La Double Investiture

pour un régime qui sera balayé s’il n’est pas efficace. Ce vote grève alors d’hypothèques la courte vie de la IV république construite de manière républicaine : soit parlementaire bien que se voulant réactionnelle à l’égard de la précédente(I) : un double objectif majeur des constituants se révélant difficile à mettre en place (II). I/L’organisation des pouvoirs publics : une tentative de rationalisation du parlementarisme constitutionnellement établie . Avec le vote du 27 octobre 46 , le régime

même coïncider, une désignation positive, puisque Dieu est « quelque chose », et une signification négative, puisqu'il est impossible de se placer, même en pensée, au-dessus de Lui, elle montre donc, peu à peu, qu'une telle nomination de Dieu dans la double interdiction de l'idole et de la superbe ne renvoie pas à quelque Être suprême qui serait le garant d'une raison souveraine, mais à l'Événement pascal de Jésus Christ où le vrai Dieu déborde la dignité de Dieu par son alliance avec l'homme. Biographie

de politique générale ou en votant un texte qu'il estime nécessaire. Sous la IVe République, des conditions sont imposées, seul le président du conseil pouvait poser la question de confiance. Double investiture : La double investiture était le fait que le président du Conseil, après son investiture, devait former son gouvernement et le présenter à l'assemblée afin d'obtenir le droit de gouverner. Décret- loi : Acte unilatéral de l'exécutif qui, sous la IIIe République, l'habilitait en vertu

Ce chef de Gouvernement est désigné par le chef de l’Etat et une fois désigné, il nomme les différents ministres de son Gouvernement. Cette équipe ministérielle est responsable politiquement devant le Parlement. Cette responsabilité politique a une double signification : Cette équipe ministérielle va répondre de la politique menée devant le Parlement. Elle va n’exercer ses fonctions que si elle continue à avoir la confiance du Parlement.  Lorsque le chef de l’État va nommer le chef de Gouvernement

successeur parmi les personnes qui lui étaient dévouées. Grâce à ce moyen, il exerçait une forte autorité sur son état. 11. A quoi le concordat de Worms a-t’il mit fin ? Date ? A qui était-il défavorable ? Pourquoi ? Il a mit fin à la querelle des investitures, en 1122. Et elle était défavorable à l’empereur qui abandonna le droit de choisir les évêques et les abbés. 12. Comment les rois de France ont-ils amélioré la justice royale ? . Ils créent une sorte de tribunal suprême, le parlement (=Cassation)

impérial traverse à tous points de vue une crise grave, au Xe siècle, et il faut attendre la réforme grégorienne (seconde moitié du XIe siècle – premier tiers du XIIe siècle) pour que le pape n'affronte l'Empereur germanique, lors de la querelle des Investitures. Cette dernière, qui s'achève sur un compromis, est déterminante pour assurer l'indépendance du siège apostolique. Au XIIIe siècle, enfin, la papauté triomphe, grâce à son arme principale : l'excommunication, à son rôle dans l'essor de la chrétienté

révoqués librement par le président, qui détermine et conduit la politique de la nation. Le président a donc autorité sur ses ministres. - Puisque nous nous inscrivons ici dans un cadre démocratique, le président tire son autorité d’une investiture populaire (suffrage universel, qu’il soit direct ou indirecte). Le président est alors doté d’une véritable légitimité, et est politiquement irresponsable devant le Parlement, de la même manière que le sont ses secrétaires. 2. Le dualisme de

de juin 40. parti des notables. * droite totalement discréditée suite à collabo de Vichy. => pluripartisme rétabli après période d'autoritarisme. I. 2. Les Français votent enfin ! > octobre 1945: referendum et élections législatives. - double referendum: «l'Assemblée élue doit-elle être Constituante ?» (doit-on passer à IVe Rép): oui à 96%. «Approuvez-vous l'org° provisoire des pouvoirs proposée par le général DeG ?» oui à 66%. écart palpable: radicaux et Commu souhaitent nvelles institutions

débouchera sur la formule de l’hérédité à part entière. Les relations féodales au sein du royaume. Une disait que la féodalité était une arme à double tranchant. De la même manière que les souverains allemands s’en sont servir ont essayé de tiré parti en l’organisant, les rois capétiens vont tenter de cohabiter avec cette féodalité. C’est une arme à double tranchant car il faut que les rois capétiens tiennent compte des grands vassaux, mais le problème c’est que souvent ils sont plus armé, plus riche

en une multitude de principautés et de seigneuries. Le sujet s’achève au début du XIIe siècle. Pour l’empire, on peut fixer la limite à la mort d’Henri IV (1106) mais il faut connaître le concordat de Worms (1122) qui met fin à la Querelle des Investitures. Après l’intégration de la Bourgogne dans l’Empire en 1032, on suit l’histoire de la Provence jusqu’en 1112, date du mariage de Douce de Provence et de Raimond-Béranger III de Barcelone. En France, la mort de Philippe Ier (1108) clôt le programme