ne se nomment pas ainsi. Le terme n’apparait qu’a posteriori, au XIXe siècle. Cependant, leur doctrine est bien

lyonnaise. Rabelais. (p.2) 2.La Pléiade. Ronsard et Du Bellay. (p.6) 3.La crise de la renaissance. Le baroque. Montaigne. Agrippa d’Aubigné. Du Bartas. Sponde. Chassignet. (p.11) 4.Le XVIIème siècle. L’écrivain et la société de la cour. Les « modernes ». Malherbe. Théophile de Viau. Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal

La révolte contre l'imitation de l'Antiquité avait commencé dès la fin du XVIIe siècle par la Querelle des Anciens et des Modernes. Perrault, La Motte, Fontenelle, avaient porté de rudes coups à la tragédie classique. Mais le véritable démolisseur des règles sur lesquelles elle reposait est Diderot. Il s'insurge contre les prescriptions d'Aristote et d'Horace et contre les modèles classiques. Nos tragédies sont, à ses yeux, artificielles et fausses, contraires à la nature et à la vérité. Les sujets

Montesquieu. Dans les dernières années du XVIIème, la Querelle des Anciens est des Modernes met en question les valeurs établies. Le rôle Bayle et Fontenelle est important au début du XVIIIème siècle ; par exemple Bayle applique les domaines de l’esprit critique et Fontenelle se distingue par ses œuvre de vulgarisation scientifique. La science a détrône la métaphasique elle exerce une influence sur le mouvement des idées. La Querelle d’éclanche une véritable crise des valeurs spirituels. Dans

la question de la moralité du theatre au 17ème siècle À la fin du XVIIe siècle, un vaste débat anime la France sur le danger moral des passions théâtrales. La querelle sur la moralité du théâtre soulève plusieurs questions : d’où vient que le spectacle de la douleur soit au théâtre source de plaisir, et comment se fait-il que nous puissions éprouver de la compassion pour des êtres imaginaires ? Le théâtre n’était-il pas une école de mensonge par opposition à un art oratoire au service de