La Domination Feminine

que les hommes. Les femmes peuvent donc être valorisées dans l’environnement de la reproduction, etc… Ex : Les vieux disent que ce sont les femmes qui détiennent le pouvoir car ce sont elles qui donnent la vie. Il existe dans sphères d’influence féminine. Rapport sociaux  hiérarchie. La hiérarchie est souvent pensée comme étant naturelle. Ainsi, comme elle est entrée dans les mœurs, elle fonctionne encore mieux parce qu’on la voit comme légitime : c’est « normal ». 2 arguments qui structurent la

Anthropologie La place des femmes en politique Textes choisis :  CLASTRES, P, 1974, “ L’Arc et le panier ”, La Société contre l’Etat, chap 5, Paris, Minuit, p. 88-111.  GOERG, Odile, 1997, Femmes africaines et politique : les colonisées au féminin en Afrique occidentale », in Clio, n° 6, Femmes d’Afrique.  SOW, Fatou, 1997, « Les femmes, le sexe de l’État et les enjeux du politique : l’exemple de la régionalisation au Sénégal », Clio, numéro 6-1997, Femmes d'Afrique.  GODELIER, Maurice, 1982

Nicolas Jonas, dans son essai intitulé La Famille, et Zola, dans le roman Au Bonheur Des Dames, traitent de ce sujet. Dans un registre différent, l’illustration « un bureau, patron et secrétaires tapant à la machine » tend également à montrer cette domination masculine. Quelles sont donc les raisons qui nous font penser que ces inégalités restent présentent ? Le travail est une nécessité pour les femmes, c’est une avancée qui à permis de faire évoluer la façon de penser de la société à leur encontre

Thématique : Maîtres et esclaves Pistes :Répertoriez les différentes configurations de domination dans “Moi, Tituba, sorcière…noire de Salem ». Identifiez les moments où les rapports de force sont renversés.  Qu’est-ce qui, dans la narration, a motivé ce renversement ? En quoi peut-on dire que le couple John Indien/Tituba symbolise deux stratégies différentes par rapport à la servitude ? Commentez la phrase « cette étrange situation d’être à la fois maîtresse et servante » en la contextualisant

L'oppression des femmes et la lutte pour leur émancipation Avertissement Nous utiliserons comme synonymes, les termes domination et oppression, subordination, quelles que soient les nuances introduites par certaines féministes entre ces notions. Nous parlerons aussi bien de la "libération" des femmes que de leur "émancipation". Littéralement, s'émanciper, c'est prendre en mains sa vie. C'est un très beau terme, même s'il peut sembler un peu désuet à certain-e-s. On parlait effectivement au XIXe

respect des droits et de l’intérêt de l’enfant. L’intérêt de l’enfant est important car il va reproduire par la suite ce qui lui a servi de modèle pendant sa construction individuelle ; ses parents. B- Reproduction des modèles du masculin et du féminin dans la famille Durant l’enfance sont transmit et intégrés des cadres de sensibilité, de savoir être, de savoir faire, de prescription et de proscription, qui vont largement structurer les petits garçons comme de futurs hommes et les petites filles

mouvement féministe (antérieur à mai 68) « féminin, masculin, avenir » (FMA) elle explique qu’au sein de ce groupe elle était irritée par le fait qu’un des hommes du groupe lui expliquait que l’oppression des femmes était différente de celle des prolétaires, exploités, eux. Il y aurait ainsi une véritable exploitation et une simple oppression. Question que l’on retrouve beaucoup dans les mouvement de gauche : quelle priorité entre la domination de classe et la domination de genre (« de sexe » à l’époque) 

DEMONTRER EN QUOI L'IMPERATIF DE MINCEUR COMME NORME CORPORELLE EST SOURCE DE DOMINATION SOCIALE ET DE GENRE. Depuis les années 60, nous avons pu voir les normes de différents domaines se transformer comme par exemple l'impératif de minceur qui est apparu avec la démocratisation du sport et l'apparition du corps dénudé des femmes. On voit alors apparaître une diffusion massive d'images corporelles et de se fait une nouvelle norme corporelle qui prône l'impératif de minceur. On peut alors voir

guerriers et donnent un rôle subalterne aux femmes, mais dans le Ramayana il y a certes une domination masculine mais les personnages féminins ont un rôle actif qui remet parfois en cause cette même domination. C'est le cas de Sita qui n'est pas le seul personnage féminin mais c'est sans doute le plus important car elle est placée au coeur de l'histoire. Sita est l'incarnation de la pureté et de la vertu féminines. Sita est une épouse extraordinaire qui est prête à subir toutes les conséquences et

Simone de Beauvoir, qui marque le début du féminisme. Elle marque le caractère contingent (pas nécessaire) de la féminité : « on ne naît pas femme, on le devient ». Il n’existe pas de nature féminine préétablie qui justifie la ségrégation. Les différences anatomiques ne suffisent pas à justifier la domination masculine. « Ce n’est pas l’infériorité des femmes qui a déterminé les insignifiance historique, mais c’est leur insignifiance historique qui a déterminé leur infériorité ». Les femmes comme