La Domination Feminine

entendre dans un contexte de domination culturelle et politique. Parmi les nombreux enjeux que soulève cette question, celui de la représentation des subalternes est particulièrement central. Spivak critique l'idée selon laquelle les intellectuels et militants des classes dominantes pourraient "parler pour" les subalternes, c'est-à-dire agir en leur nom et leur donner une voix. Selon elle, cette pratique est profondément problématique car elle reproduit la domination et le silence des subalternes

souhaitée. Pour étudier ce combat de libération sous le joug de la domination masculine porté par certains personnages du roman de Mariama BA, nous allons tout d’abord voir les éléments constitutifs de la condition féminine, l’injustice sociale faite à la femme et en fin l’émancipation de celle-ci dans notre société africaine en particulier sous l’angle d’ « Une si longue lettre ». I. Les éléments constitutifs de la condition féminine Dans la société traditionnelle africaine, il y a plusieurs éléments

terminerez par une conclusion personnelle donnant votre point de vue sur ce sujet. ____________________________________________________________ ____________________________________________ Documents 1) Pierre BOURDIEU, La domination masculine, Editions du Seuil, 1998. 2) Jean-Jacques ROUSSEAU, Émile ou de l'éducation, 1782, Réédité par G.F., 1966. 3) Christian BAUDELOT et Roger ESTABLET, Allez les filles! Editions du Seuil, 1992. 4) Les clefs de l'info, Article du Monde

par l'impossibilité d'assigner à ces voix une origine élocutoire précise, en ce sens, le cortège qui accompagne le char de Corinne a bien pour fonction et représentation le choeur antique de la tragédie. Le Choeur divinise la figure de l'écrivain féminin, évoque la naissance légendaire de Rome puisque, comme pour Romulus, il est dit qu'elle est „une divinité entourée de nuages“. Rendu sensible par l'évocation des nuages et de l'air, nous pouvons relever ici le caractère sacré et solaire de l'inspiration

distinguer une silhouette féminine disposée en hauteur de l’image, elle tire un animal, une bête sauvage à partir d’un fouet. Ces deux personnages énigmatiques luttent pour quelque chose, peut être pour la parité homme femme, une hiérarchie de la dominance d’un sexe sur un autre. La femme est clairement présente, l’homme pourrait quand à lui être cet animal, car depuis la nuit des temps les hommes sont représentés comme des sauvages avides de sensations nouvelles, par la gente féminine. Ce thème pourrait

seulement divise l’humanité en deux groupes mais le fait de façon hiérarchique. « Genre » peut alors être synonyme de « patriarcat » ou « d’oppression des femmes ». Il renvoie à un rapport social marqué par le pouvoir et la domination et l’illusion selon laquelle la domination des hommes sur les femmes serait due à la nature. L'institutionnalisation du champ d'études sur le genre Les « gender studies », comme discipline à part entière, sont nés aux Etats-Unis au début des années 1970 d'une

de changements. L’entre-deux-guerres est caractérisé par les années folles, pendant la première décennie après la guerre, suivies de la Crise économique mondiale, qui frappe jusqu’à la reprise du conflit en 1939. Dans cette période, la sexualité féminine est acceptée que pour la maternité; la masturbation, le lesbianisme et les rapports sexuels hors mariage ou avec contraceptifs sont socialement répressibles. Or, « dans toutes les villes d’une certaine importance », et même dans les plus petites

bras veloutés » ; montre à bien des égards une omniprésence de la sensualité féminine. De surcroit, cette notion est accentuée par l’élément de redécouverte du plaisir qu’évoque Baudelaire dans sa métaphore : « Et fais rire les vieux du rire des enfants » ; ce qui souligne une nouvelle évocation sensuelle. Cette volupté de la femme est fortement présente dans le poème. En effet, une puissance est marquée par la domination dans ce texte. Notable, d’abord, dans la structure du poème. Les quatre premiers

Le texte de Bourdieu s’intéresse à la domination masculine. Nous allons voir dans un premier temps que l'image de la femme est un produit de la société et dans un second temps nous étudierons la domination masculine sur l'apparence des corps. I. La femme, un produit de la société. A. La socialisation Dans ce texte, Bourdieu nous explique que la vision que nous avons d'autrui, ou de nous même provient de l'habitus. Il entend par habitus, l'ensemble des dispositions, des pensées et des actions

Ainsi de la condition juridique des femmes (l.5, 6) : la gestion des biens confiée aux hommes puis le manque d'éducation chez les femmes. (l.22) a) L’avocate de toutes les femmes, quelle que soit leur condition sociale La gent féminine est victime de la domination féminine = situation des femmes Elle utilise des connotations tragiques qui efface les distinctions «jouets» = femme. Marceline utilise une présentation hiérarchisée = elle considère d’abord les personnes dans le besoin celles qui doivent